CHAPITRE 27

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Il s'accouda sur la porte de la salle de bain

MICHEAL : wassup babe ? dit-il avec un léger sourire limite flippant.

Angelini, pourquoi je t'ai pas écouté ?

Pourquoi suis-je têtue ?

Jayson me jette violemment sur le lit pour ne pas que je sois tenter de partir

Et Micheal se rapprocha du avec son téléphone en main

MICHEAL : maintenant honey, ouvre la bouche tu vas me sucer pour snapchat.

ANGEL : je préfère crever en enfer

MICHEAL : Tiens tiens tu te rebelles maintenant. Mais désolé de te l'apprendre

Il me metta à genoux devant son entrejambe, et m'empoigna les cheveux

MICHEAL : tu vas me faire le plaisir de le faire et puis c'est pas comme si tu ne me l'avais jamais fait...

ANGEL : comme je te l'ai dis brule en enfer, asshole !

Que Dieu me pardonne de mes paroles et mon acte

Je lui donna un coup dans l'entre jambe et m'enferma à clef dans la salle de bain puis composa le numéro de konae

Dieu merci j'ai toujours un mini téléphone sur moi, croyez-moi les filles ça sert, j'avais vu ça dans un film

ANGEL : putain décroche

JAYSON : nina ouvre la porte

Il tape sur la porte et à ce moment ma sauveuse répond

ANGEL : konae ramène toi dans la chambre 403 dans l'étage des garçons, on veut me violer

KONAE : bouge pas je suis avec angelini et eliott nini on arrive

ANGEL : fais vite pitié je vais pas tenir longtemps

La porte s'ouvre sur jayson qui se jetta sur moi

KONAE : allo, nina ? Putain angelini fais-

Puis le téléphone se retrouva dans les mains de jayson

ANGEL : lâche moi connard

JAYSON : ohhh je suis blessé, dit-il dans un air faussement triste, hier tu pleurais dans mes bras honey

Il dechira mon haut et enleva mon haut de bain et il embrassa de force mon cou ce qui laissa des traces

Il tripota mes seins nu avec ses sales doigts

ANGEL : putain lâche moi

JAYSON : c'est pas ce que tu disais hier

ANGEL : bah là on est au présent

ELIOTT : lâche là connard

Eliott...

J'ai jamais été aussi heureuse qu'il soit là.

Ce dernier se jetta sur mon ex et le rua de coups, limite il saigne

ANGEL : eliott, s'il te plaît ne le tue pas, regarde tes phalanges

Elles sont ensanglantées.

ELIOTT : je le tuerai de mes propres mains si il le faut, il n'avait pas le droit de te toucher de la sorte

ANGEL : juste regarde moi.

Oui la phrase la plus clichée mais au fond de moi je sais qu'elle va marcher, je connais eliott comme ma poche. Même si plusieurs années sont passées...









FLASHBACK

Il était là en classe avec moi entrain de dessiner dans mon cahier

ELIOTT : si un jour tu me vois me battre, tu n'auras qu'à me dire de regarder tes yeux et je m'arrêterai

ANGEL : c'est tellement cliché comme phrase

ELIOTT : pourtant seuls tes yeux peuvent me calmer...

Et il se remet à travailler...








Il stoppa tout mouvement et se tourna vers moi

Son regard s'adoucît, comme ci les miens les avaient adoucis...

ELIOTT : putain, il n'avait pas le droit de te salir de la sorte

Jayson ne reponda plus, sûrement sonner par les coups

Celui qui se moquait de moi auparavant s'accropissa en face de moi et me tenda ses bras

ELIOTT : fais pas semblant nini, t'en a besoin.

Je le regarda les yeux remplies de larmes et me jetta dans ses bras

Il m'avait manqué, j'ai eu si peur...


La peur que ça recommence et que personne soit là..








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"Superman"

"Superman"

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L'Ange du peintreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant