Chapitre XVI : Killiane / Partie 2

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Je ne sais pas trop ce que j'ai en ce moment, mais il s'avérait que j'aime de plus en plus les infiltrations comme celles-ci.

J'avais parcourus une bonne partie de la route et était enfin arrivé au site que j'avais ciblé. Elle ressemblait de toute évidence à une [donnée supprimée] mais je n'étais pas dupe. Je me suis infiltré dans le bâtiment et ai essayé de faire au plus vite. Je me suis donc dirigé vers les bureaux directement. Mais il semblerait que ma technique à me rendre invisible n'était pas si bonne que ça et j'ai créé une véritable chasse à l'homme ou au sorcière si vous préférez. Je me suis faufiler le plus rapidement et surtout le plus loin possible des ennuis mais il faut avouer que je suis plus doué à les faire venir jusqu'à moi.

Je ne sais pas vraiment se qu'il m'avait pris de prendre un ascenseur pour descendre au lieu de monter mais j'étais en marche pour me terrer jusqu'à que la situation se tasse. Je suis descendu le moins bas pour pouvoir remonter plus rapidement. Vers ce côté du site il y avait moins de gardes mais leur nombre était déjà trop nombreux pour moi. Je me suis faufilé dans les endroits les plus sombres et étroits pour ne me faire attraper par ces gars là. Au bout d'un moment, mon dévolu s'est porté sur des portes avec des cartes magnétiques plus restreinte. Demandant une carte bien plus haut niveau. Depuis le début je me suis toujours contenter de voler les accès des agents que je rencontrais en premier, sans vraiment m'attarder sur son rang. Mais il s'avérait qu'il fallait viser plus haut maintenant. J'ai donc attendu que l'un des scientifiques ne se retrouve seul et je l'ai assommé quand il était trop isolé et vulnérables pour que ses collègues ne viennent l'aider. J'ai, ensuite, traîner son corps hors du couloir et l'est planqué dans une pièce à l'écart. Je lui ai volé sa carte, il avait une couleur différente et l'ai aussi dépouiller de son argent.

J'ai utilisé la carte sur une porte et elle marchait. Je suis rentrée et à l'intérieur il y avait une long couloir de deux mètres je crois, et la plateforme grillagée sur laquelle je me trouvais se trouvait suspendu de quelques centimètres du sol. J'ai continué d'avancer, ai ouverte les portes une à une sans m'arrêter et j'ai découvert au bout une salle d'observation. Elle menait à une salle en contrebas ou où il éclairé un objet que je n'arrivais pourtant pas à distinguer. La salle avait deux porte et j'ai emprunté celle qui menait vers la pièce derrière la vitre.

Quand je suis rentrée dans la pièce une forte de cendre me piqua le nez. J'ai eu besoin de plusieurs minutes pour m'accoutumer à l'odeur. Puis je balaya la pièce d'un regard vif qui s'arrêta à une étrange sculpture au centre de celle-ci. Autour d'elle était tracé, avec des bande jaune à rayures noires, un carré de délimitation. Quand je regarda avec un œil plus attentif la sculpture je constata qu'elle possédait une aura. Elle était douce presque comme celui d'une femelle humaines. Elle avait un squelette incomplet, son bassin manquait, et ses os était relié les uns et les autres avec de vielle liane. Le tout accroché à une croix en T. Il avait une posture étrange, comme morte. Je ne savais ce qu'il m'arrivé dans l'instant mais j'ai été touché par ça.

J'en ai même pleurer.

Mais je ne m'étais pas plus attardé dans le coin. J'ai juste volé les dossiers faisant référence à cette créature et me suis enfuie.

Dans le couloir tout semblait calme, trop calme pour être franc.

C'était une embuscade. J'étais entouré en quelques secondes d'une dizaine de soldats armés jusqu'aux dents. Je vous avoue, j'étais assez surprise qu'il m'ait retrouver aussi vite à moins que ce n'était moi qui ai agit trop lentement. Bref, ces soldats allait me capturer quand j'entendis un premier cri déchirant suivit d'autres mélanger à des bruits de crépitement et une chaleur grandissante. Ils brûlaient. Ce n'était pas moi qui avait fait ça, j'en étais incapable. Seul les hommes parmi les soldats, une grande partie en somme, était toucher par une combustion quasi immédiate. J'étais effrayé, j'avais toujours eu une phobie maladive du feu. C'était à la fois beau et repoussant. À travers les flammes je voyais toujours des choses odieuse qui ferait frémir le plus effrayant démon des enfers. Je n'arrivais plus à bouger, tiens ça me rappelle mes oral au collège....

[ Akirasworld ] Épisode interdimensionel : Henry/ Fondation SCPOù les histoires vivent. Découvrez maintenant