« T'es... mm... jaloux. »

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Je suis DÉ-PI-TÉE, c'est ma scène de cul PRÉFÉRÉE et je pourrais pas lire vos commentaires. Pas avant genre... lundi. Nan mais c'est de ma faute, j'ai de la famille dispersée à travers le territoire et je suis toujours partante pour aller passer des weekends de folie avec elle. Voila XD.


Cela dit, je pense que je vous laisse en excellente compagnie, appréciez et savourez cet avant-dernier chapitre et j'ai TELLEMENT hâte d'avoir vos avis ^^ !!

 Bonne lecture ^^

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Chapitre 12 : « T'es... mm... jaloux. »

« Pour de vrai ? Tu jures ? »

« Sur le petit doigt. »

Izuku tendit son petit doigt à Eijirô sans y croire, un sourire de défi aux lèvres qui lui mangea les joues lorsqu'Eijirô enroula son doigt autour du sien, sans hésitation aucune.

« C'est sacré sur le petit doigt. »

« C'est sacré. » confirma le roux, tout le sérieux de son visage contredit par le plissement au coin des lèvres. Izuku avait envie de le lui embrasser, s'il n'avait pas un doute affreux qui l'envahissait :

« T'es sûr de toi ? Je croyais que t'avais pas envie... d'être autre chose que dominant. » tourna-t-il sans savoir exactement comment exprimer sa pensée. C'était maladroit, mais il préférait être sur la même page que son meilleur ami avant de se lancer dans ce jeu plutôt que d'avoir une autre discussion à trois heures du matin dans la cuisine. Une fois pas deux. Y'avait plus de gâteau, de toute façon.

« J'ai dit que tu pouvais me prendre, pas me dominer. »

« Oui mais, ce que je veux dire... enfin, ce que je voulais dire, c'est que, c'est que... »

Le fait qu'Eijirô le laisse bafouiller et se dépatouiller en se contentant de hausser un sourcil amusé ne l'aida pas du tout à réarranger ses idées. Il continua de s'enfoncer allégrement dans un marécage de « c'est que tu n'as jamais... on a jamais... c'est pas exactement... » au fur et à mesure que le sourire du roux s'élargissait, ajout absolument sublime au visage légèrement rougi de leur activité illicite. Complètement déstabilisé par ce sourire et le souffle d'Eijirô sur ses joues, il entama bravement une nouvelle explication qu'il pensait structurée jusqu'à ce qu'il s'entende répéter « quand tu, quand, quand, quand tu... » et ne fut jamais aussi soulagé que d'être interrompu :

« C'est pas parce que je m'amuse avec vos culs à vous en ce moment que je me suis jamais amusé avec le mien. Ou que j'aime pas ça. Je suis juste moins expérimenté de ce côté-là. Et j'avoue, » les dents pointues brillèrent un peu trop à quelques centimètres de son nez, « j'aime bien l'idée de t'avoir en chien entre mes cuisses. »

Saleté déloyale. Maintenant il avait l'idée en tête et sa queue semblait gainée de frustration tant il en avait envie. Et le murmure à son oreille ne l'aidait pas du tout à calmer ladite envie :

« T'en dis quoi ? Je pourrais te chevaucher tout en faisant Kat s'asseoir sur ton visage jusqu'à ce que tu puisses plus respirer ? »

« Arrête... On est en maillot de bain, c'est pas l'idéal pour une érection. »

« Ça, c'est ton problème ! » et devant la mine indignée que lui renvoya Izuku, il lui colla un baiser sonore sur la joue. « Moi, je saute dans la piscine pour dissimuler tout ça, bon courage de ton côté ! »

Et il l'abandonna, maillot de bain sur les chevilles, filant à travers la maison avec un fou rire qu'Izuku se promit de se faire rembourser au centuple. Il allait faire en sorte de foutre la lingerie la plus sexy qu'il puisse trouver sur Kacchan et enverrait des photos et des vidéos à Eijirô alors qu'il serait en réunion. Ou en interview télévisé !

The Manly BottomsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant