Chapitre 5

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— écoute Lisa je suis désolé pour ce que je t'ai dit là dernière fois, je le pensait pas ça m'a blessé que tu préfères Peter à moi tout le monde préfère Peter à moi mais ...

— je ne préfère pas peter à toi Edmund, Peter et mon grand frère Susan et Lucy sont mes soeur toi tu n'es pas mon frère...
Pendant que je parler Edmund baisser la tête blessé par mes propos.

— j'ai compris dit-il simplement

— non tu n'a pas compris Edmund tu n'es pas mon frère mais mon futur mari, si je su il ici a narnia c'est parce que tu y es mon destin est lié à toi Edmund encore plus ici que en Angleterre ici je suis là promise du futur roi Edmund Pevensie ce qui fait de moi la futur reine Lisa Wilson / pevensie..

— comment ça pevensie ?

— Aslan m'a dit que nous deux nous allions nous marier au dernier voyage à narnia ...

— tu veux dire que on n'aura pas le choix de nous marier alors on finira ensemble ?

— Edmund je sais pas si un jour je tomberais amoureuse de toi mais une chose est sûr c'est que je me marierai avec toi alors ...

— on n'a cas se supporter un minimum et peut-être un jour devenir ami. fini par dire Edmund

— oui on n'a cas faire cela ...

— on retourne avec les autres j'ai faim !

— moi aussi j'ai presque rien manger depuis deux jours. Me dit-il.

— oh et j'aller oublier tien le père Noël Ma donner ça pour toi .. je lui donner son épée ..

— oh merci elle est belle !!

— elle est identique à la mienne juste les couleurs qui change

— encore un lien entre nous

Une ou deux heures plus tard, nous sommes de nouveau tous les cinq réunis autour d'une table de petit-déjeuner. L'ambiance est conviviale et chaleureuse, comme elle ne l'a pas été depuis longtemps.

Edmund mange avec appétit. Cela ne m'étonne pas de le voir avaler autant de pain beurré, son séjour avec la Sorcière Blanche n'a pas du être luxueux.

— Des tartines grillées y en aura toujours à Narnia, fait Lucy en regardant son frère engloutir un énième morceau de pain.

Edmund pouffe.

- On pourrait leur en demander quelques-unes pour le retour, dit alors Peter, adossé au rocher à quelques mètres de nous.

— Nous rentrons à la maison ?
s'étonne Susan ?

— Vous oui, répond Peter.

Je m'étouffe avec ma tartine et me met à tousser. Peter me lance un regard en coin. Susan, bien que surprise par la réponse de son frère, n'hésite pas à me taper dans le dos pour m'aider.

- J'ai promis à Maman de veiller sur vous quatre, ajoute Peter. Je ne pourrais être utile ici qu'une fois que vous serez partis.

J'étais à deux doigts de m'étouffer à nouveau. À la place, j'avale ce que j'ai dans la bouche et réplique :

— Je te trouve assez culotté, Peter ! Tu n'as pas grand chose à dire là-dessus.

— C'est trop dangereux pour vous !

— Eh bien, ton orgueil a triplé de volume depuis que tu as été nommé chevalier de Narnia... Tu estimes donc que nous sommes moins aptes que toi à combattre ? Permets-moi de te rappeler, Monseigneur Peter, Terreur des loups, que la Prophétie fait mention de cinq Rois et Reines, pas d'un seul. Nous sommes tout aussi méritants que toi de participer à la victoire de Narnia, et tu n'es pas bien placé pour juger si oui ou non nous devons rester.
Sur ces mots, je vide mon verre d'un trait. Peter me regarde sans répondre.

LE MONDE DE NARNIAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant