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Elle venait de revenir à son pays d'origine, après le lycée, elle avait poursuis ses études à l'étranger mais aujourd'hui, elle était revenue, pour participer au mariage de son meilleur ami, Bokuto Kotaro, cette pile électrique se marier et avant elle en plus...
« Ayumi-san ! Je suis là. »
« Keiji ! »
Elle lui avait sauter dans les bras, l'ancien passeur de Fukurodani avait pris l'habitude et ne rougissait pratiquement plus lorsqu'elle le faisait, il resserrait seulement son étreinte autour d'elle, il l'appréciait beaucoup.
« Tu dois être épuisée. »
« Complètement mais ça vaut le coup. » Dit elle en se détachant de lui. « Cette fille, elle est vraiment bien Keiji ? »
« Oui, je ne l'aurais pas laisser faire sinon. Tu verras, elle est très gentille et très attentionnée avec lui. »
« Hâte de voir ça alors. »
« Bokuto-san m'a demandé de te prévenir... »
« Il sera là, c'est ça ? »
« Oui. »
Elle soupire mais elle s'y attendait, ils sont amis après tout.
« Suffit de l'ignorer et le tour est joué. »
Il avait acquiescé mais il savait que ça ne serait pas aussi facile qu'elle le prétendait. Durant le trajet pour la conduire chez son meilleur ami, elle s'était endormie. Il savait à quel point le hibou avait hâte de la revoir, beaucoup trop d'années avaient passés sans qu'ils aient pu se voir ou que le jeune homme ne puisse lui présenter sa fiancée. Elle sentit qu'on la secouait légèrement..
« Ayumi-san, on est arrivés. »
« Hm.. »
Elle ouvrit difficilement les yeux et remarqua une petite maison, elle avait reconnu la maison d'enfance de son ami.
« Le décalage horaire est si dur... »
Elle ronchonnait en sortant de la voiture sous le regard moqueur d'Akaashi. Une fois devant la porte, il tenu à prévenir son amie.
« Il va te sauter dessus, prépare toi. »
Elle lâche un léger rire, ça ne l'étonne pas du tout. C'est Kotaro, il ne changera jamais. Le brun appuya sur la sonnette et ils attendirent quelques secondes avant que la porte ne s'ouvre et qu'une tornade argentée sauta sur la pauvre blonde qui avait fini par tomber....
« Ayumi ! »
« Salut Kotaro ! On dirait que je t'ai manqué ? »
Comme simple réponse, il l'enlace. Elle ria doucement, en lui rendant son étreinte.
