Partie 48.

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Moi:-Ah non pas ses cheveux hyn !

Aylin:-ba voila ! Va lui dire!

Je souris tristement.

La porte s'ouvre.

Serkan apparaît.

Quand on parle du loup...

Il m'a pas vue encore.

Aylin:-Salam mon fils !

Elle se lève pour le prendre dans ses bras.

Il répond à peine et se dirige vite vers sa chambre.

Je suis assez surprise par son comportement, normalement il aurai parler avec sa mère etc.

Aylin:-Tu dis pas Salam aux invites ?

Je fais les gros yeux.

Serkan:-SALAM.

Il parle fort comme il est dans sa chambre.

Aylin:-Tu vois comment il est ? Pff

Je baisse la tête de honte.

Je me sens coupable..

Il ressort 30 secondes plus tard, et c'est à ce moment là qu'il me voit.

Il est surpris mais il fait comme si de rien était.

Il boit de l'eau et s'en va.

Ça fait mal cette ignorance..

J'ai vue des histoires ou le gars pistait la fille, le gars s'énervait, le gars essayer de parler avec la fille.

Mais lui, il ignore et passe à autre chose.

Quand je dis que je préfère qu'il me regarde mal plus tôt qu'il me regarde 2 sec et détourne le regard comme si j'étais une parfaite inconnue.

Je suis restée un peu et je suis partie, c'est égoïste mais c'était trop pour moi..

Je décide de marcher dans le quartier.

Peut être parce que j'ai espoir de le croiser.

Mais la seule personne que je croise c'est Bilel.

Il passe à côté de moi, il a pas prit la peine de mal me regarder pour une fois.

...:-EH !

Je me retourne.

Je le regarde avec un regard interrogateur.

Il regarde partout.

Bilel:-Rejoins moi au parc à côté de la mairie.

Il s'en va.

Je continue ma route comme si de rien était et je me dirige vers le parc.

C'est en dehors du quartier, sois il veut éviter que Salim nous vois sois il veut me tuer dans un endroit calme.

Le connaissant... je pense que c'est la deuxième option.

17H45.

Je le vois assis sur un banc à attendre, sa jambe tremblante, il fait h24 ça.

Je m'assois à côté de lui, enfin pas à côté mais sur le même banc en tout cas.

Bilel:-Bon je te porte pas dans mon cœur mais Sah, parle à Serkan. W'Allah il va pas bien il fait genre. Il fait juste n'importe quoi.

Je le regarde, larme aux yeux.

Aujourd'hui on veut m'achever je crois.

Que on me parle de lui.

Hafsa|J'ai perdue l'amour de ma vie Où les histoires vivent. Découvrez maintenant