J'avais eu, un jour, pour elle,
L'inconnue de la ruelle,
Une question naturelle,
Si elle avait entendu mon appel
J'aurais aimé le crier plus fort,
Au delà des décibels
Le rendre effets sonores
Le rendre artificiel
Seulement,
Comme avant,
Ils en avaient décidés autrement,
Et avaient fait de moi leur instrument
J'ai été détruit
J'ai été sali
Je le suis encore aujourd'hui,
Parce qu'ils n'ont pas entendu mon cri.
Alors tu vois, moi, j'en ai marre,
Inconnue de la rue, je crie mon appel fort,
Pour que même le monde des morts
Observe mon cauchemar
Je vous dirai toujours « laissez-moi »
Parce que je pense le mériter
Mais j'écris « aidez-moi »
Parce que sont là mes véritables pensées.
Alors tendez bien l'oreille,
Parce que à travers le vent hurlant
Rugira au réveil
La détresse d'un enfant.
__________________________________________
Oe, bon, je suis pas entièrement satisfaite de ce poème... On va dire que c'est parce qu'il a été écrit vite fait sous le coude... uwu
Je ferai mieux au prochain !
VOUS LISEZ
poème de ma vie : recueil 2
PoetryQu'elles sont noires, ses pensées de nuits blanches. Tome 2 de mon premier recueil "poème d'une vie" !