Prologue-Au delà de minuit ✔️

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Je me rappelle de cette journée comme si c'était hier. C'était une journée de forte chaleur et avec mes camarades nous étions heureux d'avoir fini le lycée. Nous sortions donc du lycée avec le sourire au lèvre et un poids en moins sur nos épaules.

Un nouveau monde s'offre à nous. Nous avons tous un avenir, différent certes, mais nous finirons tous quelque part, heureux et comblés.

- Vous faites quoi ce soir? m'avait demandé Astrid, ma meilleure amie, me sortant de mes pensées.

Je me tournais vers elle avec un sourire radieux collé sur le visage.

- On devrait fêter la fin du lycée ! avais-je proposé.

- Excellente idée! s'était-elle exclamée. On devrait sortir en soirée avec tout le monde.

- Je suis pour. lui avais-je confirmé. Tu peux t'en occuper ? Je dois rentrer chez moi.

- Bien-sûr, on viendra te chercher vers vingt et une heures alors soit prête! Aucun retard ne sera toléré une jeune fille!

Tout en rigolant face à son aire stricte j'avais hoché la tête et j'étais partie chez moi.

Je me rappelle être entré chez moi et avoir constaté que personne n'était à la maison, comme très souvent d'ailleurs. J'avais donc soupiré et j'étais partie dans ma chambre.

J'avais ensuite commencé à me préparer mais j'avais cette sensation étrange, comme si on m'observais. J'avais beau regarder autour de moi, j'arrivais toujours à la même conclusion: j'étais seule chez moi.

J'étais donc reparti dans ma préparation pour la fête et quand on avait sonné à ma porte.

Je m'étais observée une dernière fois dans le miroir de la salle de bain avant qu'un second coup retentit dans ma maison.

J'avais mis une chose simple, un haut avec des manches courtes et un short. Je ne voulais pas attirer l'attention, je préférais les choses plutôt simples.

Je me rappelle qu'un troisième coup retentit ce qui m'avait fait soupirer. Mais nous sommes ensuite partis en direction de ma soirée.

En y arrivant j'avais remarqué que Astrid n'avait pas fait semblant. Elle avait invité tout le lycée, ce qui ne me choquait pas réellement.

Astrid et moi avons toujours eu des personnalités bien distinctes et différentes. Mais ce sont justement nos différences qui nous ont rapprochés.

- Allez, allons nous amuser! avait t-elle déclaré avec enthousiasme, ce qui m'avait décroché un sourire.

Nous avons donc fait la fête pendant assez longtemps. Mais voyant qu'une heure du matin était passée j'avais décidé de rentrer.

Quand j'avais quitté la soirée, la fête battait encore son plein. Nombreuse personnes s'amusaient encore, profitant d'un renouveau.

C'est vrai après tout la fin du lycée c'est quelque chose. Nous entrons dans un nouvel air. Nous empruntons chacun différentes voix. Certains entrent dans la vie du travail mais d'autres poursuivent leur étude. En ce qui me concerne, je vais poursuivre mes études afin de pouvoir devenir avocat. Je souhaite entrer dans l'université Paris-Panthéon-Assas, c'est une des plus réputées.

Enfin pour revenir à cette soirée, je me souviens de cette impression étrange. Je sentais comme un poids sur mes épaules, comme une chose qui m'observais dans l'obscurité.

La chaleur étouffante de la journée avait cédé sa place à un temps glacial qui était assez surprenant. Les rues étaient sombres et désertes mais cette impression ne me quittait pas.

Je me rappelle m'être retourné à chaque bruit et à chaque frôlement qui me faisait à chaque fois frissonner d'anxiété.

Je me rappelle avoir serré mon téléphone afin de me rassurer, me disant qu'en qu'à de soucis je pourrai sans doute appeler quelqu'un.
Mes yeux regardaient partout et mon instinct de survie se préparait à s'enclencher. Comme si mon corps avait compris une chose que mon cerveau n'avait pas encore vu et compris.

Mais tout d'un coup je me rappelle avoir entendu un cri strident retentir de la ruelle à ma droite. Je m'étais retourné et avait vu avec horreur des traces de sang au sol. J'avais pris mon téléphone et avait commencé à composer le numéro de mon père qui se trouve être un agent de police renommé.

Tout en composant le numéro j'observais droit devant moi mais l'obscurité ne me permettait que de voir des yeux rouge sang.

Mais quand mon père avait enfin décroché son téléphone, la créature s'était postée devant moi à une vitesse hallucinante. Il m'avait ensuite pris mon téléphone avec une force stupéfiante. Il l'avait balancé par terre, le cassant en mille morceaux. Je me souviens aussi qu'il m'ait fait un signe de me taire et je ne sais pas pourquoi mais c'est ce que j'avais fait.

Mon regard était comme bloqué sur l'homme devant moi. Il était beaucoup plus grand que moi en taille et son air froid m'avait terrifié. Ses cheveux étaient d'un noir profond et ses yeux imbibé de sang. Des veines ressortaient également sous ses yeux et tout d'un coup des sortent de canine pointues et terrifiantes c'était planté dans mon cou.

Je me rappelle avoir voulu crier et voulu m'enfuir mais mon cerveau et mon corps ne répondait pas. J'étais à sa merci et je ne pouvais rien y faire. J'étais terrifié et apeuré. Je sanglotais silencieusement jusqu'au moment où il m'avait enfin lâché. J'étais tombé au sol dans un fracas alors que l'homme mystérieux s'était volatilisé plus rapidement que lorsque la foudre s'abat sur la Terre.

Je me suis retrouvée seule dans cette obscurité et cette froideur. J'avais par la suite peiné à me relever. Le sang coulait le long de mon pauvre cou meurtri. Je me sentais étourdi et perdu. Je ne comprenais pas ce qu'il c'était passé.

J'avais par la suite décidé de rentrer chez moi et en ouvrant ma porte mes parents m'avaient sauté dessus. Ils avaient eu peur suite à mon appel. J'étais faible et je voyais floue. Mes parents ne semblaient pas avoir remarqué le sang abondant qui venait de mon cou.

Avec difficulté, j'avais raconté à mes parents les événements étranges et terrifiants de cette soirée. Mais au lieu de me soutenir et de me réconforté, mes parents m'avait traité de folle. Ils disaient que j'avais surement eu une hallucination, alors que je sais que c'était réel.

N'ayant plus la force, j'étais parti me coucher dans ma chambre, sans prendre la peine de me changer. J'avais mal partout mais étrangement mon cou ne me lançait plus. Mais quelle fut ma surprise quand j'ouvris les yeux pour découvrir une autre chambre.

Je me rappelle avoir été affolée, je ne comprenais pas jusqu'à qu'une infirmière soit rentrée avec un plateau repas dans ce qui me paraissait entre la chambre.

- Où suis-je? avais-je demandé. Qu'est-ce qui s'est passé?

Mon cerveau me faisait mal, tant j'avais de questions. Il bouillait, à m'en brûlé la tête.

- Vous êtes à l'hôpital de psychiatrie Sainte Étienne, mademoiselle Ella. m'avait-elle répondu comme si c'était tout à fait normal. Vos parents vous ont amené, ils sont très inquiets pour votre santé mentale.

Je me rappelle m'être sentis trahis et mal. Ma poitrine me faisait mal, comment mes parents pouvaient-ils me faire ça? Je ne comprenais pas..et je ne comprends toujours rien aujourd'hui.

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Salut, comment allez vous?👋

Bienvenue dans l'univers de "La sorcière violette"! 🌟

J'espère que ce prologue vous a plus et intrigué.✨

Cette histoire est la première que j'écris vraiment, parce que d'habitude j'écris des fanfictions donc j'espère qu'elle vous vous plaîre.😊

N'hésitez pas à laisser un commentaire pour me donner votre avis ou des conseils ou n'importe quoi d'autre.🙃

Merci d'avoir lu ce premier chapitre et à très bientôt ! 🌠

PS: désolée pour les fautes d'orthographe, ce n'est pas mon fort😅 et je poste un chapitre chaque Mercredi.☺️

-Histoirefanfiction 🫶

La Sorcière Violette Où les histoires vivent. Découvrez maintenant