Au cœur de Gravity Falls

Chapitre 1 : New Home

Depuis la vitre arrière ou j'étais, je pouvais observer les nombreux arbres autour de nous. Rien ne m'avait paru aussi beau que de voir un tel paysage en cet instant. L'effet couchée de soleil rendez ce spectacle dés plus serein et j'allais pouvoir le voir autant de fois que je le voudrais. J'ouvris alors la vitre pour sentir l'air pure de la nature, je m' y sentais déjà comme chez moi. Je jette un coup d'œil vers la chauffeuse qui n'est nulle autre que ma mère et ainsi apercevoir dans le rétro son sourire lorsqu'elle me remarqua.

- Tu verras, cet endroit est superbe. J'ai grandit ici avec ton père.

Ma mère marqua un temps de pause comme pour chercher ses mots. Je senti qu'elle voulait changer de sujet, même si je sais que cela ne me gênait pas de parler de mon père. Au contraire, j'aimais ça, mais ce n'est pas pas forcément le cas de ma mère qui essaie tant bien que mal à l'oublier. Alors pourquoi cet endroit, si cela lui fait tant rappeler des souvenirs de lui. Elle reprit la parole juste après sans trop attendre. Visiblement pour que j'évite de poser des questions sur lui, comme j'avais l'habitude de le faire.

- Oh, mais j'y pense ! Ça fait longtemps qu'on a pas vue ma sœur, et puis cet adorable Robbie est sans doute devenu un homme depuis !

Elle avait dit cela accompagné d'un petit rire joyeux sur la fin de sa phrase. Elle n'avait pas tord. Je ne me souviens pas très bien de Robbie mais je garde un souvenir de lorsqu'il était venue chez nous. Il était plutôt timide mais il arrivait à me suivre partout discrètement, enfin c'est ce qu'il croyait. Sans doute à cause de mes oreilles pointu et de ma couleur de cheveux. Ma tante me disait pour plaisanter que j'étais un adorable petit démon. Je me demande d'ailleurs toujours si j'en suis un.

- Je suis sûr qu'il est toujours aussi coincé qu'avant.

J'avais lâchée ses mots en guise de réponse, ce qui eu pour faire rire la mère avant de me faire faussement la moral.

- T'exagère, il a grandit entre temps !

Sa réaction était ce que j'attendais. Je ne peux pas m'empêcher de taquiner ma mère à chaque occasion. Je ne pouvais pas m'empêcher de sourire d'un air fière. Elle compte beaucoup pour moi.

Après ça, j'avais regardée de nouveau à travers la vitre. D'ailleurs je cru même apercevoir une ombre gigantesque se faufiler parmi les sapins pour s'y cacher. Étrange mais intéressant. Nous arrivions alors dans un petit village. Notre nouveau chez nous. Je me sentais nerveuse d'un seul coup, car quelques pensées me traversa. Est-ce que je me sentirais à ma place ici ? Je me mit alors à toucher mes oreilles pointus, l'un de mes principaux problèmes, qui a rendu ma vie dés plus difficile jusqu'à maintenant. Ma mère m'avait dit qu'ici, je me sentirais à ma place et je voulais y croire.

Nous dépassons le petit village pour retourner dans les bois et notre maison, n'était pas très loin du village. Juste à côté. Nous étions enfin arrivés et la petite maison de bois était plutôt mignonne. Certes un peu vieille mais accueillante. Je l'adorais déjà. Ma mère ce gara juste à côté du vieux garage fermé.

- Nous sommes arrivée à destination. Avez-vous aimé le service Maman Voiture ?

Elle disait ça en plaisantant, je ne pouvais pas m'empêcher de laisser échapper un petit rire.

- "Maman Voiture"? Qu'elle manque d'originalité !

Je lui répondit d'un air moqueur.

- Eh bah dit donc, en voilà des manières pour répondre à sa mère, mais j'avoue. C'était plutôt nulle.

- C'est pas grave, 10/10 pour la meilleure des mamans chauffeuses !

Ma mère éclata de rire joyeusement avant d'éteindre le contact. Nous sortons alors pour prendre nos quelques bagages. Le reste des nos affaires devaient arriver dans une camionnette. Forte heureusement que la maison est meublé, mais je vais sans doute attendre un moment pour avoir mon piano.. En attendant, je ne pouvais pas attendre de visiter les lieux que aussi tôt avoir prit mes sacs je filait pour rentrer avec une tel excitation. Je pouvais attendre ma mère me dire derrière moi "Eh pas si vite, ma libellule !". Je me stopa alors net comme une statue avant de me retourner vers elle, juste au pas de la porte.