Chapitre 6

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-Maxime POV-

Je me réveilla tard par des aboiements de chiens, je refusais d'aller au lycée aujourd'hui en partit pour pas voir Sid mais aussi à cause de mes jambes lourdes douloureuses c'était comme si elles ne m'obéient plus, comme si elles aussi refusaient d'y aller et ses frissons qui parcouraient partout dans mon corps les empêcher

J'utilisa mes dernières force pour allez dans la salle de bain et recouvrir de maquillage mes blessures de la veille puis repartir dans mon lit espérant retourner dans un sommeil profond

Bien sur ce ne dura pas longtemps avant qu'on toque à la porte une première fois, une deuxième et une troisième avant que la personne se désigne à rentrer dans ma chambre

Cette personne qui est évidemment Manas qui rentre de la chambre puis dit:

« Max réveille toi abuse pas de mes ret-» il s'arrêta sa phrase quand il vue dans l'état ou j'étais, la peau pale, des énormes cernes creusées et le front transpirant

« Eh bah putain toi aujourd'hui c'est jour repos » dit-il en ouvrant les fenêtres

« Je dirais aux parents que t'es malade, moi je dois courir pour le bus ! » avant de courir en voyant le bus par la fenêtre

Je resta la à fixer le plafond longtemps espérant tomber dans les bras de Morphée, ce qui marchait effectivement pas

Je me mémora les mots de Sid dans ma tête ce qui m'a crasher depuis quand pense t'il que je pourrais draguer sa petite amie ?

Depuis quand je suis un mauvais ami moi ?

Depuis quand la Corse me manque autant ?

Depuis quand je voudrais retourner en arrière ?

Juste depuis quand ai-je ses pensées..

Et cette idée mes venues dans la tête, une idée que je n'ai pas fait depuis longtemps et qui me manquait

Je me retourna vers ma commode pour ouvrir le tiroir et en sortir une grande lame fine, elle a encore du sang séché sur elle

Ses souvenirs représentés ce sang, ses souvenirs qui m'a brouillé mon enfance

Je la posa en haut de mon avant bras la main extrêmement tremblante

Je regarda la lame longtemps hésitant à le faire mais cette tentation me le fis

Une ligne une charge un moins sur mes épaules, et je continua une deuxième, troisième, une quatrième et plus je le fis plus j'en avais plus envie de le refaire

Le sang qui y coulait ne me faisait certainement pas rien mais je sentais moins la douleur qui s'y trouver

Une fois mon bonheur achevé j'alla à la salle de bain pour enlever le sang de la lame ensanglanté

J'essuya la lame et me redirigea dans ma chambre puis rangea la lame dans ma commode cachée par des livres, sachet de nourriture vide et papiers..

Je vis dans l'état où j'étais au moment où je passa devant le miroir posé à côté de l'armoire.

Je me sens faible dans ma peau , chaque mouvement est un défi. Ma peau est d'une pâleur presque translucide, mes yeux semblent vides, dépourvus de l'éclat de la vie. Chaque respiration est laborieuse, comme si mes poumons refusaient de coopérer. Mes membres tremblent, incapables de supporter le poids de mon corps affaibli. Chaque instant est une lutte contre la douleur lancinante qui consume mon être.

~Le demi frère de mon meilleure ami~                              Où les histoires vivent. Découvrez maintenant