Defense Against the Dark Arts

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Les Skz attendaient le cour du professeur Maugrey avec impatience, L'auror avait été vague quand a l'enseignement du jour mais avait implicitement suggéré aux garçons qu'il serait particulièrement déroutant.

Seungmin avait bien tenté de deviner ce que le professeur mijotait en comparant le programme imposé par le ministère les années précédentes mais c'était sans compté les liberté que se permettait Maugrey, libertés motivé par les répercussions d'évènements récents sur le monde magique & Moldu

Effectivement les faits-divers surnaturels relaté par la presse moldu avait été d'ordre anecdotique jusqu'à présent, sans que cela ne dévoile le monde magique parallèle. Chan & Minho riait même de l'ignorance des non mages quand ils découvraient dans les gros titre une énième histoire d'OVNI, alors que la prétendu soucoupe volante ne s'avérait être qu'un balais ou une voiture volante. Mais aujourd'hui les chroniques étaient bien plus sombres et Maugrey  savait que l'ignorance pouvait être dévastatrice, comme l'avait témoigné l'atrocité des procès de Salem, bien trop présent dans les mémoires.

Ainsi les élèves furent invités a se positionner en ligne droite devant un objet drapé , rituel rappelant étrangement l'un des cours du professeur Lupin qui avait perturbé plusieurs étudiants. 

Maugrey : Je vous épargne les épouvantard rassura-t'il.

Chan : A quel prix chuchota-t'il a l'adresse de Changbin. Le leader se méfiait de la soudaine bienveillance du professeur, celui-ci ne faisant pas dans la dentelle, cela ne présageait rien de bon.

Maugrey : Monsieur Bang, je vous en prie commença le professeur, faisant avancer un Chan récalcitrant avec son bâton.

Chan faisait désormais face a l'objet voilé qui se révéla être un imposant miroir en Or posé sur deux pieds pourvus de griffes. sur lequel était inscrit « Riséd elrue ocnot edsi amega siv notsap ert nomen ej »

Chan se tenait immobile devant le miroir, dans lequel les silhouettes familière de ses frères de cœur commencèrent à apparaître autour de lui.
En observant le reflet, il revoyait les années passées comme un film se déroulant devant lui. les doutes, les échecs, les nuits passées à s'entraîner jusqu'à l'épuisement, les moments où ils avaient pensé a tout abandonner
Il se voyait entouré de ses frères, dans ce qu'il chérissait le plus soit la simplicité de leur unité.

Minho remplaça Chan. Curieux de la vision que lui révèlerait le miroir.

Le cœur de Minho s'accéléra à l'apparition de Han, le regardant avec une tendresse qui transcendait les mots. Leurs regard remplis d'affection, montrait un amour profond. une promesse silencieuse d'être à jamais ensemble

Après quelques secondes Minho détourna ses yeux de l'objet pour fixer Han faisant rougir ce dernier, avouant silencieusement sa présence dans le reflet. Il déclara avant de céder sa place que son désir était aussi sa plus grande crainte.

Puis ce fut au tour du jeune garçon Weasley.
Ron déclara se voir comme le capitaine, et le meilleur joueur de l'équipe de Quidditch de sa maison.
Il s'émerveilla devant le badge de préfet en chef, qu'il arborait de manière triomphante dans sa vision

Luna fut la dernière a se présenter au Miroir, Tous les précédents élèves avaient été transparents en dévoilant la nature de leurs vision, Ainsi la jeune femme appréhendait le moment. Elle découvrit son reflet et laissa couler quelques larmes

Maugrey : Donc que voyez-vous?

Luna : Je... ne vois rien mentis la jeune femme

Le cours se termina sur ses mots,  la Serpentard fut écarté par le Professeur pour discuter de son passage. Maugrey expliquait le phénomène par deux hypothèses soit la jeune femme avait menti soit celle-ci disait vraie et devrait urgemment être prise en charge. Car l'absence de reflet signifiait régulièrement un désir de mort. Luna admit au professeur qu'elle avait partiellement menti. Tout d'abord, elle s'était vu entouré par ses deux frères Regulus & Sirius. Mais réalisant que son désir était inatteignable, irréalisable le reflet s'était troublé avant de complètement disparaitre. Elle indiqua au professeur que ses larmes étaient destinées a ses moments qu'elle ne vivrait jamais.

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