Chapitre 5

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PDV/K

Pan.

Une balle.

Pan.

Deuxièmement.

Tirer sur une cible c'est plus simple

Je pose mon arme et enlève mon casque pour le poser sur le bar du sous-sol. Je me sers un whisky pur et m'assoie dos à la porte qui mène à la salle de tire.

J'entends ses pas, elle n'est pas assez discrète.

- Bonjour gamine.

- Comment mas tu entendu j'ai été hyper discrète. Dit-elle en s'avançant vers l'intérieure du bar à son tour pour se servir un verre.

Je profite du fait qu'elle soit dos à moi pour me faufiler derrière elle. Lorsqu'elle se relève, elle ne se rend pas compte de ma présence tout de suite.

- Tu sais je te sens derrière moi tu n'es pas très doué pour cacher ta présence non plus !

- C'est normal que tu me sentes j'ai ma main sur ton cul. Dis-je en recourbant le coin de mes lèvres.

Elle se retourne d'un coup sec en attrapant mon poignet, et me pousse dos au bar en rapprochant son visage du mien et murmure contre mes lèvres.

- Ne.me.touche.plus.jamais ! dit-elle en me lâchant

- : Sifflement : madame s'énerve.

En un claquement de doigt, elle récupère l'arme qui était poser sur le bar et la pointe sur ma tempe.

Pfff, elle ne sait même pas s'en servir.

- Tu n'es qu'un DAVIS si tu agis comme ça ses sûr que personne ne voudra de toi. Dit-elle en retrouvant son calme et ravalent ces larmes. Elle me regarde avec tellement de dégoût de haine et de, peur ?

« personne ne voudras de toi tu es trop moche idiot »

Ce regard je le connait, ils me regardaient tous comme ça, plain de haine et de dégoût. Les mêmes paroles encore et encore. Quand jetais petit j'étais la personne à ne pas côtoyer au collège, « gros », « idiot », ces seulement comme ça que l'on m'appelait.

- Je sais que personne ne voudra de moi, sauf toi.

- Pff, dans tes rêves DAVIS plutôt crever.

- Tu veux parier ? dit je en rapprochant dangereusement mes lèvres des siennes en réduisant d'un pas l'espace qui nous sépare, son souffle chaud s'écrasant contre le mien. Elle ne recule pas pour autant. L'air est électrisant.

Elle relève son menton tire une balle qui frôle ma tête et annonce

- Je ne parle pas avec les cons de première comme toi. Et je n'aime pas qu'il m'approche non plus. On s'y met ou tu conte encore admirer mes lèvres. Dit-elle en reposant mon arme sur le bar.

Merde elle mon hypnotiseur

- Je ne les admirais pas, je me disais juste qu'elles n'ont pas l'ère très goûtu. Je mens, mais je la déteste tellement, je veux qu'elle souffre comme elle m'a fait souffrir en prenant toute l'attention de mon père, mais à la fois je ne peux que l'admirer et l'aimer, mais je veux la détester.

Je ne dois pas m'attacher.

À mes paroles l'air c'est refroidi instantanément, elle recule pour me toiser de haut en bas j'en profite pour faire pareil. Elle a mis un jogging noir et un t-shirt gris qui n'est qu'à moitié rentrer dans sont bas, elle a attaché ses cheveux roux en un chignon décoiffer en laissent pendre deux fines mèches encadrent son visage empreint de tache de rousseurs mettant en valeur c'est grands yeux gris qui me transperce.

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⏰ Dernière mise à jour : Apr 08 ⏰

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