Soit disant le temps fait passé l'amour, mais le passé laisse toujours une blessure presque cicatrisées que vient blessé le présent...Le passé fait partit du présent !Le lendemain matin, je me réveille tant bien que mal, la première chose que je remarque, c'est que Loïc n'est plus-là. Je ressent de la déception, je me sent bien et plus forte quand je suis près de lui.
Je regarde en direction du lit de ma colocataire, et a ma grande surprise elle dort, pas seule, elle est avec Johan.
La porte s'ouvre, Loïc apparaît, les cheveux en bataille, sa le rend tellement plus sexy, habiller d'un simple t-shirt blanc et d'un jean, quand il me voit entrain de le dévorer du regard il s'approche de moi, m'embrasse, puis s'assoit au bord du lit.
Les sensations de ses lèvres charnues contre les miennes, ma tellement manquer, mais je sort très vite de mes pensées coquine, quand je me rappelle, les horreurs qu'il m'a dit hier devant les toilettes. Et comment il ma laisser.
Loïc a du se rendre compte de mon soudain changement de comportement car il me prend la main, et me demande de sa voix mielleuse :
- va te préparer, habille-toi simplement on va parler dans un endroit bien plus sympathique qu'ici. Il me fait son plus beau sourire.
Je grogne et je me lève direction les douches communes.
Quand je revient il est toujours là, allongée dans mon lit, il parle avec Johan qui venait de se réveiller, mais ne bouge pas pour ne pas déranger princesse Gabi.
Je m'habille d'une simple robe, d'un rose claire et une paire de sandale doré, j'adore le doré on peux dire que c'est ma couleur préféré.
- Bon tout les deux, tourner vous, le temps que je m'habille.
Ils rigolent tout les deux, Johan se tourne délicatement pour ne pas la réveiller, mais Loïc lui me regarde.
Je rougie, ce qui le fait rire encore plus.
- tu arrêtes de te moquer, et tu te retourne immédiatement !!
- Non , je t'ai déjà vu, je t'ai déjà toucher et bien plus encore, alors tu vas pas faire du chichi. Il finit sa phrase accompagner de son large sourire.
Moi je rougie encore plus, il dit ça devant Johan, comme si de rien était, je suis gêné.Mais je relève mes épaules, puis je me tourne et me prépare.
Quand j'ai enfiler ma robe, je le regarde et il prend son air satisfait, il aime gagner, qu'il profite bien, sa ne se passera pas tout le temps comme ça.
- tu as gagnée, savoure bien ta victoire,sa n'arrivera plus aussi souvent. Je finis ma phrase par un petit clin d'œil.
Johan éclate de rire, Loic aussi. Ils réveillent Gabriella, elle râle mais se blottie un peu plus dans les bras de son Johan avant de lui murmurer un bonjour tout mignon, et elle me lance un regard noir au passage.
Elle est grognon le matin, je peut rien dire, car je le suis aussi, mais bon quand-même.
Avec tout ça, j'oublie Alessandro, et tant-mieux. Je consacre mon esprit qu'à Loic, enfin pour la matinée surtout, par la suite on verra, selon ce qu'il va me dire.
On se regarde, je ressent toujours cette forte sensation dans tout mon corps quand nos regard se croisent, on se comprend directement et il se lève, me prend la main puis on salut Johan et Gabi juste avant de partir, Loic précise qu'on sera absent toute la journée.
- restez sage, Loic fait attention à elle, sinon je te casse ta jolie gueule, cria Gabriella au moment de fermer la porte.
Ce qui le fait rire, il ne relève pas, puis on part récupérer sa voiture.
Après une heure de route, dans lequel on a parler de tout et de rien, à peine garée je me précipite dehors, c'est trop beau!
Un parc immense, pas seulement un simple parc, un lac.
Il sourit, surement de me voir dans cet état d'excitation, il doit être content d'avoir bien choisi l'endroit.
J'aime la nature vous avez dû sûrement le remarquer.
En attendant que je finisse de regarder tout les détails autour de moi.
Loic sort de son coffre un jolie panier en osier, et un sac, je décide volontairement de ne pas l'aider.
C'est ma vengeance pour ce matin. On trouve un coin, assez calme, on est seule, tant mieux, je l'aide à installer une nappe et décide d'aller me baigner, en sous-vêtement, j'ai pas pris de maillot. Quand Loic me voit enlever ma robe, il rougit, c'est la première fois que je le voix rougir.
Je lui fait de l'effet et ça me plait.
- tu vas pas aller te baigner ? Me demande-t-il.
-Bah, bien-sûr que si, pourquoi ?
- Il fait pas super chaud, puis tu es en sous-vêtements.
- Et alors, allez vient avec moi. Tu me réchauffera, je lui fait mon plus beau sourire.
Sur ceux, je me retourne et plonge dans l'eau, bon je dois avouer qu'elle est assez fraîche, mais ce n'est pas désagréable.
A ma grande surprise, Loic me rejoint, on s'amuse, on se taquine, on s'embrasse. Tout est parfait, c'est un délicieux moment, mais ni lui ni moi avons oubliées, qu'il faut avoir une discution, pour pouvoir en profiter pleinement. Je sort et il me suit, on s'assoit sur la jolie nappe qu'il avait installer un peu plus tôt, je pique au passage un raisin qu'il avait sortit du panier, je meurt de faim. Il a penser à tout je trouve sa tellement adorable.
Un frisson me parcourt, j'ai un peu froid, maintenant que je suis sortit de l'eau.
Il le remarque, me sourit, je me lasse pas de son magnifique sourire, je craque toujours à chaque fois. Il se retourne et récupère son t-shirt dans le sac, il me le tend.
- Je t'avais dit qu'elle était froide, tient prend-le.
Je lui arrache presque tellement j'ai froid, je le remercie d'un sourire timide. Il reprend la parole:
- Je suis désolé de tout ce que j'ai pu te dire hier soir, Gabriella. Je m'en veux tellement de t'avoir fait du mal, à mon tour aussi. Je ne pensais rien de tout ce que j'ai pu te dire, j'étais juste très en colère de te voir avec lui, alors que je t'ai vu détruite, alors que tu as du faire des choix difficiles, et toute seule. Je suis amoureux de toi, quand je t'ai revu dans la fac, j'ai été surpris. Au début je croyais que c'était juste une personne qui te ressemblais énormément, car oui après ces deux années, ton visage est rester graver en moi, c'est comme si j'étais tatouer. Et à l'instant où nos regard se sont croisé j'ai su que c'étais toi. J'ai d'abord était désorienter, j'ai perdu tout mes moyens ce qui n'arrive jamais normalement. Et cette semaine loin de toi, ma fait ressentir le même abandon qu'il y a deux ans. C'est fou d'aimer une personne, sans vraiment la connaître, mais je t'assure que je pourrais donner ma vie pour la tienne.
Après son long discourt, il baisse les yeux. Je suis surprise et sans- voix, comment lui en vouloir quand une personne et si attacher à vous ?
Et que par dessus tout, vous l'êtes aussi.
- Loic qui était cette femme avec toi ? Je peut paraître idiote, de demander ça , alors qu'il m'a ouvert son cœur, et que j'ai plein de question à lui poser, mais je suis jalouse, alors j'ai besoin de savoir.
Il contracte sa mâchoire, et prend un certain temps avant de répondre.
Sa réaction me fait peur. Et l'attente et horrible j'ai envie de lui crier dessus, de lui dire de bouger son cul a craché le morceau, mais je reste poli et surtout je laisse aucun son sortir de ma bouche.
- C'est.. Ma mère, elle est revenu hier, j'étais déjà stressé. Je me suis éloignée le plus possible du campus, pour justement ne croiser personne. Puis je tombe sur toi, toi et ce type. Et mes nerfs ont exploser, la seconde qui a suivi. Je ne m'entend pas avec ma mère, elle voulait me parler et comme on dit les liens du sang ...
Je lui laisse pas le temps de finir sa phrase, je me jette sur lui pour l'embrasser, on tombe en arrière je me retrouve sur lui. Au début surpris il osait pas, puis en voyant que j'insistais il a presser mes hanches contre les siennes, et a répondu à mon baiser, un baiser intense. Je sent son érection apparaître.
Cette fois-ci c'était meilleure, que la dernière fois, je sais pas si c'est les révélations qui ont aider, mais sa reste fabuleux.
On décide de renter, on a pas vu l'heure passer il était déjà 18heure, sur la route du retour il s'arrête au macdo.
- Tu as lu dans mes pensées ? J'avais trop faim, tu m'as fait perdre beaucoup trop de calorie, je sourie en lui disant cela.
Il rigole et m'embrasse, mieux comme réponse on peux pas faire.
Quand on arrive au campus il est déjà 21heures.
- Tu veux dormir dans ma chambre ? Me propose Loic.
- Oui je veux bien, je passe juste récupère mes affaires de toilette dans ma chambre.
Il m'accompagne pas, quand j'entre dans la chambre sans toque, je regrette immédiatement. Johan et Gabriella en pleine partie de jambe en l'air.
- Oups Oups désoler. Je regarde pas, je dit ça en rigolant.
J'entends ma cochonne de colocataire grogner, sa me fait éclater de rire encore plus, j'imagine Johan tout rouge de honte. Je rigole toute seule dans le couloir, apparement on est pas les seules Loic et moi a avoir une libido élevé aujourd'hui.
Je me dépêche d'aller dans la chambre de Loic. Tout en rigolant, met plus discrètement, quand j'entre dans la chambre, je vois Loic allonger accompagner d'une jolie fille. Une fille que j'avais souvent croisée, elle me regarder toujours de travers, je ne sais pas pourquoi, mais je pense comprendre pourquoi maintenant, je rigole plus, en la voyant entrain de caresser le bras de Loic.
Je me retourne trop brusquement je me cogne à la porte, Loic me remarque mais ne dit rien et me laisse partir. Le seul endroit où je peut me réfugier sa reste la salle des douches communes. La au moins je dérangerais personne.
Ce qui m'étonne c'est qu'il ne m'a pas suivi, c'est pas son genre. Puis surtout après l'après-midi qu'on vient de passer, comment peut-il rester avec cette fille, sans même me calculer. Je ne comprends pas. Et si c'était une ruse pour encore une fois tirée son coup ? Je suis dans l'incompréhension totale. Quand j'entends soudain des pas, je me cache dans une cabine de douche, une voix masculine m'appelle, je ne reconnaît pas la voix, c'est pas celle d'Alessandro ni de Loic.- Gabriella, je sais que tu es là.
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Un mystére, un amour.
RomanceJe suis Gabriella, j’ai bientôt 18 ans et je suis nouvelle dans une grande Fac à Paris. Ma vie se résume a de perpétuel changement de Pays et de ville, changement donc d’environnement, de lycée, de vie en général.. Vous vous en doutez surement. Mais...