BLACK : le prince des abysses

Chapitre 12: Rencontre inattendue

                            { Scarlet Cooper }

Ça fait six mois aujourd'hui que je me cache dans cet endroit miteux avec Marco afin d'éviter que Black mette la main sur moi, cet idiot croit dur comme fer que je suis responsable de la mort de sa fille pourtant au dernière nouvelles, elle était sensée être morte dans un crash d'avion.

J'en ai vraiment marre, je ne supporte plus de rester ici, je n'ai pas pris autant de risques pour finir comme une merde. Et ce qui m'en rage encore plus ce sont les pleures de cette sale mioche, depuis que je les kidnappé elle passe tous son temps à pleurnicher dans nos oreilles en répétant sans cesse qu'elle veut voir sa maman.

Comme si j'en avais quelque chose à foutre.

Si jusqu'à présent je ne lui ai pas encore buttée c'est parce que c'est le seul moyen que j'ai d'attirer sa mère vers moi, et je compte bien m'en servir.
Ci ce jour elle était elle-même allé accompagner sa fille comme à son habitude c'est elle que j'aurai kidnappé.

Depuis six mois j'essaye tant bien que mal de l'attirer à moi mais à chaque fois elle débarque avec son commissariat.
La DEA et la police sont maintenant au courant que je suis en vie, c'est d'ailleurs eux qui m'ont attaqués il y'a de cela six mois, mais Marco et moi avons réussis à nous échapper. Le domaine était plein à craquer par les agents de la DEA, et devinez un peu qui m'avait balancé ? Eh bien ce connard de Black.

Comment j'en suis sûre ? Eh bien, plus tard lorsque j'avais réussis à échapper à la DEA j'avais reçue un message de cet idiot qui disais, je cite :

<< Tu peux fuir et te cacher où tu veux, mais crois- moi, je vais continuer de te traquer et ne me reposerai que lorsque je t'aurai retrouvé, et après ça je te ferai vivre un enfer. Tu sais plus que quiconque à quel point je déteste les traîtres, et tu vas le regretter Scarlet. >>

Il était prêts à m'envoyer en tôle rejoindre le Capo mais il m'a sous-estimé, et lorsque je réussirai à me sortir de cette merde dans laquelle je me trouve, j'irai directement retrouver cet imbécile au Canada pour lui faire la peau.

Cette fois c'est moi qui te livrera à la DEA.

Je dois juste trouver un moyen de...

— Madame, je crois que la petite à de la fièvre, sa température est beaucoup trop élevée et nous n'avons pas de médicaments ici. M'informes Marco me sortant de mes pensées.

Il ne manquait plus que ça.

Si cette gamine meurt, alors je n'aurai plus d'appât pour attirer le commissaire. Ou peut-être c'est mieux que moi-même je lui tire une balle ?

— Madame, vous m'écoutez ? Je vous dis que la petite est malade et je...

— PUTAIN MARCO FERME LÀ ! Cris-je l'interrompant. QU'EST-CE QUE J'EN AI À FOUTRE MOI ? ELLE PEUT CREVER , MERDE. NON MAIS TU NE VOIS PAS LE TAUDIS DANS LEQUEL ON SE TROUVE ?

Il sursaute.

— De...désolé madame. Dit-il timidement. C'est juste que... et bien elle est notre seul moyen de nous tirer d'ici. Donc le mieux qu'on puisse faire c'est trouver des médicaments pour elle.

Je souffle un bon coup, j'en ai plus que marre de cette situation de merde. C'est trop, je ne peux plus attendre un jour de plus, autant mieux y mettre un terme une bonne fois pour toute.

— Tu as raison Marco, c'est pourquoi le mieux à faire c'est d'en finir avec ça.

— Qu'est-ce que vous voulez dire par là ? Me demande-t-il en fronçant les sourcils.