! HISTOIRE DÉCONSEILLÉ AU MOINS DE 16 ANS !
Feu. Flamme. Chaleur.
Une simple venue dans une banque, malheureusement au mauvais moment.
Attaque. Terroriste. Sang.
Traumatisé, il est difficile de remonter la pente.
Cauchemar. Insomnie. Inquiétude.
Mai...
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Jeudi, 9h14 . Sydney, Australie. JOYCE
On longeait les murs en essayant de ne se faire voir par personne, on se croyait être des agents secrets, mais j'aime bien ça rajoute de l'action.
On doit réussir à prendre un taxi sans voir de personne que nous connaîtrons, et ça c'est un peu compliqué quand tous les adultes te connaissent mais pas toi.
Mike arrivait en premier au bord d'une route et appelait avec sa main un potentiel taxi. Une voiture grise avec un panneau où il y avait écrit "taxi" au-dessus.
On rentrait et je donnais l'adresse de l'endroit où nous nous dirigeons.
Le trajet ce fut court et rapide, après tout à la marche nous avions maximum trente minutes donc en voiture sa c'est fait en cinq minutes seulement, et encore on s'est pris tous les feux rouges.
Je payais donc au chauffeur et on rentrait tous les trois dans le grand bâtiment. L'odeur vient me frapper les narines et c'est vraiment quelque chose qui me répugne.
On se dirigeait à l'accueil et y trouver une jeune femme rousse qui tapait sur son clavier.
- Bonjour. Commençais-je hésitante.
Elle levait son regard vert clair vers nous et nous souriait en attendant la raison de notre venue.
- Nous venons rendre visite à Aubin Palmer. J'ai entendu dire qu'il était là.
La dame de l'accueil tapait quelque chose sur son clavier et bougeait sa souris pour faire défiler l'écran qu'il y avait devant elle.
- Vous avez une autorisation ? Nous demanda t-elle.
On se regarder cherchant qui va répondre et surtout quoi donner comme réponse.
- Comment ça une autorisation ? Finissait par demander Lia.
- Et bien ce patient est surveillé sous haute protection donc les personnes lui rendant visite doivent avoir une autorisation militaire.
Militaire ? C'est pas un peu trop exagérer comme protection ?
- Nous n'avons pas d'autorisation, mais je fais partie de la famille !
- Désolée mais je ne peux pas vous laisser passer, c'est les règles.
Je la regardais une dernière fois et décidais de partir de l'accueil, ça ne sert à rien de rester dans tous les cas on n'a pas cette fameuse autorisation.
L'air frais se fit sentir et les feuilles d'arbre commençaient à tomber.
- Bon et bien on fait quoi ? Dis-je en chuchotant.
- On peut marcher et se poser quelque part. Chuchota aussi Mike.
- Pourquoi vous chuchotez ? Nous demandez Lia en chuchotant aussi.
