blue lock- prochaine géneration de prodiges

Parallèles distinctes

La journée de tournoi se finnisât donc par une victoire allemande. Après le match, Mathis ne put s'empêcher de se demander pourquoi il jouais au foot.

Le génie n'y avait jamais pensé. Jouait-il pour son frère ? pour ses parents ? aimait-il gagner ? peut-être qu'il voulait juste passer le temps.

Enfin, ça n'avait sûrement pas très grande importance vu que il y jouait et c'est tout.

Il rejoignit son équipe et il se rendirent à l'hôtel ensemble. Arriver là, le prodige alla à la salle de sport, elle était vide même en sa présence, le silence régnait. Il avait ordonné à son équipe d'aller détendre leurs muscles en faisant du yoga. Les poids qu'il tenait donnait l'impression qu'ils faisaient le double, sa voix et ses membres tremblaient donc il décida de prendre une pause. C'était absurde, il ne se souvenait plus de son visage pourtant son esprit ne cessait de le hanter à cette date précise. Il repensa au visage inquiet de ses amis et finit par se calmer. Sous la douche, il réfléchissait aux paroles de son défunt frère. Pourquoi était-il mort ? de quoi est-il mort ? quel genre de personne était-ce ? Ses mots lui provoquèrent un mal de tête inutile mais ses pensées furent interrompues par la voix grave d'Adrien qui l'appelait à table. Le reste de la soirée était plutôt mouvementée, l'ambiance était gaie, elle fit sourire Mathis. Il n'y avait pas à dire, ses coéquipiers le préféraient souriant. Le jour suivant, manshine et le pxg allaient s'affronter. C'était le seul match de la journée car la finale sera jouée deux jours après ce match. Le duo allemand avait rejoint les français dans les vestiaires :

<<- yo Nathan, ça va ?

- ça pourrait aller mieux

- Avoue t'as la trouille

- La ferme, Schmitt.

- rabat-joie.>>

Après cette petite discussion les français rentrèrent sur le terrain pour s'échauffer tandis que les allemands allèrent dans les gradins. Sur le chemin, ils tombèrent sur Diego qui décida de les suivre. Quand le coup d'envoi fut lancer, Nathan partit direct en marquage sur John qui, lui, prenait ce match pour une promenade de santé. Il fit la passe à un de ses coéquipiers et resta en retrait pendant la première mi-temps. Au début de la seconde partie, John s'amusait avec tous les joueurs du terrain sans exceptions. Il enchaina les dribbles avant de se retrouver devant le milieu français qui lui barrait la route. Malgré cela, l'anglais le pris de vitesse pour aller marquer avec une magnifique frappe dans la lucarne. Le match se finit donc par un score de 2-0 pour manshine. Ce match de terminer, la finale allait opposer le bastard munchen et manshine city. A la sortie des gradins et des vestiaires des journalistes essayaient de gratter des interviews. Un d'eux réussi à avoir Mathis et un autre John :

<<- M. Ness quel genre de joueur voulez-vous devenir ?

- Je veux devenir un joueur omniscient capable de mener mon équipe au-dessus de toute les autres, et je souhaite, d'ailleurs, obtenir des résultats quasi-parfait dans tous les domaines.

Du côté de John :

- Je veux devenir le meilleur au monde. Tout le monde pourra admirer mes capacités et je pourrai marquer un maximum de but.

- pourriez-vous nous en dire plus sur la finale qui aura lieu dans deux jours ?

À cet instant, les deux garçons répondirent la même chose sans une once d'hésitation :

- je vais écraser mon rival.>>

Les journalistes voulaient continuer leurs questions mais John et Mathis furent appelés par leurs coachs respectifs. En effet, il n'était pas facile de leur parler. Car en plus d'être sous contart stricte, les deux jeunes n'étaient pas de nature ouverte. Le lendemain matin, les allemands étaient allés courir une bonne dizaine de kilomètres quand ils furent la rencontre des anglais qui faisait de même. Les tensions étaient présentes mais elles furent vites calmées par les capitaines :

<<- yo Mathis ça va ?

- Ouais, répondit-il

- J'espère que t'es prêt à perde

- Au lieu de te préoccuper de moi tu devrais trouver un moyen de nous battre. Je te rappelle qu'on est deux du top 5 chez nous, déclara le garçon. Bref je n'ai pas ton temps.

Sur cela, Mathis ordonna de monter d'une vitesse faisant courir son équipe à 18km/h pour le reste de la course. Les anglais étant délaissé, la parole revint au vice capitaine :

- John, tu lui tourne beaucoup autour ces derniers temps, tu es devenu sa femme ou quoi.

- ferme-la, les gars on passe à 19km/h

- parce que j'ai vu juste en plus.

- je vais te tuer.>>

De retour avec les allemands, ils étaient revenus juste à temps pour le petit-déjeuner. Tout le monde était surexcité à cause du match des u-20 se déroulant cet après-midi, et en attendant l'heure du match, ils avaient seulement un cours théorique dont l'heure avait été déplacé. L'ambiance autour de Mathis était très tendue, le garçon ne pouvait s'empêcher de se faire du souci. Mais malgré tout, il savait que Kaiser et son frère savaient ce qu'il faisaient, ce sont ses aînés. Il sourit et décida de juste profiter de la journée.

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Anecdote joueur :

Nathan s'entend bien avec Charles Chevalier et ils s'entraînaient souvent ensemble avant (l'écart d'âge fait qu'ils ne jouent plus ensemble).
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Ça fait longtemps, depuis la fin des examens je vois plus le bout de mon nez! J'étouffe sous les devoirs et les tests =(

Mais sinon je vais poster plusieurs chapitres ces prochains jours car en vrai ils sont prêts, faut juste les réviser et les publier (j'avais la flemme, j'avoue) :×

Merci d'avoir lu le chapitre 11.