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« Je ne comprendrais jamais votre relation. » Soupire le garçon.
« C'est pourtant assez simple Ryota. On couche ensemble, pas de sentiments. »
« Tu mérites mieux que ça.. et puis, Kagami.. il va mal le prendre quand il va revenir ! »
« Il m'a quittée, il n'a pas son mot à dire. »
« Il l'a fais a contre cœur, crois moi.. »
« Ça n'a plus d'importance Ryota, c'est fini, laisse moi m'en remettre. »
Elle lui sourit avant de s'en aller. Elle sortait avec Kagami Taïga avant que ce dernier ne retourne aux États-Unis. Il ne voulait pas d'une relation à distance alors qu'elle était prête à le faire pour lui. Cette rupture lui avait briser le cœur, tellement qu'elle en est devenue la sex friend d'Aomine... elle avait besoin d'oublier et avec lui, elle savait qu'il n'y aurait aucun sentiment.
« Tu es en retard ma jolie. »
Il était adossé à l'entrée de sa maison, il attendait patiemment, elle avait ouvert la porte de chez elle puis avait attrapé le bleuté par le poignet pour le faire entrer. Elle l'avait embrassé fougueusement, elle ne voulait pas parler, ce qu'elle voulait était très claire.
« Oh, on dirait que madame est très demandeuse aujourd'hui. »
« Daiki, ne parle pas. »
Elle l'avait embrassé une fois de plus tout en l'emmenant dans sa chambre. Ses parents n'étaient pratiquement jamais là, elle vivait la plupart du temps toute seule. Elle était allongée près de son amant lorsque la sonnette avait retenti.
« Eh merde. »
« Met ça. »
Il lui avait jeter son tee shirt à la figure.
« C'est si gentiment proposé. » Répond la brune ironiquement.
Elle enfila rapidement le vêtement pour se rendre à la porte d'entrée. Lorsqu'elle avait ouvert, elle était sous le choc.
« Taïga ? »
« Je tombe mal on dirait. »
Elle ne savait plus où se mettre. Il avait clairement reconnu le maillot de basket d'Aomine.
« Depuis quand tu es revenu ? »
« Je suis arrivé ce matin. »
Il s'était renfermé, il avait même l'air en colère.
« Sérieusement Emiko, Aomine ? »
« De quoi je me mêle ? Tu m'as larguer ! »
« Mais je t'aime encore pauvre idiote ! Tandis que toi tu te jette dans les bras du premier idiot qui passe ! »
