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CHAPITRE DIX-HUIT

CHAPITRE DIX-HUIT

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TU TE RÉVEILLES d'une sieste, tes yeux s'écarquillent alors que tu te retrouves face à une poitrine. Ensuite, ta mémoire t'est revenue.

'Ah, c'est vrai, j'ai couché avec lui avant de m'endormir.'

Tu jettes un coup d'œil derrière toi alors que son bras s'enroule solidement autour de ta taille.

Après un moment de contemplation silencieuse, tu as décidé qu'il était temps de le réveiller et tu lui as pincé la joue.

« Lève-toi. » tu as dit, sans utiliser exactement le ton le plus doux.

« Tu ne peux pas me réveiller plus gentiment ?! » protesta-t-il, son bras encore légèrement à l'étroit à cause de la façon dont il avait dormi.

« Pourquoi t'es encore là ? Je pensais que t'étais occupé. » tu as demandé en haussant un sourcil.

« T'essaies déjà de me mettre dehors ? Je suis libre jusqu'au soir. » répondit Gojo avec désinvolture, ébouriffant ses cheveux et laissant échapper un bâillement endormi alors que tu enfilais ton t-shirt.




« T'es l'héritier d'une entreprise de construction, n'est-ce pas ? » tu as soudainement demandé, brisant le silence.

« Hm ? Ouais. »

« Alors pourquoi t'es un voyou ? » tu as demandé, sincèrement curieuse.

« Ce 'voyou' est un peu offensé, là. » l'expression de Gojo se contracta avec une pointe d'irritation.

« Parce que c'est un travail nécessaire. Cette industrie est essentiellement dirigée avec les poings et l'argent. On ne peut pas rester les bras croisés et ne rien faire. On doit se protéger tout en gagnant de l'argent sous la table. » a expliqué Gojo.

« S'il ne s'agissait que de capacités, on aurait déjà tout construit. » a-t-il ajouté, soulignant la complexité de l'industrie.

« Nécessaire ou pas, ça semble te convenir. » marmonnes-tu.

« Bien sûr ! C'est parfait. Je peux casser la gueule de tous ceux qui m'énervent tout en gagnant de l'argent. » sourit Gojo.

« Megumi en aura bientôt fini avec la maternelle. Tu devrais te laver et partir. » suggéras-tu, orientant la conversation vers les tâches à venir.

𝐃𝐄𝐁𝐓 - gojo satoru (Traduction FR)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant