Traduction FR, l'histoire appartient à NENKIII sur Wattpad.
gojo satoru x f! reader
❝ Je réduirai la dette tant que tu écartes les jambes pour moi, chérie. ❞
𝐇𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚𝐪𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐭𝐨𝐧 𝐦𝐚𝐫𝐢 𝐭'𝐚 𝐥𝐚𝐢𝐬𝐬𝐞́, 𝐭𝐨𝐢 𝐞�...
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TA TÊTE SOUFFRAIT D'UNE DOULEUR AIGUE ET PERSISTANTE, rendant la concentration difficile. En gémissant, tu as lentement commencé à reprendre conscience.
La pièce était faiblement éclairée, la faible lumière projetait des ombres étranges qui dansaient sur les murs.
Tous les muscles de ton corps te faisaient mal et lorsque tu essayais de bouger, tu réalisais que tes poignets étaient liés, te rendant impuissante. La panique s'est emparée de toi.
Une voix faible et bégayante parvint à tes oreilles, détournant ton attention de la douleur lancinante dans ta tête. Lentement, tu as tourné la tête vers la gauche, ta vision s'éclaircissait suffisamment pour distinguer les contours d'une silhouette.
« M-maman. » la voix tremblait et ton cœur manquait un battement. C'était la voix de Megumi. Ton esprit s'emballait avec inquiétude et tu essayais de parler, mais ta gorge sèche n'autorisait qu'un léger coassement.
« Ne le touche pas. » réussis-tu finalement à dire, ton regard fixé sur l'homme aux cheveux bleus familier qui tenait Megumi.
L'homme aux cheveux bleus, Mahito, s'est moqué de tes paroles provocatrices mais n'a pas relâché son emprise sur Megumi. Au lieu de ça, son emprise sur Megumi se resserra.
« Une mère si courageuse. » se moqua-t-il, sa voix débordante de méchanceté. « Mais j'ai le dessus maintenant, n'est-ce pas ? »
Ton cœur battait à tout rompre tandis que la peur et la colère montaient en toi.
« Laisse-le partir. » as-tu demandé, ta voix est plus forte maintenant, malgré la douleur dans ta tête. « Tu m'as moi. Laisse-le partir. »
« Maman— » s'étouffa Megumi, sa voix tendue et désespérée. « Laisse-le partir ! » Tu as crié.
Le rire de Mahito n'a fait qu'alimenter ta colère. « Mon Dieu, c'est tellement effrayant. »
Il relâcha sa prise sur la gorge de Megumi, le faisant haleter et s'effondrer au sol, toussant.
Avec un sourire sadique, Mahito reporta son attention sur toi en s'approchant. « Tu vas même à un petit rendez-vous mignon en famille ? » il fronça les sourcils, sa prise sur ton cou se resserrait tandis que tu luttais pour reprendre ton souffle, l'obscurité se refermait aux limites de ta vision.
« Tu ne mérites rien de tout ça, salope. »
Malgré la douleur accablante et le manque d'oxygène, ton regard reste inébranlable.
