« Je pourrais vous parler d'Aline, ma grand mère »
La vie d'Aline n'a pas été facile, pas depuis sa naissance, ce serait mentir car ses parents été heureux de l'accueillir, non c'est quand ses parent son mort que tout a déraper.
« C'elle qui déteste le surnom mamie, qui préféré Mimou »
Elle a été emmené en plein nuit chez sa tante et son oncle qui dés qui sa découverte a la porte de leurs maison, long détesté mais l'argent fait faire des sacrifice et finalement, la grosse enveloppe de billet les ont convaincu de la prendre, mais ne vous faite pas d'idées, sa chambre n'etait qu'un cagibi sous les escalier de la maison, la nourriture se faisait rare et l'affection? Elle ne la connaissais pas, habituer a la douleur de la famine constante et au correction de son oncle.
« Mais ça ne serait pas honnêtes »
Elle a grandi dans l'ignorance de son héritage, sous les ordre de sa tante méchante et amère, manque plus que les deux soeur et elle pourrait s'appeler Cendrillon, Aline avait pas deux peste de soeur mais elle avait son cousin, un cousin aussi infecte que ses parents, d'ailleur, elle aurait pu se demander si il ne les avait pas bouffer une nuit ses deux soeur.
« Ma grand mère c'était des rire, du sarcasmes a volonté et de l'amour a revendre »
Elle avait 11 ans quand sa vie a changé, une lettre pour son anniversaire puis une autres et une autre, elle parlait d'un gentil géant mais alors tellement naïf, il lui a offert tout un monde, des saucisse et un gâteau.
« Mimou était une Héroïne avec un grand H même si elle détestais se titre avec passion. »
Son tous nouveau monde lui a fait peur, trop de monde, de secrets et de danger, elle s'est tout de suite méfier, le directeur na jamais été le gentille directeur qu'il voulait paraitre, tout les professeurs avait leurs part de secrets sombres.
« Je me souviens de ses absences, le regard vide et froid même en plein conversation, des tremblement, c'est bien plus tard que j'ai appris quelle avait des flashback »
La mort lui a couru bien trop de fois après pour que ce soit juste une coïncidence.
« Elle ne parlait jamais de l'homme qui a fait de sa vie un enfer, enfaite, de tous les hommes et femmes qui lui ont ruiné sa jeunesse aussi. »
Aline a vécu ou plutôt survécu de sa naissance à sa mort.
« Je pourrais vous parler d'Aline, ma Mimou mais je ne pourrais jamais aussi bien le faire qu'elle »
C'est finalement, peu avant sa mort, qu'elle accorda a sa famille leurs souhait, une pensine et ses souvenirs et c'est parti pour un long voyage.
« Je pourrais vous parler d'Aline ma grand mère mais je la laisserais le faire à ma place. »
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Pourquoi Pas ?
De TodoPlusieurs idées regroupées sans plus inspiration. A prendre, a modifiées. Pourquoi pas?