Attention il y a de fortes chances qu'il y est du lemon 🍋🍋🍋🍋dans ce chapitre.
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-Orlando : Gagné me chuchota t'il.
Je lui tirai la langue comme si j'avais quatre ans et il fit de même. Après notre chamaillerie, il me saisit par les hanches et inversa nos positions, j'étais maintenant sous lui, ressentant son souffle chaud sur mon cou. Nous restions ainsi pendant quelques secondes, voire plusieurs minutes, ressentant cette excitation sexuelle, mais aucun de nous deux ne voulait faire le premier pas.
-Servant : Euh c'était pour vous prévenir que votre père veut vous voir avec la fille.
Orlando se détacha vite de moi.
-Orlando : La prochaine fois toquait grogna t'il.
-Servant : Oui pardon.
Le servant partit. Moi et Orlando sortons de la pièce et allons rejoindre son père. Durant ce petit trajet, il y avait un petit moment de gêne. Puis on arriva devant une porte. Orlando ouvrit cette fameuse porte et on vit son père assis sur une chaise se comportant comme un roi, moi personnellement, j'aurais plus dit de porc, mais bon.
-Boss : Alors ?
-Orlando : Elle manque un peu d'entrainement mais elle a déjà fait mieux que certaines filles.
-Boss : Bien, d'ailleurs Orlando je t'en ai ramené deux autres.
Deux autres ? De quoi pouvait t'il bien parler ? Deux autres quoi ? Orlando lâcha un regard interrogateur à son père.
-Boss : Orlando voyons. Deux autres putes.
Ah, génial. Maintenant, c'est confirmé, je le déteste. Orlando me prit la main, sûrement, car il ne supportait pas lui aussi cette conversation, et m'emmena dans sa chambre.
-Orlando : Je suis désolée du comportement de mon père, il est assez comment dire-
-Émilie : Con, pervers,dégueulasse avec une attitude immonde le coupais-je.
-Orlando : Oui.
Orlando me raconta ensuite que son père ramenait toujours des filles de mafieux, peu importe la situation. Son con de père voulait qu'il marie une fille qui savait bien s'entrainer et se défendre parce que, je cite, "la plupart des femmes sont faibles" avait-il dit en imitant son père.
Pov Orlando :
Pendant cette discussion avec mon père, je pris la main d'Émilie et l'emmenai dans ma chambre. Elle n'avait pas besoin de savoir tout ça, elle n'avait pas besoin de connaître le vrai moi.
-Orlando : Je suis désolée du comportement de mon père, il est assez comment dire-
-Émilie : Con, pervers,dégueulasse avec une attitude immonde dit-elle en me coupant.
Elle disait les termes c'est sûre !
-Orlando : Oui.
Je lui racontais ensuite que mon père ramenait des filles de mafieux, peut-importe la situation, et que mon père voulait que je marie une fille qui savait bien se défendre. Alors que moi, mes critères étaient de savoir si elle baisait bien. S'il n'y avait pas eu ce putain de servant, je l'aurais fait avec Émilie. À peine un jour, j'avais l'impression que j'étais déjà fou d'elle. Mon corps la voulait rien qu'à moi. Et tout à l'heure, quand cette sorte de tension sexuelle s'était créée, je ne savais pas comment réagir, mais de toutes les filles que ramenait mon père, c'était la seule pour l'instant qui me faisait un effet. Je n'avais pas envie de la laisser partir, mais il le faudrait bien un jour ou l'autre. Je ne pouvais pas m'attacher à une fille, pas après ce que m'avait fait Léna. À cause d'elle, depuis que mon père ramenait une fille, je faisais la personne sympathique juste pour l'attirer plus facilement dans mon lit. Depuis que Léna était parti, c'était une sorte de routine. Je sortis de mes pensées quand j'entendis la voix d'Émilie.
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Lui
Ficção AdolescenteÉmilie fréquente la faculté de droit, mais un beau jour, une personne au nom de "Florent" va la faire rencontrer à un certain "Orlando", fils d'un célèbre mafieux, qui évidemment va vouloir l'entrainer dans sa sorte de, comment dire, routine ? La co...