Chapitre 5

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- Prenez soins de ce petit garçon...

Pdv Doma

Se fut les derniers mots qu'elle pût prononcer avant de rendre l'âme.

Haru était devenu sombre tenant toujours la main de Makoto Mizuyashi.

- Haru, est ce que ça va ?

Le silence m'avait répondu. Il avait finalement lâché prise sur la main, et tentait de recouvrir le corps sans vie.

Mon aîné m'avait jeté un regard vite et calme.

- On va l'enterrer quelque part dans le domaine. C'est tout de même la mère de Tengen. Elle mérite un endroit paisible ou ses cendres pourront reposer.

Je répondis en hochant la tête. Depuis un moment, l'atmosphère était lourde et étouffante. Je sentais comme une vague d'émotion me submergée.

J'avais dirigé mon attention au petit garçon que je tenais encore dans mes bras. Il était adorable, si petit et encore innocent.

- Hum...!?

Je venais de remarquer quelque chose qui me fit ouvrir les yeux en grand.

- Il n'a pas pleurer.

Haru s'était tourné face à moi, me jetant regarder perplexe.

- Qu'est que tu viens de dire ?

- Tengen n'a toujours pas pleurer depuis une bonne douzaine de minutes.

C'était dans une panique que mon aîné m'avait prit Tengen de mes bras. Je le voyais sur son visage. Il avait peur qu'il arrive le même sort au bébé.

- Hey...hey !

Je l'avais tenu par les épaules. Son regard avait enfin croiser le mien.

- T'as pas à t'en faire.

- Mais t'as dit qu'il-

- Oui je sais. Et je crois comprendre pourquoi.

Après avoir reprit son calme, il soupira profondément. C'était la première fois que je le voyais ainsi déstabiliser.

Prit de sursaut, son téléphone avait sonné. Il me redonna le petit avant d'y répondre.

Pendant ce temps, j'allais allumé une machine. Et allongé le petit sur une tablette et prélever son sang.

Après celà, je mélangais à présent deux composants chimiques qui allait provoquer une réaction.

Le contenu transparent était près. Je pris alors le sang prélevé et l'ajouta au composant.

Il prit instantanément une couleur violet. C'était le résultat que je recherchais. Mon fils avait bel et bien hérité de mes cellules.

Oui, j'ai bien dit mon fils. C'est étrange. Moi qui voulais un hybride au départ et voilà que j'ai reçu un enfant à la place.

La família Osamu Où les histoires vivent. Découvrez maintenant