! HISTOIRE DÉCONSEILLÉ AU MOINS DE 16 ANS !
Feu. Flamme. Chaleur.
Une simple venue dans une banque, malheureusement au mauvais moment.
Attaque. Terroriste. Sang.
Traumatisé, il est difficile de remonter la pente.
Cauchemar. Insomnie. Inquiétude.
Mai...
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Dimanche, 8h40 . Sydney, Australie. MATT
Je regardais mon plafond blanc l'air pensif. Mes bras derrière ma tête, il se passe beaucoup de choses en ce moment.
J'ai essayé d'avoir des réponses ou des indices par rapport à l'enquête mais personne ne veut me dire quelque chose, ni même mon grand frère.
Bon, je ne m'attendais pas à ce que l'une des personnes dans cette maison m'aide mais je pensais peut-être que pour cette fois ça allait changer.
Un chat noir venu se blottir contre mon torse et se mit à ronronner instantanément. Je ne sais pas ce que je ferais sans cette boule de poil.
Mais il commence à se faire vieux, donc je profite encore plus de nos moments à deux.
Une personne toqua à ma porte, je vis la tête décoiffée de mon deuxième grand frère passé dans le petit bout qui était déjà ouvert.
- Maman t'appelle dans la cuisine. M'informa Nick
- Je t'ai déjà dit d'accrocher tes cheveux en chignon quand tu viens dans ma chambre, à chaque fois tu fais peur à socks, sale fantôme.
Il me fit un doigt et partit théâtralement en remettant ses cheveux bruns derrière son oreille.
Je levais les yeux au ciel et le vit fermer ma porte où se trouvait un poster de la tour Eiffel. J'aime Paris, non, j'adore Paris. Je trouve cette ville merveilleuse, je suis déjà allé quand j'étais petit et j'en suis tombé amoureux.
Je m'éttirait un coup et caressa socks une dernière fois. Mes chaussons noirs claqués sur le sol et j'arrivais dans la cuisine les mains dans mon jogging gris.
Ma mère cuisinait des tartines salées, pour le petit déjeuner. Mes coudes se posèrent sur la planche en bois du plan de travail et attendait qu'elle se retourne.
J'ai pris des noix qui se trouvaient dans un petit bocal en verre.
- Matt, je t'ai déjà dit de mettre un tee-shirt quand tu viens dans la cuisine. Me réprimander ma mère.
Mes mains passaient sur mon torse musclé.
- Désolé maman, pourquoi veux-tu me voir ?
- C'était pour savoir si ce matin tu allais au dojo ou pas ?
- Sûrement.
Elle se retournait pour enlever les dernières tartines et les mis dans des petites assiettes marrons avec des traits blanc aux bords.
- Va te mettre un tee-shirt avant de pouvoir manger jeune homme, tu me donnes froid.
- Ma petite maman s'inquiète pour son fils.
Je suis venu la prendre dans mes bras et lui fis un bisous sur le haut de sa tête. Elle n'est pas très grande, mais à ce qu'il paraît elle fait un mètre cinquante quatre, et non quarante neuf. C'est pas moi qui le dit mais la cheffe en elle-même.
