Art : nct_wish
__________________________________
Les pas se faisaient entendre sur le sol dur de la ville, les sabots des passants couraient aux côtés des deux hommes encore à ce jour totalement inconnus.
Leurs regards s'étaient à peine échangés mais peut être que ce fut assez pour leurs donner cette lumière qui leurs avaient dit d'aller plus loin dans la découverte.Les pas des deux hommes s'aboutissent à l'entrée de l'habitat encore sinistre de kazuha.
Les clés en métal noires de celles ci se firent entrer dans la serrure, puis se tournèrent afin d'ouvrir la petite demeure où immergeait kazuha pour un temps incertain.— entre, fais comme chez toi. Dis Kazuha.
Le violacé ne fit aucune parole et entra, déposant ses chaussures noires à l'entrée dans broncher.
Ses pieds à présent nues marchaient dans la fine maisonnette jusqu'à arriver au sofa, s'y asseyant.— depuis quand habitue tu ici ? Kazuha ?
— oh depuis trop peu, je suis un pauvre sans abris en principe, mais un ami m'aide à me loger le temps que ... je me reprenne en main disons ça.
Un regard dubitatif se fit porter au sujet de Kazuha, sans abris ? À quoi cela peut il être dû ?
— pourquoi l'es tu ? Demanda Scaramouche.
— je suis recherché depuis bien trop longtemps par la justice de inazuma mon pauvre, j'ai beau fuir ça ne résous rien, j'aimerai partir à sumeru pour en finir avec cette histoire et tourner une nouvelle page, hélas ce n'est pas si simple. Mais... pour te faire court, j'ai essayé de tuer la « grande » Raiden shogun. Tss. Grande seulement en taille. Ronchonnait encore celui ci.
— oh ?
Juste ce simple petit mot avait raisonné dans la pièce, et il n'en avait pas besoin de plus long pour attiré kazuha aux questions.
— quoi ? Ça te branche ?
Dit-kazuha, levant un sourcil manière d'interroger.
— disons que... oui. C'est étonnant.
— en quoi ?
Scaramouche se leva et marcha lentement jusqu'à kazuha qui était contre le bar de la cuisine qui se trouvait face au salon, un verre de rhum en main.
Arrivé à lui il s'adossa au bar aussi et saisir son verre afin de finir ce qui y restait dedans.
L'alcool coulait dans sa gorge, ça brûlait, brulait comme un feu de bois auquel les enfants pourraient y faire cuire des petit carrés de marshmallow. Hélas cette fois ci ce feu n'est rien d'autre que mauvais.
mais après tout il s'entait une peine de plaisir à boire cette chose, chose très aimé par les vivants. Mais étrangement, ce soir, il aimait les brûlures que cet alcool lui faisait. Brûlures qu'il connaissait bien.— à en voir ton visage aussi innocent et insouciant, je ne pensait pas qu'une telle fillette ferait un acte aussi brusque, si tu vois que ce je veux dire.
Il plaça une once d'humour à ce début de discussion, riant légèrement à en apercevoir ces dents franchement blanches.
Première fois que son sourire sortait de la surface, ça en avait eu le pouvoir de écarquiller les yeux de l'homme en face de ce sourire.— la rage détruit les fillettes les plus sages parfois, grand poète.
Les paroles simples mais tranchantes de kazuha avait eu cet effet tranchant sur le coeur de pierre de la marionnette, il s'y voyait dans les paroles de celui ci, comme son reflet, son allié.
Enfin, tout termes possibles mais jamais son ennemi.
VOUS LISEZ
L'amour & la poésie.
Paranormal_____________________________________________ Kazuha ne faisait que voir en sa vue du sombre et du sinistre, après tout il s'en était habitué hélas. Depuis que des mots finement écrit sur un papier eurent la force de toucher ses yeux, il ne s'en las...