2mois plus tard
Je sort de la salle de bain et m'assieds au milieu du lit fixant la porteAvec le temps les choses c'était mieux tasser il ne m'avais plus battus depuis la dernière ayant compris que je pouvais éviter sa colère en l'écoutant et en faisans tout ce qu'il me demandais, cette situation me frustrais depuis 1 mois il était la seul personne que je voyant la seul voix que j'entendais la seul présence humaine que j'avais.
Je n'ai cessé de penser à ma famille et à celle de soulaye à quel point ils devais tous être mort d'inquiétude de ne pas avoir de nos nouvelles depuis 1 mois à présent. Comment allais ma mère mon père mes frères et sœur et soulaye ? Les choses allais mieux pour elle ? Est ce qu'elle avais manger a l'heure la ? Comment se sentais t'elle ? Était t'elle aussi effrayer que moi ? Est ce qu'on pourras un jour sortir d' ici ?Je m'était faite le plus docile possible, je ne faisais pas de bruit et depuis il m'attachais plus depuis à peu près quelques jours il me laissais tourner en rond dans la pièce sans être enchaîner au lit. Mais la solitude me tuais elle me rendais folle être enfermer entre ses 4murs me tuais a petit feu
Je tombais littéralement de sommeil ayant compris qu'il n'allais peut-être pas venir se soir, c'est la première fois qu'il ne vient pas depuis qu'il m'a enfermer ici
Il avais installer un mini frigo avec de la boisson et yavais de la nourriture de tout genre et des biscuit
Je me tourne et m'endors fatigué de cette journée à fixer le mur mes paupière était lourde et mes yeux fatigué d'observer ses murs au couleur grisâtre*le lendemain
J'enfile des chaussettes et prend une brique de jus de fruit je n'amène mes jambes à ma poitrine et fixe le mur encore une fois perdu dans mes pensée
Je le regarde venir s'installer sur la chaise me regardant je me lève et m'approche de lui avant de m'assoir sur son genoux je remonte mes 2 jambes et les place sur sa deuxième cuisse en me mettant contre son torse
Il se prête pas à mon jeu ayant compris que je faisais tout ça pour qu'il me laisse voir soulaye il savais depuis le début que je me montrais si docile et obéissante pour cette même et unique raison mais il laissant quand même faireSon parfum vient encore une fois me titiller le nez je ferme les yeux l'enroulant de mes bras jetait absolument petite dans ses bras je décide de briser le silence
Moi: pourquoi tu n'est pas venu hier ?
Je n'obtiens pas de réponse de sa part je ne tien pas compte de cela et lève la tête pour le regarde, l'observe son visage toujours aussi fermer et impassible sa barde garnies son long nez et ses cils fin et long
Moi: pourquoi me garde tu ici ?Cette question suscita son attention il baissa la tête pour venir plonger son regard dans le mien, mon coeur s'emballait et tremblais dans ma poitrine alors que l'atmosphère devenais lourde et que encore une fois lui lisais en moi alors que moi je ne pouvais rien savoir ni comprendre de lui
Roi: par ce que je le veux
« Par ce que je le veux » tout à toujours dépendu de ses envies de son bon vouloir de ce dont lui avais envie de ce que lui il voulais il na jamais été question de quelqu'un d'autre ça a toujours été lui il n'avais jamais eu à se soucier de quelqu'un d'autre et n'avais jamais chercher à le faire après tout c'était lui
Le Roi, les choses devais aller comme lui le voulais et pas autrement et malheureusement il a fallut que je fasse parti des choses qu'il veulent. Ma plus grosse erreur a été de lui montrer qu'il ne pouvais pas m'avoir que je n'allais pas le laisser avoir ce qu'il voulais que pour une fois il n'aurais pas ce qu'il désirais
Ce simple refus de ma part a suscité une colère chez lui, car j'ai l'impression d'avoir remis son pourvoir en question son autorité car faut bien se l'avouer j'avais oser dire non à un Roi moi une simple et banale fille
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« Tu m'appartiens » ainsi décrétât le roi
FanficOn va retourner un peu dans le passer, outre verser les clichés oser toucher à ce qu'il ne faut pas. Une histoire d'amour entre une jeune fille noir et un Cheick, un émir un sang Royale un Arabe. Un Roi qui décréta qu'elle lui appartenait après tout...