La família Osamu

Chapitre 8

- Je te conseille de déguerpir de ma propriété sur le champ, Jellal.

Pdv narrateur

Le bleuté afficha un air triste, soupirant. Doma ne comprenant pas grand chose. Comment ce fait-il que sa mère puisse connaître cet homme ? Se demandait t'il intérieurement.

- Si je n'avais pas tourner le dos, tu serais encore dans ce cristal.

- Te servires de moi comme source d'énergie magique pour alimenter ton Monstre... N'as tu donc point d'honneur ? Tu étais mon plus fidèle ami, Jellal.

Doma se rappela instantanément de sa première venu au sein du domaine familial. Ce jour où on annonça à Dazai, en sa présence, la disparition d'Erza.

- Ami ? Je n'ai jamais voulu qu'on soit des simples amis. C'est toi qui n'a jamais cherché comprendre mes sentiments. Simon te convoitait, (Sourire narquois) et je l'ai éliminé avant que ça ne soit trop tard. (Neutre) Mais il a fallu que ce satané détenteur de pouvoir vole ton cœur.

Erza ouvrit les yeux en grand. Tout comme Jellal, Ce Simon était un ami d'enfance. Avant de rencontrer Dazai, elle avait entendu dire que Simon avait été tué, par qui ? Elle l'ignorait jusqu'à lors.

- Tu as... tué Simon, pour ça...?

- Une gêne qui ne manquera à personne. Enfin, sauf à toi sûrement. Toute façon, faudrait me remercier. J'ai rendu service au monde pour avoir éliminé un être aussi inutile.

Les mains d'Erza tremblait. Non pas par peur, mais par colère. La haine grimpait en elle peu à peu.

- Haru...

L'écarlate et le démon sursauterent à l'entente de ce prénom familier.

- (Sourire doux) Où est Haru ? J'aimerai le voir. Quel âge à t'il déjà ? Il doit être un grand garçon, n'est ce pas ?

- Je ne laisserai jamais mon fils s'approcher d'un être aussi ignoble que toi.

- (Surpris) Moi ? Ignoble ? Eh ben... qu'importe. Le plus important, c'est que dans bientôt, tu seras mienne. À présent Dazai c'est du passé. (Marche) On est fait pour être ensemble toi et moi. On se complète Erza. Je te rendrai heureuse.

- Heureuse ? Jellal qui es tu devenue ? Je ne serai jamais heureuse avec toi. Tu m'as arraché des êtres cher, surtout un en particulier qui avez plus de valeur à mes yeux. (Sert les points) Cet être avec qui j'ai partagé ma vie, fonder une famille...cette lettre... je sais que c'est toi...Tu as tué mon mari ! (Larmoyante, furieuse) Je te pardonnerais jamais, Jellal, tu m'entends !? JAMAIS !!!

Le démon se figa sous les paroles du chevalier mage. Ces informations paraissaient brutale à son oreille. Sa respiration semblait devenir haletante et ses pensées se vira chez Haru qui, actuellement, était allé rendre visite à son maître à la concession des Sohma, au plus grand soulagement de Doma.

Sa respiration devenait glaciale, et Erza le senti. La colère mentait en Doma, si bien qu'une veine vint apparaître sur sa tempe et sa mâchoire.