« Tu m'appartiens » ainsi décrétât le roi

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Tous les mots du monde serais insuffisant pour exprimer la douleur que je ressens pour dire. À quel point je me sent trahis humilié délaisser abandonner tromper. J'aurais du m'en douter j'aurais du le voir venir

Mais la vérité c'est qu'on refuse de le voir de l'admettre comme quand tu rencontre cette personne avec qui tu veux vivre l'amour cette personne avec qui on veux respirer son parfum le serrer contre nous malgré le mal que ce dernier nous fais nous continuons de le vouloir de l'espérer  et de le ressentir de vibrer rien qu'à l'idée d'être dans  les bras de cette personne, et avec cela peu importe les mise en garde les signes nous décidons de fermer les yeux car nous voyons en cette personne ce que les autres ne voie pas. Mais la vérité c'est que ce que nous croyions voir ce que nous pensions connaître ceux pour quoi on aurais mis notre main à couper la raison pour laquelle on aurais traversé des flemmes, n'était que pur invention de notre cerveaux pour nous faire croire qu'il peu y avoir du bon qu'il y'a de l'espoir que si on continue de creuser qu'on trouvera ce qu'on recherche. Mais la vérité c'est comme frapper à la porte d'une coquille tu espère prie pour que dieu fasse un changement mais tu l'ouvrira et verra ce dont t'avais le plus peur, le néant le vide voilà ce qui t'attend quand tu mise tout sur une personne en ignorant tout ce qu'il a été dis

Mais je ne regrette pas de l'aimer je ne regrette pas de nous avoir accordé une chance car chaque minutes chaque instant fut plus intense que le dernier j'ai aimer rire avce lui j'ai aimer regarder des films avec lui j'ai aimer le regarder parlé de politique, des voyage qu'il aimerais faire la tranquillement font il rêvais depuis tout petits. J'ai aimer le voir concentré j'ai aimer le voir soûler j'ai aimer le voir sourire à telle point que ces fossettes s'enfonce de façon grossière j'en ai savourer chaque instant et tout ceux qui me dirons qu'ils m'avais prévenu qu'ils allaient tous au diable car j'ai aimer cet homme plus que tout au monde

Je fixe la fenêtre quand je trouverais le sommeil ? Quand le soleil montrera complètement le bout de son nez ? La nuit n'avais pas suffis à ce que je trouve le sommeil je n'avais pas réussi à fermer les yeux. C'est donc ça les peines de cœurs ? He bien c'est degeulasse et vous coupe toute envie

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Pourquoi je n'avais pas la force de me lever de ce lit ? Pourquoi j'avais honte de sortir ma tête de cette couettes comme si le monde entier était là attendant  pour que je sorte le bout de mon nez et qu'ils puissent tous rire de moi me monter du doigts me fixer.
Pourquoi j'étais incapable de me lever pour ouvrir la porte à cette voix inquiète qui m'appelais me suppliant de répondre pour savoir si je vais bien ?

Je ne savais faire qu'une seul chose en se moment pleurer alors j'explose en sanglot et pleure c'était la seul choses dont jetait capable

2 mois plus tard

J'ai mal....tellement
Je pensais que le temps effacerais ma souffrance mais non cela devient invivable de jour en jour ça devient dure douloureux ça m'empêche de respirer je vois son regard dès que j'ai le malheure de fermer les yeux quelque secondes. Sa voix reviens me sursauter à l'oreille tout les soirs ces mains me touches dès que j'ai un moment d'inattention pourquoi cela me torture a se point?

..?: stp mange un peu safira

Je pose mon regard sur Zohir. Il a été tellement gentil avec moi patient prévenant prenais soins de moi ne m'a jamais laissé même une secondes. Même si je ne lui adressais jamais la parole même si je le regardais que quelque rare fois. même si il savais que la femme qu'il convoitais était marié à son pire ennemi la personne qu'il détestais le plus il restait le même.
Il me voyais m'auto détruire ne plus avoir goût à rien ne plus manger ne plus parler seulement par ce que jetait loin de cet homme.