Et si Kibutsuji Muzan avait eu un enfant ? Une fille âgée de 17 ans.
Un jour, elle décida de désobéir à son père en quittant la forteresse.
Elle va faire la rencontre des pourfendeurs et des piliers.
Que va-t-il se passer ?
Comment va réagir Muza...
Ça fait trois mois que Alya a disparu. Le maître veut la déclarer morte, mais je sais qu'elle est en vie. J'en suis convaincu !
Tengen: Le maître a peut-être raison... Elle est peut-être morte depuis le début.
- Je n'abandonnerai pas les recherches.
Suite à ça, je sors. Je te retrouverai Alya, je t'en fais la promesse.
Pdv Alya:
Ça fait trois mois que je suis rentrée à la forteresse. Je ne vois personne à part mon père. Il veut que je reste avec lui dans sa chambre pour garder un œil sur moi.
Ce matin, je me réveille avec la tête qui tourne et une soudaine envie de vomir. Je cours dans la salle de bain et je vomis.
Mon père arrive derrière moi. Je vomis encore plus. Heureusement que mes cheveux sont attachés. Je mets ma tête sur le côté de la cuvette au cas où je vomis encore.
Muzan: Qu'est-ce-qu'il t'arrive ?
- Je serai pas étaler sur la cuvette si je savais ce que j'avais...
Je tire la chasse d'eau et je me relève. Je me rince le visage.
Muzan: Regarde-toi dans le miroir.
- D'accord, mais pourquoi ?
Il ne répond pas. Je me mets devant le miroir, je suis de profil. J'écarquille les yeux en voyant mon ventre.
- C'est impossible...
Muzan: C'est tout à fait possible, tu es de sang-mêlé. Tu peux donc porter un enfant. Et je pense que c'est le jeune homme blond qui est le père.
Une larme coule sur ma joue. Il me manque. Je retourne dans la chambre et je prends une tenue.
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D'un coup, je suis téléportée dehors. Je vomis encore une fois. J'ai pas mes katanas !
Ils apparaissent à côté de moi. Super ! Mon père m'a mis à la porte...
Je prends mes katanas à la main puis je marche.
Kyôjurô: Alya... J'aimerais tellement que tu me reviennes... Tu me manques.
- Mais j'ai peur Kyô...
Il se retourne d'un coup. Il court vers moi et il me porte. Je le serre contre moi. Il me pose au sol et il m'embrasse.
