Ilyès et Aïcha-Liés à tout jamais TOME 2

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Salem Aleykoum !

3 jours après, tout allait bien, ilyès et moi avions prévu de rentrer dans 5 jours ! On finissait d'arranger les petits détails...

Aujourd'hui, c'était brunch avec tout nos amis et ses cousins et cousines, qui partaient en même temps que nous...

Je met une abaya blanche et un voile rose avec des boucles d'oreilles et une pochette rose.

On part de la maison vers 13h et on arrive à temps...

Tout allait bien on discutait avec tout le monde c'était trop bien mais 30 minutes après les plats arrivent et pas que ça...

Anouar se ramène, en plus d'être en retard, il n'a même pas pris la peine de dire au revoir à tout le monde mais il a préféré s'assoir sans dire un mot et commander.

Je regarde Ilyès et on se met à hausser les sourcils en même temps, il était vraiment irrespectueux ce Anouar en fait !

Anouar : bon j'ai une annonce à faire.

Nous : ??

Lui: je vais habiter en france dans 1 mois.

Sofiane: c'est bien ça ou ?

Anouar: ouais mais bref façon j'ai vu un quartier qui m'a l'air pas mal...V******* vous connaissez Aïcha ?

ilyès se lève et le menace du doigt,

lui: comment tu sais où j'habite ?

Ah oui, je n'ai donc pas vraiment insisté sur les termes. Ilyès et Anouar se HAÏSSENT. Anouar a simplement été invité parce qu'il devait faire la paix avec Ilyès...

Anouar( en arabe ( on m'a traduit juste après vous inquiétez pas): Écoutes moi bien sale vendu c'est pas parce que ta noire de femme est là que tu vas me faire l'homme ici je suis pas ton petit

ilyès ( aussi en arabe): J'en ai rien à foutre de ce que tu me racontes vieux clochard que tu es, tu passes ta vie à me suivre comme un petit chien

S'en était trop pour moi, même si je comprenais rien...

Anouar ( en français cette fois...): Aïcha au cas où tu n'aurais pas compris, ton mari n'est pas un vrai homme il ne peut porter ses couilles et il nous a fait honte de t'avoir marié et juste pas baisé.

Je me lève et sors de table avec une honte sur moi,

je sors du restaurant et je me met à pleurer,

Un vieil homme s'approche de moi, il était inquiet

il me parle en wolof,

lui: ne pleures pas ma fille que t'arrives t'il ?

moi: je me suis fais rejeter par le cousin de mon mari...

lui: ne t'attriste pas et n'oublies pas que Allah voir tout, bientôt il regrettera ok ?

je lui hoche la tête et lui sors 10 000 francs et lui tends

lui: qu'Allah te protège et te donne une longue vie ma fille

moi: Amin merci monsieur.

Je sèche mes larmes et rentre dans la restaurant,

J'étais tellement gênée et triste d'avoir à vivre ce genre de chose...

Je vais payer l'addition et avant de sortir ilyès m'attrape.

lui: ça va ?

moi: lâches moi j'en ai marre que tu agisses comme un gamin ilyès

lui: qu'est ce que tu me racontes la ?

moi: t'es obligé de te battre devant toute ta famille ? tu nous fous la honte, ils vont penser du mal sur moi

lui: mais j'men fous clairement

moi: bon allez salem,

je pars et je prend un taxi pour rentrer.

En rentrant j'étais tellement ko, je pars dans ma chambre et j'appelle les filles,

Je leur raconte toute l'histoire,

Imane: je trouve que t'as vrm bien réagi parce que dans tout les cas il avait pas à réagir comme ça Ilyès,

Aya: bah non, faut que t'arrêtes vraiment de te victimiser Aïcha un moment donné faut que t'arrête de tout laisser faire et rester en train de rien dire il t'a bien défendu c'est tout

alors là, un silence domine la conversation et je savais pas quoi dire,

moi: donc tu trouves tout ça normal ?

aya: bah ouais c'est ton mari faut bien qu'il se bouge lui aussi, et toi t'es toujours là à tout laisser passer, un moment donné il pourra pas tout faire à ta place défends toi.

Imane: nan mais déjà toi parles mieux je sais pas t'as quoi aujourd'hui, et franchement tu devrais pas penser ça et puis y'a des trucs que t'as pas à dire ton avis dessus Aya,

Aya: bah écoutez si vous êtes sensibles c'est pas tellement mon problème en soit c'est à vous d'accepter les vérités.

moi: bon je vais quitter cet appel, Imane on se rappelle bisous.

je quitte et je restai bouche bée, en fait, je savais pas si je devais me vexer ou accepter cette vérité.