2.Une âme sauvée.

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Ooh, he'll never be like you
I'm only human, can't you see?
I made, I made a mistake
Please just look me in my face
Tell me everything's okay
'Cause I got it
Ooh, he'll never be like you

 FLUME Never be like you

                                                                                                                                   Reine

La peinture qui est dans mes cheveux ne veux pas partir, même après plusieurs douche. C'était de la Glycéro, bien sur la plus dur à faire partir.

L'eau chaude coule toujours sur ma peau rougie par la chaleur.

Comment puis-je me débarrasser de ces saletés ?

Cette fois je ne parle plus de la peinture mais bel et bien de mon corps tacheté de pourriture.

Le soleil ce leva sur un nouveau jours, je suis ce nuage qui empêche a nos corps de ce réchauffer pourtant sans lui tout le monde aurai chaud. Je gâche le petit moment de bonheur qui pourrai raviver votre cœur.

Ma mère toque a ma porte avec conviction, malheureusement pour elle c'est le mauvais jours. Vive mon trouble.

-Salut ma princesse, comment tu vas aujourd'hui ?

- Ce n'est qu'aujourd'hui que tu te soucis de moi ? Criai-je agressive. Je me hais d'être autant méchante elle est si attentionné. Elle m'accepte elle au moins...

-Tu n'as pas être agressive, tu c'est je ne veux que ton bien. Tu es et tu resteras toujours ma fille. Je t'accepte comme tu es. Même si c'est très dur pour moi de te comprendre. Ton agressivité constante me fait mal, terriblement mal.

-Dégage, je m'en fous de ce que tu ressens. Sors de ma chambre.

-Je t'aime.

Elle sort de ma chambre, une larme a dévalé sa joue rosé par le maquillage. Voila pourquoi personne ne devrai m'aimer. M'aimer ce serai comme se suicider.

Je suis voué à l'échec, la déchéance et le dégout.

Je sors de chez moi sans grande conviction. J'arpente les rues la tête baissé, mon casque et ma capuche sur la tête.

Je rentre dans ma salle de maths en retard, fonce directement tout droit au fond. A coté de Zéphyr, celui qui m'a lancé la peinture. Je m'assois sur mon cahier et écrit. J'adore les maths. La seule moyenne à peu près correcte que j'ai.

Pour mon plus grand bonheur, il me copie pendant tout le cours comme si c'était normal. Je le hais, il me hait. Remarque c'est parfais pour lui, pour sa vie.

Ma mère me revient en tête comme quoi l'eau d'une larme peu éteindre la flamme d'un cœur. Pourtant je pensais que le mien était éteint depuis longtemps, je m'étais trompé. Cette larme m'as brisé. Brisé comme un verre cassé.

Je suis déjà morte.

Les cours pris fin, je sors du lycée avec une très infime envie de rentrer chez. Comme la plus pars du temps je me ballade pendant des heures sans but. Durant cette ballade j'ai essentiellement enroulé le cordon de mon sac a dos, maintenant il a pris la forme et ne se déroule presque plus.

FOUTU TROUBLE

FOUTU TROUBLE

FOUTU TROUBLE

 Mes lèvres sont complètement bousillé, elle n'ont plus de peau, je suis en contact même avec la chair de ma bouche. Ça fait horriblement mal mais c'est agréable.

Hidden hopeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant