𝓟𝓵𝓾𝓼 𝓺𝓾𝓮 5 𝓳𝓸𝓾𝓻𝓼... [Max&Sidjil]

chapitre 11 (Tw -> choses pas très coolos)

Pdv sidjil

Toujours en train de pleurer comme un faible, (nda : non sidjil, les garçons qui pleure ne sont pas faibles, au contraire) dans les bras de mon ami, Lucas me réconfortait comme il pouvait.

Lucas : mais Djilsi, pourquoi tu pleure ? Tu l'aimes pas Maxime si ?
Djilsi : mais Lucas frère... Je viens de perdre mon meilleur ami. Mon frère, ma moitié en quelques sortes. Donc si je l'aime...
Lucas : ouais mais pas en amour genre ?

Si vieux con

Djisli : J-je sais pas à vrai dire... Je... Ce pari a eu pour donde me faire bien réfléchir, et... Je crois que je commence a développé des sentiments pour Maxime. J-je crois que le l'aimes. Je l'apprécie vraiment beaucoup Lucas et... A force de réfléchir a comment j'allais l'embrasser, j'ai fini par me dire à quel point il est incroyable et tellement important pour moi... Les photos qu'il m'a envoyé, quand on s'est embrassé, ces petits moments dans l'appart où il venait se coller a moi sans raison... mec... Je crois que j'ai kiffé en faite... Et... Bordel il est tellement beau quand il se réveille le matin !

Lucas eclata de rire, bientôt suivi par les miens. Cette petite vanne a la fin de mon discours émotif es plutôt bien passé.

Lucas: c'est bien mec. Maintenant court vole ! Va lui dire tout ce que t vient de me dire !
Djilsi : euh MDR toi. Il a envie de me tuer la, donc non. T'es totalement crazy toi.

Il esquissa un léger sourire, avant de me laisser partir.

Je retourna a mon appartement.
Fait chier putain d'merde...

Ellipse de deux semaines.

Voilà maintenant deux semaines que Maxime ne me parle plus.
Il ne répond pas a mes messages, mes appels et refuse systématiquement chaque invitation qu'on lui fait si je suis présent. Certains l'on même invité sans moi et il a refusé.
Beaucoup disent qu'il n'est vraiment pas dans son assiette.
Mais moi non plus.

Deux semaines que je suis enfermé dans ma maison.
Et comment dire que ce n'était pas les deux semaines les plus passionnante de ma vie.

Je les ais passée à regarder Netflix absolument 24h sur 24h.
Hormis ça, je prenais des douches extrêmement longues, bousillant toute ma facture d'eau.
Je ne mangeais plus énormément comme avant.
Les seuls repas que je prenais étaient pour survivre.
Je ne ressentais plus aucun plaisir a manger.

Je m'étais un peu amaigri.

Mais j'avais aussi une autre activité, que je m'apprêtais a aller exécuter.

Je pris ma voiture et commenca a rouler plutôt doucement au début, car il y avait du verglas. (OULALALA attention djilsi va faire un accident alors les pompiers vont arriver et il sera plonger en coma, du coup maxime va venir le voir touuuut les jours pendant 4 ans, en s'excusant pour lui avoir fait la gueule. Au final maxime va sortir avec Lucas mais il viendra quand même voir djilsi en cachette. Et quand djilsi se réveillera, maxime va l'embrasser et il vont bais- faire des petits bisous dans l'hôpital, et djilsi va être en fauteuil roulant mais Maxime va tout faire pour l'aider. FIN ! c'est une blague evidemment)

Une fois garer, je me dirigea vers mon nouveau lieu préféré : la salle de sport.

La dedans, je me tuais au sport des heures et des heures tout les jours.

Du coup malgré le fait que je ne mangeais plus énormément, je gardais un corps relativement musclé, donc je ne faisait pas malade. C'est pour ça que les gens ne le remarquent pas forcément.

18h30

Je sortit de la salle de sport, après avoir pris une douche là bas. J étais assez bien habillé.
Je portait un jean bleu avec un tee-shirt noir et un bob noir.
Un veste en jean blanc dans ma main.

Je sortis pour allez a ma voiture.

Lorsque je le vis.

Je le vis lui.
Je ne vit QUE lui.

Au millieu du parking qui se désemplissait a vu d'œil, il se tenait la.

La gorge serrée, des sanglots commençait a secouer mon corps.
Les larmes aux yeux, je ne fis pas un pas.
Lui aussi resta a sa place, a environ une bonne centaine de mètres de moi.

Djilsi : Ma-maxime ?

Je m'approcha.
Un pas.
Deux pas.

Je n'étais plus qu'à une trentaine de mètres.

Je m'apprcha jusqu'à ce que seulement cinq mètres nous séparent.

Djilsi : Maxime... Repetais-je.
Maxime : Sidjil... J-je...
Djilsi : merde Maxime je suis tellement désolé ! J'ai pas envie de te perdre putain de merde tu comptes tellement a les yeux je déteste te voir mal ça me rends malade tu peux pas savoir...

Je n'eut pas le temps définir ma phrase qu'il me prit dans ses bras.

Maxime : Je sais Sid... Moi non plus je ne veux pas te perdre. Ces deux semaines furent une torture pour moi. Mais je suis venu pour toi... Sidjil... Je te connais par coeur. On est pas meilleur pote pour rien... Tu ne vas pas bien... Tu a vraiment maigri... J-je... Tu as beau faire du sport... T'es muscles restent... Mais moi je l'ai vu. Je t'ai assez observé pour m'en rendre compte tout de suite... Merde tu le fais mal au cœur...

J'étais si heureux...

Djilsi : max... Je m'en fou. On s'en fou de moi. Pendant ces deux semaines j'ai réalisée que tu étais là personne qui comptait le plus a les yeux... Te voir malheureux m'a fa-
Maxime : SID ! Arrêté de te préoccuper tout le temps de moi ou... Des autres ! Occupe toi un peu de toi ! Tu es tout le temps là pour tout le monde, mais aujourd'hui, c'est moi qui est la pour toi ok ? Alors tu vas le prendre cette foutue bagnole et tu vas prendre la direction de chez moi. Tu viens dormir a la maison.

On grimpa en voiture mais je ne puis m'empêcher de dire :

Sidjil : Maxime je suis désolé. Désolé de t'avoir embrasser ce soir là. Désolé de t'avoir fait penser que je m'en foutait de toi. Désolé d'avoir accepté ce foutu pari de merde.
Maxime : c'est bon Sid! Je suis pas rancunier. C'est oublié ok ? Maintenant on va passer une incroyable soirée entre pote en oubliant tout ce qu'il s'est passé ok ? Comme avant...

Je rigola a sa demande.

Djilsi : comme avant donc... Comme ça aussi ?

Je déposa sur sa cuisse la main qui ne tenait pas le volant.

Il le regarda en souriant légèrement.

Maxime : Comme ça aussi...

Je conduisit jusqu'a chez lui. A force, je connaissais la route par coeur. Ce qui facilitait grandement les choses.

Pour embêter mon ami a côté de moi, je regarda sa cuisse une demi seconde avant de reprendre la route du regard, et glissa ma main légèrement plus haut.
Il ne parut pas le remarquer puisqu'il semblait plonger dans une grande réflexion avec soi même, regardant par la fenêtre , le regard vide.

Je remonta la main encore plus haut, atteignant presque son entrejambe, le frôlant du pouce.

Maxime se retourna a la vitesse de l'éclair.

Maxime : wesh gros !

Il rigola, alors que je remontait ma main beaucoup plus haut et beaucoup plus rapidement.

Il eclata de rire et pris ma main pour la redescendre a une position plus convenable et plus normal pour des potes.

Sans pour autant l'enlever, et en posant en plus sa fine main sur la mienne.

Une chaleur immense se dispersa partout dans mon corps, et une nuée de papillons dans mon ventre.

A suivre...