Chapitre 1

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Je suis actuellement sur mon cheval fantôme sur ce foutu champs de bataille.

Ils sont tous en train de perdre.

Ce royaume de merde arrive à sa perte.

Même si leur pute de sainte est là elle ne sert à rien quand mes morts vivants sont protégé par mon propre pouvoir saint.

Elle est ici au milieu de ce champs de bataille complètement inutile.

Ce royaume à déjà perdu de toute façon donc autant m'occuper d'elle.

Je vais vers elle et descend de mon cheval.

Sainte : "Alors ça y est tu es satisfait?"

Valentin : "Pas encore. Lorsqu'il ne restera même pas un seul survivant, pas même les bébés je ne serai pas satisfait."

Sainte : "C'est donc ce que tu es devenu. Ça te va de tuer des innocents."

Valentin : "Ça vous allait à vous de TORTURER, malmener, et tuer la mère innocente d'un innocent hein? Toi même tu l'as fait pétasse. Tu es la sainte tu pouvais tout arrêter non? Oses dire le contraire. La différence entre vous et moi est que je m'assure surtout qu'il n'y aura pas le moindre individu pour envisager vengeance. Tu as bien vu ce qu'il se passe lorsque le survivant prend le temps de se former. Le pire peut arriver. Je ne commettrai pas cette erreur."

Sainte : "...tu ne veux donc même pas dire mon nom. Nous étions indéniablement amis avant."

Valentin : "J'ai bien dans ma mémoire quelqu'un que j'appelais amie mais toi? Non. Toi tu n'es qu'une pétasse de traitresse et lâche qui a laissé ma mère être cruellement tué. Donc non pour moi ton nom c'est au mieux Sainte."

Sainte : "...je suis désolé."

Valentin : "C'est trop tard pour les excuses. Le royaume est déjà foutu. J'ai commit trop de meurtre pour arrêter. Et même si par miracle tu parvenais à me tuer l'attrait de mon armée ne s'effacera pas comme ça et continuera à suivre mes ordres, accompagné des autres races que vous humains avez malmené guidé par votre déesse de merde."

Sainte : "Tu es aussi humain."

Valentin : "Oh pitié. Tu crois que parce que je porte des gênes de l'humanité cela fait moi un humain? Pour moi l'humanité c'est les êtres sales que vous êtes. Et je n'en fais pas partie."

Sainte : "Je vois."

 Valentin : "C'est bon? T'as autre chose à dire? Ou ça y est tu es satisfaite?"

Sainte : "J'ai fini."

Valentin : "Alors prépares toi à crever."

Je lève ma hache et fonce sur elle pour la frapper et la trancher en 2 d'un coup droit et sec.

Mais soudainement un cercle magique apparait sous mes pieds et je me retrouve à m'engloutir dedans.

J'essais de fuir par les ombres ou d'utiliser mes propres pouvoirs sacrés.

Mais rien n'y fait.

Je me retrouve totalement capturé et absorbé par le cercle.

Tant pis.

De toute façon j'ai déjà fait ce que je devais faire.

Même si je crains que madame maman va pleurer que je ne rentre pas.

Et les jumeaux vont aussi être triste que je ne sois pas là pour les entrainer.

Mais les choses sont comme elles sont.

Visiblement la sainte était un piège pour au minimum se débarrasser de moi.

Je ne pense pas que c'était un espoir pour l'humanité.

La paix est plus fatigante que la guerre.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant