𝗞𝗮𝘇𝘂𝘁𝗼𝗿𝗮 𝗛𝗮𝗻𝗲𝗺𝗶𝘆𝗮 ‖ 𝑻𝑶𝑲𝒀𝑶 𝑹𝑬𝑽𝑬𝑵𝑮𝑬𝑹𝑺

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───── ❝ 𝐍𝐨𝐞̈𝐥 𝐝𝐞 𝐫𝐞̂𝐯𝐞 ❞ ─────

❝ 𝐉𝐨𝐲𝐞𝐮𝐱 𝐍𝐨𝐞̈𝐥, 𝐦𝐨𝐧 𝐭𝐫𝐞́𝐬𝐨𝐫

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❝ 𝐉𝐨𝐲𝐞𝐮𝐱 𝐍𝐨𝐞̈𝐥, 𝐦𝐨𝐧 𝐭𝐫𝐞́𝐬𝐨𝐫. ❞

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Relaxée.

J'étais complètement — merveilleusement — relaxée.

La personne qui avait inventé les bains brûlants méritaient vraiment d'avoir une place au Paradis. C'était la meilleure invention de cette Terre. Rare était les fois où je prenais un bain étant donné que je ne prenais jamais trop le temps de m'en faire couler un.

Mais en ce 24 décembre, après la journée à avoir travaillé au magasin à conseiller les clients sur quels vêtements ils pouvaient acheter comme cadeau de Noël, j'avais bien besoin de me détendre. Et j'avais été très heureuse de faire l'ouverture ce matin et non la fermeture ce soir. De cette façon, j'avais terminé à midi et avait eu le temps de faire une grosse sieste pour être en forme au réveillon.

Je ne fêtais pas Noël avec mes parents ou les autres membres de ma famille. Je ne les côtoyais plus depuis des années et ça m'allait très bien comme ça. Mon réveillon de Noël se limitait à une seule et unique personne : mon tendre et cher mari.

Enfin, on n'était pas encore marié, mais c'était tout comme. Ça faisait déjà huit ans qu'on habitait ensemble et dix ans qu'on était en couple. Quand je l'avais enfin eu quand on avait seize ans, j'avais été la femme la plus comblée au monde. Je m'étais amusée à le faire languir, mais il n'avait pas lâché l'affaire parce qu'il savait que c'était moi qu'il voulait.

Et dix ans plus tard, j'étais dans notre baignoire à me prélasser dans l'eau en attendant qu'il rentre du travail.

L'animalerie qu'il tenait avec Keisuke et Chifuyu n'allait pas tarder à fermer. Et je n'avais aucun doute sur le fait qu'ils avaient dû être débordés aujourd'hui. C'était tellement habituel que des gens rapportent des chats et des chiens à la boutique le jour de noël. La plupart ayant été trouvés en train de geler dans la neige.

Les gars faisaient vraiment un métier honorable.

Et en parlant de ces trois-là, mon préféré m'envoya un message sur mon téléphone. Je m'essuyai la main avec la petite serviette qui était accrochée à côté de la baignoire et lus le message que j'avais reçu.

Sextoy2.0 à 18h47 :

Putain, y'a un connard qui vient de passé, j'avais envie de le tuer

Moi à 18h47 :

Baji ne l'a pas fait ?

Sextoy2.0 à 18h48 :

Chifuyu l'avait envoyé donner à manger aux chats

Mais l'autre m'a vraiment énervé à me parler comme si j'étais son clébard

𝐑𝐞𝐜𝐮𝐞𝐢𝐥 𝐝𝐞 𝐎𝐧𝐞-𝐒𝐡𝐨𝐭Où les histoires vivent. Découvrez maintenant