À tous ceux qui y ont
cru jusqu'au bout ...4 ans plus tôt. ( En réécriture)
Le 14 mai.Je reviens des cours, le temps gris empathie sur mon morale, les écouteurs enfoncé dans les oreilles, je chasse quelques pensées pessimistes, je n'ai pas le droit de les laissé gagné.
En arrivant sur le pavillon de chez moi, je prend une petite minute pour calmé les battements de mon cœur et pénètre par la suite dans le séjour. Mon beau père est affalé sur le canapé, une bouteille a la main pour changer et ma mère assise dans la salle à mangé entrain de se torture l'esprit avec les factures je suppose.
Depuis la mort de mon géniteur, l'argent nous manque. Nous serrons la ceinture à chaque fin de mois, quitte a ne pas mangé le soir. Nous logeons dans un quartier modeste, une petite maison négligé par mon beau-père qui ne cesse de s'en plaindre.
Mais mon beau père n arrangeais pas les choses. Collé à ce fichu canapé à longueur de journée, il râle en permanence, lui qui avait tout promis a ma mère, une vie de rêve au bord de mer, un merveilleux mariage, de l'argent a ne plus savoir quoi en faire.
Mais nous voilà aujourd'hui, endetté jusqu'au coup mais ma mère s'enferme dans ce mutisme par peur qu'il parte, je le hais, égoïste, impulsif, violent et obsédé...
Ma mère, Hélène, travaille dans le supermarché du coin, tous les matins elle y va a pieds, elle s'est résolu a vendre sa voiture il y a quelques mois parce que l'alcool de mon beau-père lui coûtais trop cher.
Elle enchaine les heures sups pour tenté de remplir le frigo, des fois même je ne l'entends pas rentré de la nuit, seule avec cette homme, je m'enferme dans ma chambre en attendant son retour.
Tandis que mon beau père, se contente de jouer au jeu vidéo, s'enfilé des verres de whisky et des paquets de chips. Quand ma mère rentre du travail, il se permet des remarques coquine, tandis qu'elle simulera un rire avant de se tourné vers mois le visage dégouté.Le mois dernier il s'est permis de prendre son argent, qu'elle économisais pour acheter un nouveau microonde, pour acheter sa fichu PS4 qui nous a privé de manger les 2 dernier jour du mois.
Ma mère n'ayant pas assez d'argent pour me payer la cantine je me retrouve à sortir du lycée en faisant croire à mes "amis" que je mangeais à l extérieure avec elle, je frôlais régulièrement les crises d'hypoglycémie, mais avec le temps, mon ventre a cessé gargouillé chaque midi.
Quand un jour semblable a tant d'autre, je trainais dans les rues attendant la reprise des cours, je sentis mon telephone vibré dans ma poche arrière.
-Allo ma chérie, tu es où là ? J aurais besoin d un petit service.
-Je suis au parc du château à côté du lycée pourquoi ?
- Est ce que tu pourrais passé au supermarché j'aurais besoin que tu vienne chercher un colis pour le livré à quelques pâté de maison s'il te plaît.
- D'accord,j arrive j espère que c est pas trop loin. Je soupire silencieusement ne voulant pas lui montré mon agacement.
- Merci beaucoup à toute à l heure.
Puis elle raccroche, je l'ai trouvé un peu bizarre, pas un "bisous" ou "à ce soir", mais je suppose que le boulot la fatigue elle aussi. Elle sait je que je peux pas lui dire non et elle n hésite pas à l utilise quand ça l arrange.
Je suis en marche vers le travail de ma mère, la capuche redressé sur ma tête, il ne cesse de pleuvoir, mes mains rougis rentré dans mes manches trop longue. Malgré le bruit de l'averse, j'entends le bruit d'un moteur au pas depuis un moment. Je n'ai pas dévisagé le conducteur une fois par peur de fauté. Alors je me contente de faire des détour pour s'assuré qu'il me suis bel et bien.Et ma théorie se confirme en quelques minutes, je tente de resté dans le déni, tandis que je sens le rythme de mon cœur s'affolé a l'idée de finir dans les faits d'hiver.
J accélère légèrement le pas, la respiration haché et prend un chemin entre quelques pâtés de maison, exclusif pour les piétons, malgré que cela me fasse faire un détour.
Arrive au super marché, je retire les écouteurs de mes oreilles, tente retrouvé mon calme avant de retrouvé ma mère a l'accueil, celle ci me tend le colis et me donne un post it avec l adresse.
" 13 rue de l avenir "
C est pas quelques pâtes de maison ça, c'est carrément à la sortis de la ville.
Je tente de montré mon mécontentement à ma mère qui me supplie tout en ajoutant qu'elle a beaucoup trop de travail en ce moment et qu'elle m'ai reconnaissante de l'aidé, la culpabilité se reveille en moi et je cède, encore une fois.Étant donné que je reprend les cours à 15h puisque mon prof de physique est absent je peux bien me permette cette " petite promenade " comme à dit ma mère. Mais mon dieu comment cette pluie va m'agacé.
Je renfonce mes écouteurs et augmente le son pour me replongé dans mon petit monde essayé de ne pas trop angoissé, mais, mes pensées restent toujours plus forte que la musique et je déteste ça.
D'un pas rapide, je traverse la ville tout en évitant les flaques d'eau, je n'ai pas réaperçu la voiture, alors je me suis enfoncé dans la tête que ce n'était qu'une coincidence comme une autre et que je me suis encore une fois fait des films.
Après plus d'une heure de marche, me voici en face de la résidence en question. C est à peine si on peu appeler ça une maison en faite.
Paumé au milieu de nul part, sur une petite route à la sortie de la ville, entouré d'une grande haie et un portail réside au milieu, en métal à barreau.
La maison derrière est en pierre, un peu vieillotte, j'ai du mal a croire que quelqu'un puisse y vivre, j'aperçois d'ici les toiles d'araignées qui orne les fenêtre. J'ai un très mauvais pressentiment mais je le ravale du mieux que je peux.. Je peux voir qu'il y a trois étage. C est un véritable manoir à ce stade.
J appuie sur la sonnette mais quand mon doigt relâche le bouton, elle tombe à mes pied, le bruit de craquement m'indique qu'elle a bel et bien rendu l'âmes devant moi.
Et merde on a pas l argent pour remplacé ça en plus. Je prétendrai l'avoir trouvé par terre en me présentant.
Après dix bonne minutes à attendre aucune réaction aucune lumière n est allumé, des rideaux blanc horde chaque fenêtre me faisant froid dans le dos. Bon dieu ce lieu me donne la chaire poule.
Je rêverai de revenir sur mes pas et agir comme si cela n'était jamais arrivé, mais j'ai promis, je ne veux pas la décevoir, elle a besoin de moi...
Je cherche un autre moyen de montre ma présence et remarque une petite cloche.
Je tente de tire sur le file pour la faire sonné. Ce qui me fracasse les tampons .
Mais même après 5 minutes aucune réaction.Je commence à ruminer.
Peut être que je devrai laisse le colis devant le portail de toute façon personne ne viendra par la pour le voler ici.
Mais non, ma mère a dit de lui donne en main propre et de lui faire signe le papier. Je peux toujours vérifier si le portail est ouvert et aller toque à la porte directement. Oh je sens que c'est une mauvaise idée.
Mais non ça se fait pas d'entrer dans une résidence privé, me trouvais-je comme excuse. Oui mais j'ai pas le choix actuellement.Je finis par tendre la main vers le portail qui cède facilement et s'ouvre lentement avec un grincement à me gelé la colonne vertébrale .
Je marche lentement mais sûrement vers le bâtiment. Monte les marches une à une menant au palier. Le vieux bois grinçant sous mes pieds. LA tout de suite je veux juste repartir en courant et espérer que ce n'était qu'un mauvais rêve.
Mais, une fois devant la porte, je m'apprête à toque; mais la porte s'ouvre rapidement un grand bras m'attire à l intérieure et la porte claqua derrière moi.
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Fallen Love
RomanceMaé à 19 ans mais elle ne voit plus la lumière du jour depuis ses 15ans. dans cette cave ou elle réside nuit et jour. Ou elle subit les coups de son kidnapper. la vie n à plus aucun goût pour elle. jusqu au jour où la porte s ouvra sur un autre vis...