quelqu'un qui n'est pas moi N°3 midnight

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Dans l'obscurité des larmes versées,
Nous nous sommes perdu dans l'apaisement,
Chargés de douleur, de peine écrasée,
Nous tremblons devant l'inconnu, tremblants.

Les étreintes du chagrin nous enveloppent,
Dans un cocon de tristesse, nous sombrons,
Mais dans cette enclave, l'espoir se développe,
Nous murmure que même dans l'ombre, nous sommes.

Car c'est dans ces instants de fragilité,
Que se forge la force de l'âme,
Dans les larmes, dans la vulnérabilité,
Nous découvrons notre véritable flamme.

Alors même lorsque tout semble perdu,
Et que le désespoir nous enserre de près,
N'oublions pas que pour avancer, il est vécu,
Que dans le lâcher-prise réside la clé.

Dans le dépassement de soi, dans le mouvement,
Nous trouvons la voie vers la lumière,
Dans le courage d'embrasser le changement,
Nous apprenons à transcender nos barrières.

Ainsi, dans ces moments de détresse,
Ne perdons pas de vue notre destinée,
Car c'est en lâchant notre cocon de tristesse,
Que nous apprenons à réellement voler vers l'éternité.

Histoire du poèmes :

La tristesse, pour moi, était une faiblesse, mais mon père m'a enseigné que nous ne devrions pas montrer nos faiblesses aux autres. Alors, quand je pleurais seul, je me disais que je suis le seul à connaître cette fragilité et que cela renforcerait mon mental. Au début, c'était difficile. En tant qu'enfant sensible, je pleurais pour tout. Mais ensuite, j'ai réalisé que j'avais commis une erreur. Je ne referais pas cette erreur une deuxième fois. Ça ne vaut pas la peine de pleurer.

midnight morning nightOù les histoires vivent. Découvrez maintenant