Bartholomew, Augustus et Dashiell, les fils de Théodore Montgomery, un mafieux colombien, se retrouvent pris dans une trame complexe de légacies familiales et de dettes.
De l'autre côté, Gwen, l'héritière de Thomas Ward, un homme d'affaires influen...
Jefferson Galad, âgé de 56 ans, était autrefois un fidèle ami de Théodore, jusqu'à ce que ce dernier tue toute sa famille. Homme rusé et déterminé, il est prêt à tout pour assouvir sa soif de vengeance.
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Début
Dans le bureau d'Antonio,
Antonio : "Jefferson, comment ça va ?"
Jefferson : "Très bien, merci. Alors, ils ont été informés."
Antonio, avec satisfaction : "Exact, oui, ils ont bien été informés."
Jefferson esquisse un sourire malicieux : "J'aurais bien aimé voir leur tête, et aussi celle de Joseline agonisant."
Antonio : "Mais tous les autres sont encore là, ne t'inquiète pas, tu auras ta vengeance."
Dans le manoir Montgomery
Simone : "Gustave Santibez ? C'est qui ? Et quel lien a-t-il avec nous?"
Théodore lève les yeux de ses documents avec une légère nervosité : "Simone, ce n'est pas le moment. Occupe-toi d'abord de tes fils."
Simone croise les bras, déterminée : "Pas cette fois, tu ne pourras pas éviter mes questions. Je suis ta femme depuis plus de 30 ans, je te rappelle. Et toi, tu m'as trompée durant toutes ces années avec qui ? Une pauvre femme..."
Théodore soupire profondément : "J'aimais cette femme, Simone. Tu m'entends ? Je l'aimais plus que tout, plus que je ne t'ai jamais aimée. Elle me faisait me sentir bien. Avec toi, je suis..."
Simone : "Tu es quoi?"
Théodore baisse le regard, hésitant : "Prépare tout pour le retour d'Augustus, le seul de cette famille sans problème."
Simone, fulminante, quitta le bureau,
Chez elle, Patricia était à cran, se tortillant nerveusement les mains.
Flavio : "Mme, ça va bien?"
Hector : "Patricia, tout va bien?"
Patricia : "Oui, tout... tout va bien, ne vous inquiétez pas." Elle entra dans la maison.
Jefferson et Antonio quittèrent le bureau et l'aperçu.
Antonio : "Patricia, ça va?"
Patricia : "No me toques."
Jefferson : "Je devrais y aller, Antonio. Patricia, ravi de te revoir."
Patricia : "Moi aussi, Jefferson." Il partit, et Antonio accompagna Patricia dans sa chambre.