Chapitre 4

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PDV/E

Lorsque des règles sont établies, ces pour être respecter, si cela n'est pas fait, les punitions suivrons.

Ce matin en me réveillant j'ai passé une bonne nuit, sans cauchemarde, sans interruption, et pourtant j'ai l'impression de ne pas avoir fermé l'œil de la nuit.

Dans les escaliers, aucun bruit ne se fait entendre, pas même une mouche qui vole. Lorsque je suis chez mon père le matin tout est déjà près sur la table préparer par ces soins, en revanche ce matin il n'est pas là, trop de travaille l'attende au QG il ne peut pas se permettre de rentrer.

Je dévale les dernières marches de l'escalier à une vitesse folle et continue d'accélérer le pas pour atteindre la cuisine, où cette fois ci l'odeur des pins se mélange à celle du café au fur et à mesure que je déambule dans le ré de chausser, vêtu d'un simple peignoir en soi blanche qui se moule à ma taille par une ceinture juste serré.

Une tasse de café encore chaud est posée-là, je suppose que son propriétaire ne doit pas être loin non plus. Je déteste le savoir dans la même maison que moi, 24H/24 je vais devoir le supporter et pour ça il va falloir qu'il me laisse mon espace vitale.

Je me munie d'une tasse pour y verser le café déjà moulut qu'il reste et m'installe sur le canapé. Quelle idée de laisser son café il va refroidir, cet idiot n'a donc rien dans la cervelle ? des pas lourds se font entendre dans les escaliers, je n'y prête pas plus attention que ça et continue de regarder ma série Netflix, sur cette incroyable histoire d'amour interdit entre un ange et un démon.

Je sens son regard brûlant dans mon dos, qui parcoure mes épaules et clavicule dénué de tissus, ce qui ne manque pas de me faire frémir et me remémore le souvenir d'hier soir. Pourquoi l'ai-je regardé ainsi hier je ne devrais pas, sans que j'aie le contrôle mes joue virent au rose.

Diable qu'il est beau cet idiot !

-Bonjour fillette. J'ai établi une liste de règles à respecter pour nous éviter de nous entretuer.

-Bonjour DAVIS, ça va bien dormi, oui merci, il fait beau ce matin. Ce serais te trouer le fion la politesse. Lui lance-je en me levant pour aller m'assoir face à lui sur le dossier du canapé.

-Ne prend pas cette ère suffisant avec moi gamine, sa causeras ta perte. Malgré ces paroles qui se veulent froide, sont regard lui, parcours mes fines jambes blanches, marquée de multiple ecchymose, à la porter de son regard par la fente de mon léger vêtement.

-Je te prend de haut parce que tu es comme un adolescent tu as besoin de t'exhiber à la vue de tout le monde avec ta simple serviette autour de la taille ! je dis c'est mais j'adore le spectacle de bon matin, ces muscles se crispe sous le poids de mon regard, qui quitte son corp pour rejoindre ses iris bleu azur noirci par la colère.

Il se lève ses yeux fixés aux miens et d'un simple geste la serviette quitte son corp pour rejoindre le sol, un boxer gris moulant recouvre sa masculinité, mais tout est visible sous un boxer gris moulant.

C'est toi le gosse à faire de blague comme ça

-Tu verrait ta tête tu es devenu pale comme un linge. Déclara -t- il le visage toujours impassible.

En même temps, quand on voit sa taille, on se demande, comment ça peut rentrer... enfin bref

Ces étranges ça ne me dérange pas de le voir se trimbaler à moitié à poil, pourtant j'ai horreur de voir des hommes à moitié nue. C'est la chose qui me dégoute le plus mon corp repousse cette image rémanente dans mon esprit de ces hommes sur moi nue et impuissante...

ESPERANZAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant