Cinquieme chapitre.

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Être forte ne veux pas signifier "ne jamais pleurer" mais veux plutôt dire: se relever après être bousculer.

Les jours sont passé. J'ai décider de ne plus voir Loic, j'avais trop honte, mais apparement sa ne lui dérange pas étant donner que je n'ai toujours pas eu de nouvelle au bout d'une semaine. Le campus était assez grand c'était facile de l'éviter, même si on était liée j'avais pas besoin de lui. Alessandro lui n'a pas arrêter de m'appeller .. D'ailleurs j'ai accepter de le voir ce soir, pour un dîner il veux me parler. J'ai accepter seulement, Pour mettre un point finale à cette histoire, ce qui d'un côté va être compliquer car il s'installe à Paris, je n'apprécie pas cette idée, et je me demande ce que Alessandro a derrière la tête, je profiterais du dîner pour savoir. Du côté de Gabriella et Johan, ils sont de plus en plus proche. Gabriella m'a avouer apres une heure de torture que je lui est infliger, qu'elle était folle de lui. La semaine prochaine on a pas de cours programmé, alors Johan nous a proposer de louer une maison de rêve dans le sud, j'ai hâte de m'éloigner d'Alessandro et surtout de Loic.
Mais tout de même, je dois avouer que Loic me manque terriblement. Sa me fait vraiment peur que je me sois attacher à lui, en si peu de temps. Quant à la nouvelle que mon pere devait m'annoncer, c'était juste son futur mariage de lui et sa conquête du moment une russe. Sa m'étonne pas de lui une de plus ou de moins sa ne change rien à sa longue liste, toute les années il se marie avec une femme différente d'un autre pays,je dois passer manger un soir "chez eux " . Quel envie.
Quand je relève la tête je sort rapidement de mes pensée, quand j'aperçois Loic adosser contre un arbre. Nos regards se croisent, on baisse rapidement les yeux tout les deux. Je reprend mes affaires que j'avais étaler sur l'herbe, sans lever la tête par peur de recroiser son regard. Puis je m'échappe presque en courant, je suis pathétique.
J'ai fuis. Comme je fait toujours.
Je rentre dans ma chambre, Gabi n'est pas-là, sa m'arrange a chaque fois elle me pose une tonne de question, des questions dont j'ai aucune envie de répondre, jusqu'au moment où elle me torture pour me faire parler, et elle a les réponses voulu, elle est très maligne.
Je m'allonge dans mon lit, je suis épuiser, je dors plus beaucoup depuis que Alessandro est dans les parages, et le fait que Loic me manque, me perturbe aussi, j'aimerais tellement être dans ses bras. Je décide de faire une sieste,pour être en forme pour le fameux dîné de ce soir.
Je me réveille à 17 heures, il me reste deux heures pour me préparer, je commence déjà à stresser je prend alors un bain bien chaud. Je m'habille je met une simple robe clair, avec une paire de talon compensée pas très hautes, et je me raidis les cheveux, pour le maquillage c'est très discret, je n'ai pas envie qu'il pense que je me suis préparée pendant des heures juste pour lui. Sa a était rapide j'ai même pas mis une heure pour me préparer, du coup j'attend assise au bord de mon lit, les yeux rivés sur l'horloge.
19heures. Sa toc. Je me lève et me déplace en direction de la porte. Je souffle un bon coup puis ouvre.
Le voilà devant moi, toujours aussi beau, toujours aussi classe, un homme un vrai homme, ce qui m'a toujours plus chez lui, je remarque aussi son sourire son faux sourire. Sa commence déjà à m'énerver. Je me force a lui rendre son faux sourire et je lui dit :
- tu te doutes sûrement, que je ne te ferait pas rentrée. Alors où allons-nous manger ?
Lui:
- un restaurant en face de la Tour Eiffel.
Il ne fait aucune remarque sur le fait que je ne veux pas qu'il rentre dans la chambre. Je relève pas non plus.
Lui:
- vient, on va être en retard.
Il se retourne et commence à partir, je crois que c'est bonne manière il les as oublier dans le placard. Je ferme la chambre et le rejoint a mon rythme, ce qui le fait souffler, et moi sa me fait rigoler, intérieurement bien-sûr. Le trajet se passe dans le calme, personne ne parle, et j'ai un peu de mal à supporter qu'il soit tout proche de moi, mais je fait un effort et je regarde tout le long à travers la vitre. J'aime Paris, je me sent bien, libre et c'est si grand, je n'ai pas encore eu le temps de visiter.
Lui:
- tu es si silencieuse.
- tu crois quand même pas, que je suis là par plaisir ? Que je vais te parler comme si de rien n'étais ? Je lui répond d'un ton sec.
J'espère qu'il a bien compris.
Il grimace, il s'apprêtait à dire quelque chose, mais il referme ses lèvres. De toute façon on est arrivée.
Le restaurant est magnifique, tout est classe, il m'a toujours emmener dans des endroits chic, on nous installe à notre table, en regardant les personnes autour de moi, mes yeux se fixe sur une silhouette que je connais, je ne vois pas son visage, c'est un homme. Alessandro suit mon regard du sien et me demande:
- tu connais cette personne ? En relevant son sourcil. Il le fait toujours quand il est pas sûr de vouloir connaître la réponse.
Moi:
- non et même si je le connaissais, sa ne te regarde plus.
- Gabriella, faut que tu m'écoutes, je sais que je n'ai pas était franc, mais je pouvais pas faire autrement, je le regrette je regrette de t'avoir perdu.
Je le coupe et je me fait couper par une serveuse, il commande pour nous deux un plat, je l'ai pas écouter j'étais dans mes pensée entrain de préparer ma réponse. Dès que la serveuse, est assez loin je prend la parole:
- tu le regrettes maintenant ? Maintenant que tu es séparée d'elle ?
Lui :
- Gabi, laisse moi finir..
Je le recoupe.
- non je te laisse pas finir. Je veux plus rien entendre à ce sujet là, c'est notre passer maintenant. J'ai lever un peu la voix sans le vouloir.
La silhouette ce retourne quand je le regarde, je suis choquer. Non non non c'est pas possible. Loic est la en compagnie d'une jolie femme brune très élégante. Quand il me voit ces yeux s'écarquillent.
Je me lève brusquement m'excuse a Alessandro et me précipite vers les toilettes, quand j'étais presque arriver Loic me plaque contre le mur.
Loic :
- c'est lui ? Lui qui t'a abandonner avec ton enfant ? Lui qui t'a laisser souffrir sans jamais te soutenir ? Lui qui t'a détruite ? Et tu es là, toute bien préparer, pour dîner avec lui? Alors que moi tu m'as éviter, tu me parles plus alors que je veux que ton bonheur. Je t'ai jamais oublier pendant des années, tu es vraiment qu'une conne, j'espère qu'il te fera du mal, tu as l'air d'aimer ça.
Apres tout ces mots blessant, il se retourne et part en direction de la salle. Je sent mes jambes me lâcher, je pleure, je suis dans un état lamentable. Il me reproche de ne pas lui avoir parler, mais pourquoi lui n'est-il pas venu vers moi ? Il a pas le droit de me reprocher tout ce que je fait, il sait rien et me juge.
Alessandro arrive, quand il me repère en pleure, contre le mur il court vers moi, et se met à mon niveau.
- j'ai jamais aimer te voir pleurée.
Je lui hurle dessus :
- tout est ta faute !!!!! Pourquoi es-tu revenu ?
Lui:
- je t'attend dans la voiture quand tu es prêtes. Rejoint moi et je t'expliquerais tout. Tout est réglée tu as juste a me rejoindre. Prend ton temps.
Je me contente de hocher la tête.
Il part, je me lève tant bien que mal pour aller dans les toilettes m'arranger un peu, j'ai les yeux injecter de sang, tout gonfler. Je ressemble a rien. Mais ces de loin un soucis majeur. En retournant dans la salle pour sortir du restaurant, je revois Loic, il me regarde je lui lance un regard noir, tout en ravalant mon sanglot. Il sourit et rigole avec sa nouvelle conquête, sa me met hors de moi. J'ai était naïve. Il voulait juste me prendre et il a réussit maintenant je suis plus très importante pour lui, il passe a autre chose.
Je rejoin Alessandro, il était sur son téléphone entrain de jouer. Il le range et me prend la main, je n'ai pas la force de la retirer.
Lui :
- j'ai voulu retrouver notre enfant.
La je vois noir. Je lui hurle dessus le plus fort que je puisse faire :
- NOTRE ENFANT ? J'ai bien entendu ? Mais tu te fou de ma gueule? Je rigole nerveusement, et dit moi où tu était quand j'accoucher ? Tu était entrain de t'envoyer en l'air avec ta FEMME. Et quand j'ai du me séparer de ma propose chaire ? Où tu était ? Toujours pas là. Et tu revient maintenant avec comme ambition de retrouver cet enfant ? Mais tu te rend compte de se que tu veux faire ? A MON ENFANT. Il est heureux dans sa famille, tu as aucun droit pour le récupérer, tu ne seras jamais un bon père. Sur ces derniers mot je me précipite hors de la voiture, en sortant je percute un homme, je relève la tête essuie les larmes qui coulait..
J'ai foncer contre Loic , il m'aide a me relever, et regarde par la vitre avec un regard plein de haine Alessandro. Je suis blottie dans les bras de Loic, quand soudain Alessandro me dit:
- je retrouverais notre enfant, avec ou sans toi salope!
Les larmes reprennent, je sent les bras de Loic me lâcher, Il se précipite sur la voiture, je le rattrape et le supplie de laisser tomber, il m'écoute à contre cœur.
On rentre au campus, je me trouve dans la chambre de Loic, dans ses bras allonger dans son lit, je lui en veux encore de tout ce qu'il m'a dit, mais ni lui ni moi décide de parler.
Moi:
- je vais rentrer il se fait tard.
- je te raccompagne, me dit-il.
Arriver devant ma chambre, il dépose un bisous sur mon front et me sert contre lui.
Loic :
- demain faudra qu'on parle, si tu te sent mieux.
Moi:
Oui. Si Gabi n'est pas la, tu restes dormir ?
Il sourit et me fait un bisous au coin des lèvres je prend sa pour un oui. J'ouvre la porte et je vois une photo sur le sol, je la prend.
Mon souffle ce coupe, c'est moi entrain d'accoucher, Loic est la près de moi, il me tient la main, je tourne la photo et je reconnais l'écriture d'alessandro.
# j'ai toujours était là, et je le retrouverais. A #
Loic me couche il reste avec moi, vu que Gabi n'est pas là heureusement, je finis par m'endormir dans ses bras tout mouiller par mes larmes.

Un mystére, un amour.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant