Les chroniques de Arthur 2

Mon géniteur et moi

"La trahison est un poison, qui détruit les relations humaines ; mieux vaut mourir par traîtrise, que de mourir de trahison". Arthur Tchinda.

Naomi.... Naomi, parfois je repense à elle. Ma grande sœur des grandes ambitions, elle n'a pas toujours eu un code d'éthique basé sur l'intégrité moral, mais au moins, elle s'avait faire la pare des choses. Son côté un peu agressif et sa facilité à déclarer des vérités poignante, là rendait assez isolable. Elle fût peut-être la seule personne de notre maison à m'avoir compris sans analyse psychologique, juste par sa propre existence mené. Avec tous ces nombreux pêchés en liste, j'ai foi que ma sœur repose en paix aujourd'hui.....du moins, je l'expert.

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Après Dubaï, l'unité Valentino s'était dirigé vers le QG, où ils devraient répondre à leurs supérieurs.

La jeune Alicia Valentino, possède comme qui dirait un petit appart à Lyon, où lorsqu'elle n'est pas en mission ou sur une affaire, elle y vit sans contraintes et sans doute. Connus pour être casiquement invisible, car celui qui gère l'accueil est un de leurs membres ne laissant aucune trace de l'existence de mademoiselle Valentino.

D'un certain point de vue, il y paraîtrait qu'elle n'est peut-être pas enregistré dans les archives.

C'est à cet endroit, qu'un fourgon blindé noir l'attendait à quelques mètres. Elle sortit de chez elle accompagné par Sacha, et toutes les deux elles allèrent trouver le fourgon.

À l'intérieur, se trouvait Julius et deux trois agents, Rudiger, Ashley et Jérémy, des agents membres d'Interpol.

On offra le journal et un café à Alicia, pareil pour Sacha.

Julius : Un riche ministre Pakistanais retrouver mort dans sa villa à Rennes. À ce qu'il paraît, c'est sa prostituée qui l'aurait tué. Puis elle élimina facilement deux gardes qui voulurent l'amadouer, avant de finir tué à son tour par un agent sur place.
Alicia : Une histoire bizarre ! En croire la revue, les légistes n'ont rien trouvé de très spécial. Humm...... Sacha qu'en penses-tu ?
Sacha : Il est bon le café ! Aussi simple, lorsqu'on le bois. Mais pourtant sa conception est un dur labeur.
Alicia : Je me disais aussi ! Mais là n'est pas le sujet du jour, j'ai rendez-vous avec des hommes étrange.
Julius : Tu as mis un pantalon aujourd'hui......

Le 69006 Lyon, le siège de Interpol. Alicia y avait rendez-vous, avec les chefs de plusieurs commissions. Et parmi ses hommes, le délégué général à la sûreté nationale du Cameroun et président du comité des chefs de police d'Afrique centrale.

Alicia : Mr Emmanuel Edou, qu'elle plaisir de vous rencontrer.
Mr Edou : Mademoiselle Alicia Valentino, la seule italienne qui ne parle pas un traître mot italien.

Dans le bureau de réunion, elle était là deuxième à arriver, laissant croire que ses supérieurs tarderai.

Alicia : Que voulez vous ? La nature humaine est profonde et impétueuse, la seule race qui est indigne de confiance.
Mr Edou : Que cherchez vous en Afrique ?
Alicia : Rien qui ne paraît trouvable, j'ai entendu des histoires et j'ai vue des choses.
Mr Edou : Des ragots ?
Alicia : La réunion va commencer Mr Edou.

À l'extérieur, Julius faisait visiter les lieux à Sacha. Elle s'ennuyait devant l'histoire et les explications de Julius, qui pour sa part était très impliqué.

Lorsqu'ils arrivèrent dans la zone d'entraînement, elle eût un semblant de réconfort. Devant elle se trouvait un lieu qui n'était pas de papier, de stylos, de téléphone. Elle se dirigea vers la zone de stockage d'arme, Julius se rapprocha d'elle. Elle manifestait un fort intérêt pour les armes, ce que remarqua Julius.