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2j plus tard

Je marche dans la maison alors que tout le monde devais dormir à cette heure mais moi j'y arrivais pas.
Je ne sais pas ce qu'il est le pire. Que tout le monde parle dans mon dos disant que je suis une femme
Qui a rendu son mari cocu. Ou ce qu'il dise sur Kadrir.
Que c'est un homme faible qui depuis mon entrée dans sa vie a commencé à faiblir. Qu'il est  tellement amoureux de moi qu'il avais peur de ne pas être le père de mon enfant raison pour laquelle il ne m'avais pas forcer à faire un test de paternité et qu'il me gardais dans le palais malgré que je soit aller pendant des mois chez mon amant et que jetait revenu enceinte.
Lui était complètement décrédibilisé et m'ignorais totalement il ne m'adressais pas un seul regard, pas un mot rien

Il ne m'avais pas reparler depuis ce jour là dans cette chambre hôpital où je n'avais pas « répondu » à sa question. Mon cœur est extrêmement lourd et ça deviens beaucoup trop dure, les regards indiscrets les chuchotement Imane et zoulfa qui ne manque pas de se moquer de moi avec notre belle mère je ne savais plus quoi faire mon cœur était en miette seul dame F me défendais férocement telle une mère le
Ferais. Car même  Zeinab et soultane avais changer elles étaient à présent tout simplement mes dames de compagnie n'avaient aucun jugement aucun avis à mon égard elles étaient tout simplement devenu mes dames de compagnie.
Je pleurais dans les bras de dame F qui me réconfortais me berçais m'encourageais me disais de me taire et d'attendre que la vérité éclate car peu importe ce que je ferais personne ne me croirai car ils avaient déjà leurs version à eux et voulais s'en tenir qu'à ça que cela ne servais à rien et elle avais raison même si j'avais accepter ce test ils auraient dis que le résultat avait été trafiqué.
Je sais que la vérité finira par éclater mais c'est long snif et c'est trop dure de voir mon mari de loin mais ne pas pouvoir l'approcher le toucher lui parler. Snif je voyais zoulfa me narguer Imane ? C'était horrible je n'en pouvais plus et je n'avais qu'un bras dans lequel pleurer c'était celui de dame F

J'ouvre la porte de son bureau et rentre à l'intérieur avant d'aller dans la pièce je m'installe dans le lit. C'est la ma vrai chambre c'est la mon vrai lit pas ces appartements a l'étage non. J'ai dormi dans ce lit j'ai pleurer dans se lit j'ai souffert dans ce lit. Mais c'est également dans celui là que j'ai ressenti la joie de mon premier baiser, de ma première fois dans les bras de l'homme que j'aimais. C'est ici que je l'attendais chaque soir, c'est ici que je me blottissait contre son corps

Je m'allonge dans le lit et me caresse le bas ventre.
Ma petite princesse tout est tellement compliqué, si seulement les choses ne c'était pas passée ainsi. Si quelque petite choses avait été différente maman n'aurais pas le cœur briser à se point. J'espère que tout s'arrangera avant ton arrivé. Je veux que tu soit heureuse plus que tout au monde

J'entend des pas je lève la tête et vois Kadrir à l'entrée de la pièce entrain de me regarder lui aussi ne dormais pas visiblement. J'imagine à quel point son ego doit être blessée tout ça par ma faute...

Je me lève du lit et m'approche de lui.
Je le regarde les yeux remplie de larmes il avais l'air fatigué à bout, il était perdu ne savais plus quoi faire m...mais avais décidé de me faire confiance de ne rien écouter de ce qu'on lui disait ou de ce qu'on pensais sur lui. Il m'aimai vraiment ? Au point de laisser une si grande tâche sur ce qui compte le plus sur lui ? Son honneur son ego sa fierté ? Sa réputation ? Le respect qu'on lui accordais ? Il était près à renoncer à tout ça m..pour me faire confiance ? Pour ne pas me faire de mal ? Comment peut-il faire ça ?

Je me tien devant lui et pose ma main sur sa joue et la caresse de mon pouce. Il a l'air tellement fatigué
Je prend sa main tremblante et la pose tout doucement sur mon ventre. Si il veut une réponse la voilà, si il m'aime vraiment il me croira et me comprendra sans que je lui dise de vif voix. Et si il ne le fais pas c'est qu'il ne m'aime pas vraiment et ne tien pas à moi

« Tu m'appartiens » ainsi décrétât le roi Où les histoires vivent. Découvrez maintenant