Un mystére, un amour.

Quatrième Chapitre.

«Lorsque tu aimes une personne plus qu'elle ne le mérite, tu te blesses plus que tu ne le mérites»

Il y a des scènes un peu HOT dans ce chapitre.

Comme je l'avais prédis le réveille à 6h30 m'a fait regretter de m'êtres coucher aussi tard, d'un autre côté je suis tellement accro à Loic, je suis au point de me demander si je vais pas finir par faire des rêves de lui. On dirait que je le conner depuis des années, hors c'est seulement le deuxième jour.
Je prend mon téléphone, réflexe du matin en premier je désactive ce fichu réveille, je regarde mes messages, deux messages : un de papa, un de loic. Je commence par lire celui de mon père, c'est vrai qu'avec tout ça j'ai oublier de l'appeler.
Message de mon papa :
- Gabriella, tu m'as pas appeler ni envoyer de message, j'éspere que tout va bien que tu t'es fait de nouveaux amis, j'ai une nouvelle à t'annoncer rapelle moi dès que tu peut, ne t'inquiète pas il y a rien d'urgent. A bientôt Papa ;).
Je lui répond alors :
-Coucou Papa, oui desolé j'ai eu un début d'année mouvementer je me suis fait de nouveaux amis, ils sont super, et j'ai flasher sur quelqu'un mais sa tu devais t'en douter, je t'apelle a midi, de gros bisous je t'aime.
Voilà une bonne chose de faite, en espérant ne pas oublier.
Je regarde en suite le message de Loic :
-Hey ma jolie, tu doit être reveiller vient me voir rapidement je t'attend.
Je souffle, et lui répond :
- Tu attendras un peu, je prend ma douche, et j'arrive.
Il répond trés vite :
- Je te rejoin aux douches, je t'ai dis rapidement pas dans 30 min je vous connais les filles !
Je rigole, pose mon téléphone dans le tiroir, je décide de me lever.
Johan et Gabriella toujours endormis coller l'un à l'autre,ils sont mignon. Sans faire de bruit je prend mes affaires de bain, je suis déjà en serviette c'est beaucoup plus rapide.
J'arrive donc dans les douches, je le vois nul part tempis je rentre dans une cabine, tout d'un coup j'entend un garçon crier mon prénom, je suis sûr que c'est lui, je passe la tête sur le côté et je le vois de dos en caleçon avec ses cheveux en bataille, j'éclate de rire, il se retourne me fusille de ses jolie yeux encore tout endormis, et rentre avec moi dans la douche.
- Ca va ne te gêne pas Loic, tu crois que ma douche c'est porte ouverte ? En plus une ou deux cruches ont dù te voir elles vont aller lançer des rumeurs à la con dans tout le campus.
Il me répond naturellement :
-Et alors.
Je grimace, puis lui tourne le dos pour continuer à me laver.... MAIS JE SUIS TOUTE NUE. Je me retourne je rougi et j'essaie d'attraper ma serviette, trop tard c'est lui qui à était plus rapide, je le regarde ..
Il s'était déshabiller aussi, il est si beau.
- Arrête de me matter.
-Comme si sa te géne, lui dis-je.
-Haha non tu as raison. Sa te dit de finir maintenant se qu'on a commencer ? Je te désire tant Gabriella.
La façon dont il me la dit m'a donner la chair de poule. Il le remarque s'approche de moi, m'attrape par les hanches pour me plaquer contre lui, la sensation de nos deux corps nus sous la douche est parfaite, on s'embrasse quand il me retourne pour me pénetrer en levrette, j'entend mon prénom, quelqu'un m'apelle !
Il souffle au même moment que moi.
Je repasse la tête et je vois Johan et Gabriella, il me remarque au même moment, je vois Johan rougire, Gabriella prend la parole :
- Ah tu es là , desolé mais ton téléphone fait que sonner et quand on est aller dans la chambre de ton mystérieux con, il était pas là non plus, on a trouver sa bisare, on c'est peut-être dit que tu était rester avec.
Je suis gêner j'entend Loic rigoler, je sais pas si c'est pour le surnom que je lui est donner, où le fait que Gabriella raconte ma vie dans les douches COMMUNES, mais je décide volontairement de ne pas le calculer, il me perturbe déjà sans avoir eu besoin de le regarder.
-GABRIELLA ET JOHAN DEHORS, les gens n'ont pas besoin de connaître ma vie, on en reparle tout à l'heure et je suis rentrer dormir dans MA chambre.
Mon téléphone qui fait que sonner, je trouve sa étrange, surtout que j'ai dis à mon père que je l'appelerais à midi.
Je me retourne pour faire face à Loic, il se rapproche de moi, je le repousse avec ma main contre la paroi de la douche je commence par l'embrasser je descend dans son cou je descend encore tout le long de son torse en continuant a faire des bisous jusqu'à son sexe, je prend son sexe en pleine bouche , je fait des vas et vient, je l'entend gémir le moins fort possible pour pas qu'on nous remarques, quand je le regarde sous l'emprise du désir, je craque il est encore plus beau.
-Gabi, je vais jouir enlève toi.
Je me relève continue de le branler, il jouit dans ma main.
Je me rinçe prend ma serviette et sors il n'a pas eu le temps de se remettre à parler que j'était déjà dehors. Je ne sais pas pourquoi j'ai fait ça. J'en avais peut-êtres envie même surment , mais dans les douches communes c'est abuser. Trop tard pour regretter en plus c'était excellent j'étais toute mouiller j'avais envie de le sentir en moi, mais sa seras pour une prochaine fois. Je l'espère.
Je prend mon téléphone 10 appels manquer, d'un numéros que je ne connais pas, je rapelle, à la deuxième sonnerie sa répond je reconnais de suite la voix.
Inconnu:
Allo? Gabriella ?
Moi :
- Oui c'est bien moi, pourquoi tu m'apelles ?
Inconnu:
- Je suis en France, et de ce que j'ai pu savoir tu y est aussi, on peut ce voir ? on a des choses à ce dire.
Moi :
- Alessandro, si tu avais des choses à me dire, tu aurais du me les dires avant que je parte, avant de te taper ta salope, la salope avec laquelle tu t'ai marier !! J'avais dit le dernier mot en criant, les larmes coulaient toute seule.

Alessandro c'était bien le seul garçon que j'ai pu aimer. Tellement aimer, mais lui était déjà en couple depuis des années et il allait surtout ce marier,je n'étais pas au courant, sa faisait maintenant deux ans que j'avais plus de nouvelle de lui.
Alessandro:
- Gabi, on est plus ensemble elle et moi.
Moi:
- Donc tu m'apelles ? Tu crois je suis toujours ta roue de secour !! ALESSANDRO je suis parti d'Espagne, donc fin de l'histoire j'ai une nouvelle vie ici, ne vient pas tout gacher.

Je me retourne je vois Johan, Gabriella et ... LOIC. Ils étaient tout les trois surpris de me voir pleurer, je m'essuie avec la serviette les larmes qui coulaient encore.
Moi:
-Bon écoute, laisse moi tranquille je ne veux pas te voir et j'ai cours , salut.
Je raccroche sans lui laisser le temps d'en dire plus.
Loic part, Johan aussi, je me retrouve avec Gabriella.
Gabriella:
-Ma chérie, tu m'avais pas dit que tu avais était amoureuse, et que tu pouvais pleurer !!!
Moi:
-Aprés tout sa fait seulement 72 heures qu'on ce connait, tu en apprendras d'autres et bien pire que celà, je lui dis ça tout en rigolant.
Elle prend cette remarque trés au sérieux elle par contre. On se prépare je lui parle un peu d'Alessandro sans rentrer dans les détails car oui j'ai un enfant avec lui, mais un enfant que j'ai abandonner à la naissance, oui j'ai 17 ans mais ces des choses que l'on ne controle pas.

On ce promène dans le campus, on devait rejoindre Johan au starbuck. Il était avec Loic qui ne me regardait pas. Je sais pas ce qu'il a ça m'énerve.
Je fait la bise a Johan arriver à Loic il me demande si je peut le suivre, j'accepte. On s'éxcuse au prés de Gabriella et de Johan et on part s'installer, sur l'herbe il faisait super beau aujourd'hui, il était habiller d'un t-shirt bleu avec un jean et des baskets montante blanche, moi j'avais une jupe rouge et un haut noir ainsi que des sandales noir et doré.
Il prend la parole :
- Je te connais depuis pas trés longtemps mais de t'avoir vu pleurer ma rapeller d'où je te connaissais et sa ma fait un choc Gabriella. Ses yeux la souffrance que j'y ai vu, c'est pas quelque chose que je puisse oublier.
Je reste bouche bée, j'essaie de savoir où il a pu me voir pleurer, les seuls fois ou j'ai pleurée en public c'était ...
QUAND J'AI EU MON BEBE. Je blémis.
- Ne me dis pas, que tu étais en Espagne ?
-Si gabi, Si j'étais en stage, j'ai aider le medecin à t'accoucher, j'étais là je t'ai vu hurler , je t'ai vu pleurer je t'ai vu seule, tu était si détruite, j'ai mis deux mois pour te sortir de ma tête tu était devenu mon obssesion, quand j'ai voulu te recontacter tu n'étais plus dans le pays. Je voulais être là pour toi, je voulais partager ta vie, j'ai eu un coup de foudre.
Je murmure, je sais même pas si il m'a entendu mais ce n'est pas important je le dis surtout pour me soulager :
- Tu es devenu mon obsession depuis que nos regard se sont croisé.
Il me fixe ne dit rien, je décide alors de prendre la parole et de lui expliquer ..
- Je suis desolé, je voulais plus en parler, je ne voulais pas que sa ce sache, et j'ai effacer tout mauvais souvenir de ce moment, je me rapelle pas de toi, et...
Je me lève de honte et part en courant me réfugier dans les toilettes.

Merci encore une fois à la fabuleuse AngelesseAngie2 , pour prendre de son temps pour corriger mes chapitres. 💋💋