Heya ! Ça faisait longtemps ^^
Comment allez-vous ?Je me demande si il reste encore des gens qui attendaient la suite et fin de cette FF 😂🤣
Bon, voici le dernier chapitre de mon Dottore xReader ! Je compte ensuite le traduire en Anglais, c'est mpins fatiguant que d'écrire une nouvelle Fanfiction ahah 🥲
Pour mon Scaramouche xReader, et bien disons que je n'ai aucune idée de si je vais le finir ou si il va être encore en pause pendant un bout de temps 😅
Aller, je vous laisse avec le dernier chapitre du Dotty xReader !
Bonne lecture ! 😆❤️Pdv Dottore :
Je commençai la préparation du remède, pilant précautionneusement le fragment de gnosis à l'aide d'un mortier, le réduisant en une fine poudre de grains luminescents.
Dans un même temps, je fis bouillir les pétales des fleurs que le jeune botaniste sumérien et moi-même avions ramené de Snezhnaya. Après quelques minutes de cuisson, j'écrasai les bouts de fleurs pour en extraire le jus et le mélangeai aux molécule de synthèse que j'avais préparé avant de partir pour Sumeru.À mes cotés, se reposant sur le lit aux draps opalins, T/p respirait doucement, le bruit de ses inspirations quasiment inaudible. Pour elle, pour qu'elle ne connaisse pas une fin tragique, je me devais de réussir.
Je pris délicatement la poudre de gnosis et l'incorporai peu à peu au mélange préparé un peu plus tôt, prenant garde à ne pas créer de grumeaux, battant la mixture à l'aide d'un petit fouet en bois.
J'insuflai un peu de mon énergie élémentaire, puis constatai avec satisfaction que le mélange prenait une couleur semblable à celle du cosmos, d'un teint sombre comme les abysses mais parsemé de petits points brillants légèrement à la façon des étoiles présentes dans le ciel nocturne.Je m'approchai doucement de T/p, le remède à la main pour le lui administrer. C'était réellement la première fois que je concoctais une potion de ce genre, avec des ingrédients aussi rares et divins pour certains, alors le réussir du premier coup était une fierté pour le scientifique que j'étais.
Et un soulagement pour l'homme que j'étais.Car si j'avais échoué, je n'aurais plus eut aucune solution pour sauver T/p.
Bien qu'elle ne me pardonnera probablement jamais toutes les vies que j'ai sacrifié pour trouver la formule de ce remède, tous ces humains tués lors de mes expériences visant à la soigner un jour.C'est même certain qu'elle ne me le pardonnera pas.
Je pris une seringue, que je remplis du remède, et un morceau de coton que j'imprégnai d'anesthésiant puis pressai fort contre l'épaule de T/p. Après m'être assuré que l'anesthésiant avait bien pénétré sa peau, je piquai doucement la pointe de l'aiguille et injectai le médicament à T/p, puis retirai l'aiguille et fis attention à essuyer la petite goutte de sang qui perlait là où l'aiguille s'était enfoncée.
Il ne restait plus qu'à attendre que le liquide se diffuse dans son sang et fasse effet.Je nettoyai tout ce que j'avais utilisé et pris soin de jeter les cottons usagés. J'appliquai également un pansement sur l'épaule de T/p et, n'arrivant plus à contenir mon stress, je la pris dans mes bras, logeant ma tête dans son cou.
<<Abysses, Cieux, démons ou Dieux je m'en fous complètement. Mais par pitié, faites que je ne te perde pas, pas toi. Je deviendrai réellement fou si tu venais à mourir, j'ai cru le devenir en rentrant de Sumeru. Si tu savais... chuchotai-je, acceptant avec amertume l'une de mes facettes les plus humaines.
Je serrai un peu plus fort le corps de T/p dans mes bras, ne trouvant pas la force de me détacher d'elle. Je restai quelques minutes ainsi, elle dans mes bras et mes mains dans sa nuque et ses cheveux.
Puis un miracle, un léger mouvement, une respiration un peu plus forte que les autres, des yeux qui s'ouvrent, une main qui se pose dans mon dos.
Et sa voix qui résonne dans mes oreilles.-Dottore ? Alors tu es... toi-même venu. Ah, tu me fais un peu mal. toussota-t-elle en se défaisant de mon étreinte, me regardant d'un air fatigué mais souriant quand même faiblement.
Je n'arrivais pas à y croire, T/p s'était réveillée, j'avais réussi, mes recherches ont porté leurs fruits ! Je contins difficilement ma joie, me contentant de caresser sa joue avec mon pouce, me perdant dans ses yeux c/y.
Elle était là, en face de moi, bien vivante.-Dottore ? m'interpella-t-elle de sa voix douce.
-Zandik, appelle-moi Zandik. Dottore n'est qu'un titre, pas mon prénom. Avant que tu ne dises quoi que ce soit, je tiens à te parler de choses importantes, et surtout clarifier quelques points avec toi par rapport à ce que Columbina a pu te faire croire avec les documents de mon laboratoire.
-Non, pas besoin de te justifier. Peu m'importe ce qui a pu se passer avant, aujourd'hui l'homme que je vois en face de moi est celui qui m'a sauvée, et est aussi l'homme que j'aime, alors je n'ai cure de tout ce qui a pu se passer avant. Je suis sûre que tu avais tes raisons. me coupa-t-elle en secouant la tête, reprenant petit à petit des couleurs, signe que le remède faisait bel et bien effet.
Mais dans tout ce qu'elle avait dit, seule une chose avait retenu mon attention : elle avait dit que j'étais l'homme qu'elle aimait.
Je sentis mon cœur brûler d'un feu ardent à l'intérieur de ma poitrine.-Tu as dit... que tu m'aimais ? répétais-je, voulant être sûr de ce que je venais d'entendre.
Pour toute réponse j'eus le droit à un baiser sur le coin de mes lèvres, ainsi qu'à un sourire malicieux que je ne connaissais que trop bien.
Je lui pris délicatement les joues et l'embrassai avec le peu de tendresse dont j'étais capable de faire preuve, puis la serra dans mes bras en soupirant de soulagement.
Elle était bien vivante.-Zandik, est-ce qu'on pourrait ne jamais retourner à Snezhnaya ? J'aimerais vivre à Sumeru, il fait bon ici et mes amis sont aussi ici ! me demanda-t-elle doucement.
-Vis où tu veux vivre, je te suivrai. Avec mes responsabilités en tant qu'Exécuteur je ne pourrai pas toujours être présent, mais je te rendrai visite aussi souvent que je le pourrai. Je t'aime. lui susurrai-je au creux de l'oreille.>>
Elle me souris et posa sa tête contre mon torse, me laissant passer ma main sur ses cheveux. Bien que mon expression fermée me donnait des airs froids, j'étais en quelque sorte apaisé.
Pdv ??? :
"Je t'aime" lui avait-elle dit.
Ces quelques mots me firent mal au cœur, à moi qui était petit à petit tombé amoureux d'elle.Tapis derrière la porte de la chambre où T/p et Dottore étaient, j'avais entendu la majeure partie de leur discussion. Je n'étais pas venu épier, simplement vérifier que le Fatui ne faisait rien de répréhensible à mon amie, à celle que j'aimais.
Et j'avais fini pas entendre ces mots.
Et mes rêves se sont brisés.Aimer quelqu'un, c'est vouloir le bonheur de l'autre. Aimer, c'est donc accepter que l'être aimé soit plus heureux avec une autre personne...
Les oreilles basses et des larmes aux coins des yeux, je fis volte-face et, sur la pointe des pieds, je retournai auprès de Collei.
<<Il a intérêt à la rendre heureuse. soufflai-je en serrant les dents.>>
Fin du Dottore x Reader
Heya ! Alors, qu'avez-vous pensé de ma fanfiction ?
Évidemment, je souhaite des avis constructifs ! Pas de "c'est nul" sans explications derrière sur ce que vous n'avez pas apprécié (comment progresser si on ne sait pas où on a eut faux ? 😂)
Il y aura peut-être un chapitre bonus, mais d'abord je pense faire un chapitre de remerciements où il y aura mes abonnés et lecteurs les plus "actifs" sur ce livre et ma playlist pour écrire cette fanfic !
Prenez soin de vous, à bientôt sur un autre de mes livres 🤗❤️
VOUS LISEZ
𝐼 𝑙𝑜𝑣𝑒 𝑦𝑜𝑢... ʙᴜᴛ ɪ'ʟʟ ɴᴇᴠᴇʀ ᴛᴇʟʟ ʏᴏᴜ {Dottore x Reader}
Fanfikce> Des années que j'étais enfermée dans cette chambre, sans fenêtres et éclairée par de beaux lustres en cristaux purs. Des années que Dottore me répétait la même chose à chaque fois que je lui demandais si je pouvais sortir un peu. Pourquoi me garde...