La família Osamu

Chapitre 9

- Je suis rentrée...

Pdv narrateur

L'écarlate tremblait comme si elle venait de voir un phantom. Était-ce vraiment lui ?

Elle se rapprocha lentement, se demandant si cela n'était pas qu'un rêve. Posant finalement ses mains sur la joue de celui qu'elle pensait ne plus jamais revoir, prenant son visage en coupe pour le regarder avec attentions.

Des larmes ornait ses yeux, menaçant de franchir la barrière.

- Dazai... c'est vraiment toi ?

Un sourire doux lui répondit. Elle ne pouvait plus se retenir. Explosant en sanglot, Les larmes dévalaient ses joues, se blottissant contre le suicidaire. Celui-ci la prenant très fort dans ses bras.

Ses joues également noyé par des larmes.

- Erza...ma bien aimée...

Elle pleura fortement en touchant le corps du suicidaire un peu partout pour s'assurer que celà n'était pas une hallucination.

- Dazai...(Pleurant) mon amour...pourquoi ? Pourquoi tu n'as plus donner signe de vie !? Je pensais ne plus jamais te revoir...tu m'as tellement manqué si tu savais...Cette lettre...(hoquetant) cette lettre disant que tu étais mort Dazai !

- Je t'avais bien promis de revenir...

D'une mains, il prit son menton pour relever son regarde dans le sien.

- ... Vois-tu ? J'ai tenu parole n'est-ce pas ?

L'écarlate hocha simplement la tête, comme signe de réponse. Replongeant de nouveau sa tête dans le torse de son bien aimé. Pleurant encore plus.

- Je t'expliquerai tout plus tard. Je suis désolé mon écarlate. Tout va bien maintenant, je suis là.

Les jeunes Osamu n'avaient toujours pas bouger essayant de tout cœur de retenir leurs larmes.

Dazai les fit signe de s'approcher. Il avait des bras assez grand pour les accueillir eux aussi.

Sans se faire prier plus que ça, ils accourus, pleurant silencieusement dans les bras de leur père.

Pdv Dazai

Je suis désolée. C'est en une partie de ma faute si vous avez tant souffert. Mais c'est fini désormais. Celà n'arrivera plus. On reste quelques minutes comme ça. Eux pleurant dans mes bras. Ils m'avaient tellement manqué.

Ils se décollent finalement de moi. Je sèche les larmes de ma femme. Je ne supporte pas la voir pleurer. Elle fini par se calmer, les garçon m'aidant à la consoler et à la rassurer. J'en profite pour mieux les regarder. Ils ont une mine épuisée et les yeux enflés. Ils avaient sûrement tant pleurer sur ma soit disant mort.

Jellal avait vraiment mené à bien ses plans.

Mais tout ceci est fini à présent.

Je remarque un individu qui nous observe depuis un moment. Il avait l'air timide ou apeuré.

Il ne me dis rien. Je ne l'avais jamais vu.