Réalité et Réalisme

1 0 0
                                    

"Le pessimiste se plaint du vent, l'optimiste espère qu'il va changer et le réaliste ajuste ses voiles". William Arthur Ward.

Parfois je me dis que la vie est injuste, mais est-ce vraiment vrai ? Parceque dans ce monde existe deux types de règne, mais un seul être domine sur ces deux. L'humanité est un concept bien étrange et pourtant si familier aux hommes, il donne naissance à de magnifique petits espoir, qui finissent par mourir en immense désespoir.
C'est amusant n'est-ce pas ? Mais ça ne devrait pas, car en ce monde, existe de l'amour, de la compassion, de la bonté et surtout de la tolérance. Alors je n'aurai qu'une question, pourquoi ?

————————————————

Après sa raclette face à Fernanda, Georges se dirigea vers la chambre de Moly. Elle nettoya ses blessures et lui banda ses parties fracturé.

Moly : Toi alors, tu as le chic pour t'attirer des ennuis.
Georges : C'est cette folle furieuse là.....la boniche avec la robe aussi longue que celle d'une nonne.
Moly : Ah....tu parles de Fernanda ! Mais c'est étonnant, car Fernanda est un soldat qui respecte scrupuleusement le règlement.....ce qui ne laisse qu'une seule issue, tu as fait quelque chose de déplacer.
Georges : Ah oui ? Et qu'aurais je pu faire pour mériter finir ainsi ?
Moly : Va savoir !

Alors qu'elle lui bandait la tête, à la porte, Franklin vînt informer que sa majesté convoque Georges.

Sans rochinier, celui-ci se leva, mais Moly l'arrêta et dit formellement à Franklin qu'il viendrait plus tard. Alors Franklin se retourna et alla porter l'information, qui ne serait sans doute pas accueilli avec le plaisir espéré.

Georges : T'es folle ou quoi ? Elle va nous tuer.
Moly : Oh non, tant que tu es avec moi, tu ne risques rien...... enfin j'espère !
Georges : Tu te moques de moi j'espère.
Moly : Ma mère est parfois violente, je l'admet. Mais en ce qui concerne ses enfants, elle ne ferai rien de si extrême. Au pire elle m'enverra loin en mission pour m'éloigner d'elle, mais sinon.....

C'est ainsi qu'il resta avec elle pendant un bon moment, pendant lequel ils se donnait du plaisir.

Alors qu'ils terminait leur petite folie, Annabelle débarqua de force dans la chambre de Moly, surprenant nos deux amis.

Annabelle : Eh bien dit donc, je vois que vous êtes vraiment occupé !
Moly : Annabelle ? Mais tu ne sais pas frapper avant d'entrer ?
Annabelle : Et toi, tu ne voudrais pas arrêter avec tes enfantillages ? Allez toi, suis moi.

Georges mit un pantalon, et se leva, mais alors qu'il suivi Annabelle, Moly l'arrêta.

Georges : Qu'est-ce que tu fais Moly ?
Moly : Ne t'en va pas.....!
Annabelle : Milena il suffit !

Malheureusement, ne lâcha pas la main de Georges et au contraire, elle s'interposa entre lui et sa sœur.

Annabelle : Ne joue pas à ça avec moi ! Si c'est un nouveau jouet sexuel dont tu as vraiment besoin, je t'en trouverai un autre. Après tout, tu es ma sœur et......

Lorsque Annabelle voulut attrapé la main de Georges, Moly l'en empêcha.

Annabelle : D'accord......!

D'un enchaînement rapide, Annabelle infligea une bonne giffle à sa sœur, avant de plaquer celle ci contre le mur.

Moly : Ann... Anna.... belle.....!
Annabelle : Oui, je sais que tu as mal. Mais comme je te l'ai dit, tu es ma petite sœur et rien de plus ok ? Alors ne t'interpose plus jamais..... quand je te demande quelque chose, ce n'est pas une banale demande......

Elle lâcha ainsi Moly qui commençait à étouffer.

Annabelle : Mais un ordre !

Puis elle s'en alla avec Georges, laissant sa sœur à l'agonie.

Les chroniques de Arthur 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant