Conseil 4: S'échapper au plus vite

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Suite à ce discours immonde du président, j'ai été emmené dans une prison fermée. On m'a transporté par camion, attachée et bandée aux yeux pour que je ne vois rien. J'arrivai à la prison, je devais monter l'escalier de droite, tourner à droite et aller dans la dixième cellule à ma gauche...

 J'arrivai à la prison, je devais monter l'escalier de droite, tourner à droite et aller dans la dixième cellule à ma gauche

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Je rencontre dans ma cellule, une belle femme...

Je rencontre dans ma cellule, une belle femme

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Moi : Salut, Sarah Flament. Ça va ?

Elle : Salut, Naïma Falino. Non pas trop, tu vois, on est enfermées. En plus, ça fait environ une semaine que je suis seule...

Moi : T'inquiète, on va trouver un moyen de sortir de là...

Une autre femme en face : Chérie, sache que c'est mort. Ça fait deux semaines que j'essaie. Rien n'a réussi...

Moi : Ils sont tellement c*ns qu'ils ont peut être laissé une issue...

*Sonnerie* Bonjour à toutes ! Il est onze heures, vous allez être délivrés pour aller dans la cour. Attendez le personnel.

Moi : Attends... Quelqu'un vient nous DÉLIVRER !

Naïma : Oui et ?

Moi : On va lui voler ses clés !

Naïma : Tu crois qu'ils n'ont pas d'armes ?

Moi : J'ai beau avoir été incarcéré, avant je m'étais battu...

Naïma : Tu peux aller jusqu'où ?

Moi : Jusqu'à m'ouvrir le ventre pour enlever le fœtus. Pour pas avoir la peine de mort.

Celle d'en face : Alice Ganger, ravie de t'avoir à nos côtés. Bienvenue.

Moi : Ils arrivent !

Deux policiers arrivèrent, l'un pour Alice, l'autre pour Naïma et moi...

Je fit un clin d'œil à Alice pour lui dire qu'elle peut passer à l'action.
J'attrapa ,par le cou, le policier et lui donna un coup de genou dans les c*uilles. J'étais assez mince pour que mon genou puisse passer entre les barreaux.
Naïma lui donna un coup de poing dans la tête, avec ces deux coups, il tomba.
J'attrapa alors ses clés en passant mon bras entre les barreaux et ouvrit la cellule.
Alice fut la même chose avec sa "coloc" si on peut dire ça comme ça...
On a ensuite, chacun de nos côtés, caché les policiers en dessous de nos lits respectifs et nous avons été, comme tout le monde, dans la cour.

Où est le droit des femmes ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant