appel

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 J'avais eu, un jour, pour elle,

L'inconnue de la ruelle,

Une question naturelle,

Si elle avait entendu mon appel


J'aurais aimé le crier plus fort,

Au delà des décibels

Le rendre effets sonores

Le rendre artificiel


Seulement,

Comme avant,

Ils en avaient décidés autrement,

Et avaient fait de moi leur instrument


J'ai été détruit

J'ai été sali

Je le suis encore aujourd'hui,

Parce qu'ils n'ont pas entendu mon cri.


Alors tu vois, moi, j'en ai marre,

Inconnue de la rue, je crie mon appel fort,

Pour que même le monde des morts

Observe mon cauchemar


Je vous dirai toujours « laissez-moi »

Parce que je pense le mériter

Mais j'écris « aidez-moi »

Parce que sont là mes véritables pensées.


Alors tendez bien l'oreille,

Parce que à travers le vent hurlant

Rugira au réveil

La détresse d'un enfant.


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Oe, bon, je suis pas entièrement satisfaite de ce poème... On va dire que c'est parce qu'il a été écrit vite fait sous le coude...  uwu

Je ferai mieux au prochain !

poème de ma vie : recueil 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant