Je suis pourritures N°4 Midnight

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Dans l'ombre silencieuse de nos existences,
Nous naviguons seuls, sans assistance,
Tenant bon malgré le poids des jours,
Dans un monde où l'aide se fait rare, l'amour.

Chaque matin, le réveil sonne, impérieux,
Nous arrachant à nos rêves, silencieux,
Automatiquement, nous nous levons,
Sans comprendre pourquoi nous vivons.

Seuls, face à nos pensées égarées,
Nous cherchons en vain des réponses, épuisés,
Nous sommes là, mais sans vraiment savoir,
Quel est le but de ce voyage, quel est notre devoir.

Dans ce tourbillon d'incertitudes,
Nous persistons, malgré les solitudes,
Car même dans l'obscurité la plus profonde,
Nous portons en nous une étincelle, une seconde.

Nous sommes là, et c'est peut-être suffisant,
Même si personne ne nous tend la main,
Nous sommes là, vibrant d'une vie incertaine,
Dans l'espoir que demain soit moins lointain.

Alors que le monde tourne, indifférent,
Nous restons là, résolus, déterminants,
Car dans cette solitude, dans ce mystère,
Nous trouvons peut-être la clé de notre lumière.

Histoire du poèmes :

Je me fais harceler, je l'avais dit à personne seul face à moi même mon reflet. L'amour n'existe pas dans ce monde de pourriture.
Je suis une pourritures.
Vous êtes des pourritures.
L'humain est pourritures.

Chaque matin une routine, je me réveille j'éteins le reveille je me change je me brosse les dents..
Comme un robot ou est ce que à une mini seconde de ma vie je control ma vie ? Jamais.

midnight morning nightOù les histoires vivent. Découvrez maintenant