𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟏𝟒

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SALAM ALEYKOUM, COUCOU LES HBIBETTES

Voici le chapitre que je vous avais promis.

J'ai pas grand chose à dire on se retrouve à la fin.

Bisou les Asifettes😘

Bonne lecture🏃🏽‍♀️🏃🏽‍♀️










YOUSSOUF




PrésentAujourd'hui

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Présent
Aujourd'hui


Thumraït, Oman




Au milieu du salon, retenu par Salif, je peine à reprendre mon calme. La colère ronge mes veines et je me vois frapper Hudeyfa encore et encore, sans contrôle.

Tout autour de moi est trouble, comme si tout s'effaçait. Je n'entends rien, mis à part mon cœur tambouriner.

Tu aurais pu le tuer !

Je me sens brusquement bousculé, je tombe sur le sederi. Je vois finalement Salif au-dessus de moi.

-  A quoi tu joues Youssouf Driss ?! Me dit-il en me secouant pour me ramener à la réalité.

Je peine à reprendre mon souffle et une cadence raisonnable. Je suis incapable de lui répondre.

-  Tu penses que c'est de cette façon qu'il acceptera ?! N'oublie pas que nous avons aussi besoin d'eux, me crache-t-il.

Je reprends finalement mes esprits et le pousse pour qu'il me lâche. Je déteste qu'on me bouscule de cette manière.

-  Je n'ai fait que me défendre, ne t'avise plus de me secouer comme ça Salif, dis-je d'un ton sec.

-  Mais je fais ce que je veux abruti, me rétorque-t-il en riant, si je n'avais pas été là ta colère aurait été bien plus dévastatrice. Ne me fais pas mal à la tête Youssouf.

Je ne lui réponds pas et me contente de le dévisager.

Je me relève finalement du sederi et j'aperçois Sakinah Nayra. Elle me regarde avec dédain, le menton relevé, Myriam se tient à côté d'elle l'air dépité.

-  Je vous ai déjà prévenu de ne pas vous en prendre à ceux que j'aime, me dit-elle non sans mépris.

Elle se fout de moi ?

Je lâche un léger rire. Cette femme ne cessera de me tenir tête.

-  Premièrement, de quel droit pensez-vous que vos dire auraient une quelconque influence sur moi ? Lui réponds-je avec autant de mépris.

ASIFAT : Après la tempête vient la quiétudeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant