Troisième Chapitre.

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Comme il est vrai que la beauté réside dans le regard de qui la contemple.

Me voilà devant la porte « 5 » la porte du mystérieux con. Je sais pas si c'est une bonne idée d'y entrer, avec toutes les propositions obscènes qu'il a pu me faire au cours de ces dernières 24 heures.
Je toc légèrement, mais rentre dans la seconde qui a suivi, après tout, il m'a dit de venir donc il doit s'attendre à ce que j'arrive dans les minutes qui suivent.
Il se retourne, me dévisage tout en me regardant de haut en bas, je vois son petit sourire se formé au coin de ses magnifiques lèvres que j'ai d'ailleurs très envie de regoûter.
Je repousse immédiatement ses idées de mon esprit, je me maudis de désirée une personne que je connais à peine, mais c'est bien un de mes plus profonds défauts, j'ai toujours était attiré par les hommes mystérieux, ça ne m'a d'ailleurs pas beaucoup réussis vu que je suis seule, mais c'était bien de ma faute, j'ai décidé de ne plus m'attacher quand j'ai commencer à changer deux fois de ville en même pas un an.
- Tu as vu comment tu es fringué ? Tu veux m'allumer ? me demande-t-il.
Je rougis, j'ai jamais autant rougi depuis que je le connais. - Tu m'as dit de venir, alors me voilà. Et désolé pour ma tenu, mais j'étais prête à m'endormir, quand tu m'as envoyé ton message. Que veux-tu ?
Quand je décide enfin de le regarder vraiment, je m'aperçois qu'il est torse nu, ses cheveux bruns en bataille, allonger dans son lit, avec à côté de lui.. Un bouquin ? Mon mystérieux con aime lire ? Très intéressant, je savais déjà sa de lui au moins. Au même moment on entend quelqu'un qui toc à la porte. Il me lance un regard sévère et me dit :
- Tu t'ai pas douté que je pouvais être occupé ? À la place de ramener tous tes potes.
- Sa re toc.
- - Je ne leur ai rien dit, et tout le monde dormaient, je suis rentré il n'y a pas longtemps, je te rappelle.
À peine, avoir finis ma phrase, il cri furax à la personne qui toquer de rentré.
Entre temps je m'étais assise sur sa chaise de bureau, juste en face de lui, qui était assis au bord de son lit, on tourne la tête au même moment dans la direction de la porte.
Je vois apparaître, GABRIELLA !! Mais elle fait quoi ici ? Chez mon mystérieux con. Gabriella suivit de JOHAN ? C'est une blague ? Je ressens le regard menaçant de mon mystérieux con, sans avoir besoin de le regarder. Gabriella et Johan s'exclament en même temps.
- Gabi, tu es là, on te cherchait de partout.
À mon visage qui devait sûrement me trahir, je voulais paraître pas du tout fâcher, mais au fond j'étais dégouté et vu la tête qu'ils tiraient tous les deux j'ai été trahi par mon propre visage !! Alors ils continuaient tous les deux à me raconter leurs « mensonges ». Parce que je sais très bien qu'ils ne sont pas venus pour savoir si j'allais bien, mais juste savoir où j'étais.
Gabriella : Johan t'a envoyé un message après que vous êtes rentré de votre soirée, et comme tu répondais ni à ses messages ni a ses appels, il est venu voir si tout allait bien dans notre chambre, sauf que sans le vouloir il m'a réveillé..
Johan : Donc du coup, elle m'a aidé à te chercher.
Johan finit la phrase que Gabriella avait commencée. Mystérieux con : Comment avez-vous su qu'elle était avec moi ?
Johan : On a regardé dans son téléphone.
Le mystérieux con écarquille ses jolis yeux, quand il entend Johan dire qu'ils ont regardé dans mon téléphone, je ne suis donc pas la seule à trouver cela super déplacer. Je n'aurais jamais osé sauf si ça faisait plusieurs jours que je n'aurais pas eu de nouvelle de ma colocataire. Maintenant c'est à mon tour de crier furax :
- VOUS AVEZ FOUILLÉ DANS MON TÉLÉPHONE ?? MAIS C'EST UN MANQUE DE RESPECT !! VOUS VOUS RENDEZ COMPTE ? QU'UN TÉLÉPHONE C'EST PERSONNEL !!!
Les deux ne savaient plus où se mettre, ils étaient gênés. Et ils avaient bien raison de l'être ! Mon mystérieux con, rigoler dans sa barbe en m'entendant m'énerver toujours un peu plus, à chaque phrase que je prononcer, quand je me retourne pour l'affronter avec mon regard noir, digne d'une Gabriella en colère, il chuchote pour que je sois la seule à entendre :
- Tu es incroyablement sexy quand tu t'énerves ma jolie. Ses paroles ont procuré une décharge électrique dans tout mon corps, je ne calcul pas le reste de ses paroles, et ne sourcille pas , pour ne pas éveiller les soupçons des deux guignols qui me servent d'amis toujours à l'entré de la chambre.
Le mystérieux con prend alors la parole :
- Bon et si maintenant que vous avez remarqué de votre « GABI » est en sécurité dans une chambre avec moi, vous pouvez quitter les lieux, j'aimerais bien lui parlé. Allez finir votre nuit, elle est grande , c'est une fille très responsable.
Gabi répète le mot « Sécurité » que mon mystérieux con venait de dire. Malheureusement il a entendu, et il a re enchéri dans la seconde qui a suivi :
- Tu crois qu'elle n'ait pas en sécurité avec moi ?
- Non, Johan répond a la place de Gabriella, je suis étonné.
Soudain le con mystérieux se lève et sort les deux de la chambre.
Il me regarde... J'attends une remarque à la con qui va surement m'énerver comme d'habitude, mais à la place il me dit seulement :
- Sa te dérange pas ?
Je lui demande alors :
- D'avoir sorti mes amis comme des malpropres ? Ou d'avoir voulu que je reste avec toi sans me demander mon avis ?
Il se rassoit, avec un air gener, en fin c'est l'impression que j'ai.
Je rigole il lève ses yeux noisette avec ses jolis reflets vert vers moi, il ne comprend pas pourquoi je rigole, ce qui me fait encore plus rire.
- Je te taquine, rien ne me dérange, tu as bien fait.
Il sourit et tape le lit vide à côté de lui, pour me faire comprendre qu'il me veut prés de lui, j'y vais , et entre nous j'y cours presque ! Maintenant que j'étais assise à ses côtés, il plonge son regard dans le mien comme au premier jour, et me dit :
- J'ai demandé ton numéro à l'accueil comme on est liée pour deux mois si on a besoin de quelque chose ou besoin l'un de l'autre on pourra ce contacter facilement, à la place de se chercher pendant des heures, comme tu as pu le remarquer le campus est grand.
Je suis étonné de ses propos je croyais qu'il allait dire autre chose, pourquoi m'avoir regarder comme ça, juste pour m'expliquer d'où il a eu mon numéro, même si c'était la question que je me posais, et surtout une principale raison de ma venu dans sa chambre. Ce mec me perturbe vraiment. Je me demande si son « besoin l'un de l'autre » était encore une avance parmis tant d'autre. Mais sa me fait rire, je ris intérieurement je suis sûr qu'il sait dégonfler, et à dit le premier sujet qui est passé dans sa tête a ce moment-là. Je lui réponds simplement :
- Tu as eu raison, mais si je connaissais ton prénom ça serait déjà mieux, surtout que tu connais le mien.
- Loic, je m'appelle Loic.
- OK. Et tu voulais ne rien me dire d'autre ? Je lui laisse encore une chance de me dire le fond de sa pensée, s'il la saisit pas je vais plus insister. - Non. J'ai juste des papiers pour toi, des papiers que l'accueil m'a donnés , elle en a profité quand je suis allé demander ton numéro. Puis j'avais envie de te voir, alors j'ai saisi l'occasion.
- Me voir ?
- Oui j'avais envie de finir ce qu'on a commencé tout à l'heure dans le local d'entretient, mais tes amis on débarquer, et maintenant j'ose plus tu dois pas être d'humeur. Mais j'ai fait que pensée a tes lèvres elles sont délicieuse Gabriella, a chaque fois que je les regarde j'ai envie de les sentirent contre les miennes, elles sont si douces.
SANS BLAGUE, ce n'est pas comme si sa n'était pas réciproque. Je me lève et lui demande :
- bon donne-moi les papiers, j'ai envie de dormir et surtout pouvoir aller en cours demain. Donc pour finir ce qu'on a commencé tout à l'heure sa ne seras pas pour ce soir, j'ai fini ma phrase par un petit clin d'œil.
Il se lève à contre cœur, et me tend le dossier, quand je le saisis nos mains se touchent, nos regards aussi, il m'attire a lui, et m'embrasse, on s'embrasse passionnément c'est différent du baiser qu'on a échangé ce matin dans le local d'entretient, mais il est tout aussi bien. À la fin de notre baiser, il me sourit, je lui rends son sourire et je me baisse pour récupérer les papiers que j'avais lâchés pour pouvoir caresser son dos si muscler si tendu pendant le baiser, lui une de ses mains tenait ma taille fermement comme ce matin et l'autre dans mes cheveux, un délicieux moment, je passe ma langue sur mes lèvres rien qu'en y repensant, et me tourne pour partir de sa chambre, quand je me sens plaquer contre la porte, puis il se penche dans le creux de mon cou et me murmure :
- À demain princesse, pense bien à moi pendant ce temps, c'est ce que moi je vais faire en tout cas.
Mon corps tout entier se met à frissonné, oh ne t'inquiète pas depuis que je t'ai vu depuis que nos regards se sont croisé je ne peux plus te sortir de mes pensées. Mais je ne dis rien, je rougis et lui sourit puis me retourne pour rejoindre ma chambre. Quand je suis partie, il avait un large sourire, il a dû voir mes frissons... J'ai encore été trahi. Quand je rentre dans la chambre, je vois Johan allonger avec Gabriella dans ses bras endormis tous les deux.
Ils sont mignons, ils devaient sans doute m'attendre.
Je me couche dans mon lit et regarde l'heure, il est 4h30, je n'ai pas vu le temps passé, la nuit va être courte.

AngelesseAngie2 merci pour la correction de mes chapitres 💋

Un mystére, un amour.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant