Depuis trop d'années, les habitants de la magnifique ville de Palerme en Italie vivaient en craignant les horribles fusillades de deux gangs. Il n'avait pas une seule journée sans les bruits transcendants des armes semi-automatiques ni des cris atr...
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AléaSerra
Jab..Cross..Double crochet avant.
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Jab..Cross..Double crochet avant.
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Jab..Cross..Double crochet avant.
Toujours le même foutu combo. Il me suffit qu'un uppercut bien placer pour lui faire enlever son putain de sourire sur le visage et le mettre au tapis.
Pourquoi il sourit en plus ? S'il pense gagner il se fou un doigt dans le cul. Il n'est qu'un amateur. Un connard qui se pense supérieur aux autres. Les autres séances ne lui a rien appris.
Comme nos autres combats, il ne pouvait pas gagner et moi je pouvais pas perdre. Je devais pas perdre.
Jab..Cross..
C'est maintenant!
J'esquivai son cross et réussis mon uppercut parfaitement. Je le vis s'écrouler au sol. J'entendais encore une fois cette musique dont jamais je ne me lasserais : les cris d'un homme en douleur. Rien n'est plus apaisant que d'entendre les cris de douleur de son adversaire, mais ce n'est pas lui.
Je n'attendais même pas que le coach me proclame vainqueur que je partis du ring. Le mec était inconscient alors c'était impossible qu'il se relève dans les 10 secondes. En même temps il frappe, mais ne sais pas esquiver. C'est comme les gars. Ils sont présent pour baisé, mais si la fille tombe enceinte, ils disparaissent mystérieusement.
Bref.
J'imagine que personne n'est dans le même panier. Sinon mon paternel m'aurait déjà abandonné.
Je sortis de mes pensées pour rentrer dans les vestiaires. Les casiers brun défilaient à ma gauche et à ma droite. Je détestais être ici. C'était si laid, si.. étroit et petit. C'est à peine si on pouvait marcher à deux. Tout ce que je voulais était de prendre mes affaires dans ce casier de merde et partir terminer mon rapport de ma mission il y a deux jours.
Après quelques secondes de marche j'arrive devant mon cher cahier. J'ai le même depuis que j'ai l'âge de marcher. Enfin, de marcher et d'être assez grande. Ça ressemble à des casiers des écoles secondaires, ou collège, si vous préférez.
Bref.
J'enlève le cadenas et prend directement une barre tendre aux amandes. Je ne vais pas avoir le temps de souper avant ma prochaine mission, alors une collation devra faire l'affaire. Je me dépêche de changer mes vêtements mouillé par la sueur. Malgré que le temps avait passé vite, ça faisait près de trois heures que j'enchaîne les combats de boxe avec seulement cinq minutes de pause entre chacun d'eux. C'est épuisant mais après des années à entretenir cette cadence, on fini par s'habituer et obtenir plus d'endurance. J'enlève mon crop-top et mes short. Comme à chaque fois, j'entendis des sifflements de la part des hommes de mon père, mes adversaires. Je suis, ce qu'ils appellent "l'Archange". Au début, je pensais qu'ils faisaient référence à ma force. Après tout, je suis ici pour former et aider les hommes de celui qui me sert de père, mais après plusieurs semaines, c'était à cause de mon corps. Je l'avais compris. Ils ne peuvent pas garder leurs bites dans leurs pantalons ? Les hommes...
