Chapitre 24

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POV Jasper

Après avoir passé quelques heures avec la famille et les amis à la babyshower, nous décidons de partir direction l'hôtel. Elisabeth était excité comme un enfant à côté de moi et sautillait sur le siège passager. Je glissais légèrement plus haut ma main qui était posé sur sa cuisse. Elle se mit à se tortiller et je la regardais du coin de l'œil en souriant.

« Ja-Jasper... tu sais très bien ce que ça me fait quand tu fais ça... disait Elisabeth en fermant les yeux pour essayer de se contrôler.
- Arrête de bouger, ouvre les jambes et laisse moi faire »

Elle ouvrit grand les yeux, connaissant mon prochain mouvement. Tout en maintenant le regard fixé sur la route, je remontais un peu plus ma main jusqu'à l'élastique de son legging, le baissant un peu pour avoir accès à sa culotte. Elle soupirait par inadvertance avant d'ouvrir un peu plus ses jambes. Elle me laissait libre accès et j'adorais ça.

Je mis ma main dans son sous-vêtements et ne tardait pas à trouver son clitoris qui frémissait à mon contact. J'arrêtais mes mouvements, observais du coin de l'œil son visage et découvrait qu'elle avait les yeux fermés, la respiration saccadée et les joues qui rougissaient de plus en plus. En sentant que je ne bougeais plus mes doigts, elle bougeait ses hanches pour avoir de la friction. Pile à ce moment-là, je fis des mouvements circulaires avec mes doigts, lui arrachant un gémissement. Elle essayait de ne pas perdre le contrôle mais c'était peine perdue, elle s'était abandonnée à ma volonté au moment où elle avait décidé de ne pas m'arrêter. Je descendais encore plus bas, touchant sa vulve qui était plus que trempé. Trempé pour moi.

Je lui caressais son entrée puis enlevait ma main quelques secondes après. C'était suffisant.

« Elisabeth, ouvre tes yeux et regarde moi te goûter »

Elle ouvrit lentement les yeux et tournait timidement la tête vers moi pile au moment où je mettais mes doigts mouillés dans ma bouche. Elle avait le goût de la victoire.

Après m'avoir vu la goûter, elle tourna brusquement sa tête de l'autre côté et fixa la route tout d'un coup gêné et le visage tout rouge. Je nettoyais mes doigts avec ma langue et re déposait ma main sur sa cuisse comme si de rien était.

« Ça devrait être illégal de faire ça... Chuchotait Elisabeth pour elle même.
- Faire quoi? » Répondis je innocemment

Elisabeth ne répondit pas. Je savais très bien pourquoi elle réagissait comme ça et j'adorais quand sa timidité prenait le dessus. Elle me donnait juste envie de la prendre dans mes bras, de la câliner en la berçant et lui embrasser les cheveux et le front. Elle était tellement mignonne.

« Elisabeth.
-...
- Répond moi. »

Je lui presionais gentillement la cuisse avant de me détacher d'elle et de garer la voiture. On était arrivé mais on ne sortira pas de la voiture tant qu'elle ne m'aura pas parler. Je voulais entendre ce qui lui passait par la tête.

La voiture garée, le moteur éteint et les portes fermées à clé, je me détachais pour avoir une meilleure liberté de mouvement.

« Alors? »

Je lui tournais le visage avec mes mains pour qu'elle puisse me porter de l'attention, avant de m'éloigner un peu pour pouvoir la voir le mieux possible. Elle me regardait timidement, jouant avec ses doigts, tandis qu'elle décidait de me parler.

« Mon corps répond à ton touché à la milliseconde près. Je pers littéralement la tête quand il s'agit de toi. Je m'abandonne et te cède le contrôle de mon propre corps sans hésiter. Mon cœur ne bat rien que pour toi et probablement que je respire aussi pour toi. J'ai l'impression d'être totalement accroc et pourtant ça fait déjà plusieurs mois et bientôt plusieurs années qu'on se connaît... »

Ce vide qui nous rapproche Où les histoires vivent. Découvrez maintenant